Schopenhauer Le Bonheur

omniprésente. → Y a-t-il une solitude originelle et une solitude à acquérir ? Texte 1 de Pascal : Pascal affirme que l'on ne peut vivre heureux dans la solitude et que l'Homme a besoin d'autrui pour accéder au bonheur. L'Homme ne pourrait pas vivre ce sentiment de bonheur dans la solitude, c'est-à-dire en l'absence d'autrui. La seule présence d'un autre que moi, un "autre moi" permet à l'Homme de se rassurer. Le film Seul au monde de robert Zemeckis, relatant l'histoire d'un Robinson

a parfois envie de se procurer. On désire lorsque nos besoins naturels ne nous satisfont pas. Lorsque l’on désire, nous avons conscience de ce besoin ; il nous permet de nous affirmer en tant que personne. Il est naturel de désirer, mais selon Schopenhauer, il faut supprimer toute forme de désir afin de se contente du minimum et de ne pas être attiré par la culture, qui favorise le désir. On peut avoir besoin de ce qu’on ne désire pas et on peut désirer ce dont on n’a pas besoin. Il est nécessaire

politique et moral. Digression : postérité de thème du désintéressement dans le jugement esthétique. Dans la première moitié du XIXème siècle, Arthur Schopenhauer écrit Le monde comme volonté et comme représentation. On va montrer quel rôle joue dans sa pensée le thème du désintéressement dans le jugement esthétique. Sa vision du monde : pour Schopenhauer, ce que nous appelons le monde sensible n’est qu’une représentation, ce qui veut dire que c’est une construction de notre esprit, ça n’est pas la réalité

l'espoir de satisfaire notre désir nous procure un certain plaisir, nous pensons que le plus important : le bonheur, se trouve dans la satisfaction réelle du désir. En général, être heureux signifie donc jouir de l'objet du désir. Nous pensons aussi que ce même désir, une fois accompli, sera capable de nous combler pleinement. Cependant, Rousseau introduit un paradoxe. En effet, il dissocie le bonheur, de la jouissance, allant même jusqu'à affirmer que celle-ci nous en éloigne. Mais jouir de la possession

d'être triste : on lui reproche sa sobriété, on ne comprend pas sa frugalité, on s'effraie de ses renoncements. Et pourtant, le sage vit dans la joie. N'a-t-on pas confondu joie et gaieté? N'a-t-on pas mécompris les rapports du bonheur sage avec le plaisir? Identifier bonheur et plaisir d'un côté, malheur et douleur de l'autre, n'est-il pas un contre-sens? Le plaisir n'est que la satisfaction d'un appétit. Même s'il devait durer, il ne serait pas la joie. La joie ne s'identifie pas au plaisir et

Le bonheur peut être défini comme un état de satisfaction total et durable. Cela signifie qu’être heureux nécessite que je parvienne à combler tous mes désirs pour n’éprouver aucun manque, à tenir éloigner de moi toute souffrance et tout souci. Or, un tel objectif n’est-il pas une chimère irréalisable ? En effet, est-il possible pour un être humain de combler parfaitement tous ses désirs et de ne connaître aucun souci ? Lorsque nous parvenons à combler un manque, un autre ne surgit-il pas immédiatement

d’être. L’Homme est un désir d’Etre, désir d’être l’En Soi Pour Soi= Dieu « L’homme est fondamentalement le désir d’être Dieu. » Problème dit Sartre : « Si Dieu existe, l’Homme n’est pas libre » il faut que Dieu n’existe pas pour être libre. Schopenhauer ou l’extinction du désir (1788-1860) Il dit le désir est l’oscillation permanente entre joie et souffrance. Il faudrait que l’homme parvienne à s’affranchir du désir. Pour parvenir à l’extinction du désir, il prône l’ascétisme. Ascétisme : Effort

qu’ultérieurement. Or le bonheur est un état recherché de pleine et entière satisfaction, un sentiment d’élévation et de transport qui nous rend heureux. Mais ce sentiment, en disparaissant, ne nous fait-il pas prendre conscience qu’il était en fait qu’illusoire ? Ne ressentons-nous pas la déception voire la frustration quand ce sentiment s’estompe ? Donc le bonheur peut être considéré comme illusion de par son caractère éphémère, et par conséquent inaccessible durablement. Néanmoins, si le bonheur n’est qu’illusion

Le désir provient donc d’une souffrance : je souffre de l’absence de quelque chose dans ma vie je veux être comblée. Dès lors, tout désir sera souffrance dans la mesure où l’homme qui désire sera conscient de la présence d’un manque dans sa vie. Schopenhauer écrit : « Vouloir, s’efforcer, voilà tout leur être ; c’est comme une soif inextinguible. Or tout vouloir a pour principe un besoin, un manque, donc une douleur » Le monde comme volonté et comme représentation. I.2. La nécessité de l’inutile

satisfaire chaque être humain, et à une amélioration des conditions de vie un simple exemple: les machines. La technique améliore notre vie quotidienne. Les machines portent du bonheur en allègent le travail manuel, qui est pénible à l’homme. Et lui permettent plus de temps libre. Mais elles peuvent aussi être un obstacle au bonheur, ces machine remplacent des hommes qui au paravent travaillaient à leur place et avaient un salaire, désormais certains postes n’existent plus cela a donc comme conséquence