Schopenhauer Plaisir

FICHE SUR LE DESIR I Désir: sentiment => plaisir dans le fait de désirer. Là où notre imagination s'exprime le mieux (→ Rousseau) → désir s'accroit. Désir: s'emparer de la totalité du réel Appétit: soif de posséder une parcelle de la réalité (→ Rosset) => différence de degré. Le bonheur: impossible à atteindre car un désir → nouveau désir; impossible à satisfaire. II Bonheur: état durable de pleine satisfaction → nous ne pouvons plus éprouver le sentiment d'un manque quelconque

représente l’épanouissement intellectuel que peut ressentir un homme dont le métier lui plairait et qui aurait le plaisir de mener à bien des projets, d’accomplir de grandes choses. Pour exprimer une idée similaire, Confucius a dit « Choisissez un travail qui vous plait et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ». Cela montre qu’on peut travailler et y prendre du plaisir si notre travail nous convient. Marx a séparé la société en fonction de la place des personnes dans le processus

Vie
réelle
n’est
rien
en
 comparaison
de
la
vie
dans
la
 machine
 •  Etre
l’architecte
de
son
 existence

 •  Se
libérer
de
toute
contrainte
 •  Quoi
d’autre
à
part
nos
 expériences
pourrait
compter
 dans
la
vie?
 •  Plus
de
plaisir
doit
toujours
 être
préféré
à
moins
de
plaisir
 …
surtout
si
cela
n’affecte
pas
 les
autres
 •  Tout
n’est
qu’illusion
 •  Etre
dans
le
vrai
est
préférable
 à
se
bercer
d’illusions
 •  Vivre,
c’est
agir
sur
la
réalité
 •  Je
ne
veux
pas
être
un
 ‘légume’!
 •  Exprimer
ma
personne
à


Texte de bac n°2 L’amour de changer de N.Vauquelin des Yvetaux Intro : *Sonnet de 1605,il décrit plaisir de l’amour et les charmes de l’inconstances. ®Franchise et excentrique = il devient précepteur du Dauphin, futur Louis XIII *Nous verrons que sa vision épicurienne de l’amour révèle une vision baroque de l’existence. *On étudiera d’abord l’éloge de l’amour inconstant puis on mettera en évidence le caractère éphémère et changeant de la vie suggéré par ce sonnet. I/ Éloge

satisfaction des besoins vitaux, mais surtout l’accomplissement d’un acte utile à la société, synonyme de vertu morale. Dans le travail, l’homme doit être animé par l’amour du travail comme source d’un plaisir intense. Le travail que l’on accomplit et qui a sa fin en dehors du travail lui ne procure aucun plaisir. Il est source d’inquiétude, en tant qu’il ne satisfait jamais son auteur. L’amour du travail comme attachement désintéresse à la tâche à accomplir, comme un devoir moral vis-à-vis de la société

ostentatoire est aussi illustrée par le dessin de Sempé qui montre un luxe ta à l’œil. Cependant le luxe n’est pas qu’ostentation dans la mesure où Laura Cordin dans le document 3 constate que de nos jours le luxe « se vit de façon intime » pour « un plaisir de soi même ». Jean Castarède prolonge cette idée dans le document 1, il confirme qu’à la période « luxe sur soi » succède la période « luxe chez soi ». Le luxe est une notion qui évolue dans l’espace et dans le temps. De ce fait la rencontre du

L'étymologie amène à penser le bonheur comme un don de la fortune et comme un état passager non maîtrisable. La notion est pourtant définie comme un état durable de pleine satisfaction. De quelle nature est cette satisfaction ? Quelle y est la place du plaisir ? * Inaccessible: à quoi l'on ne peut accéder, que l'on ne peut atteindre, comme un idéal où se projettent les phantasmes individuels et collectifs. * Inaccessible à l'homme: il y aurait incompatibilité entre la condition de l'homme et l'accession

façon de les donner est plus aimable encore; vous feriez chérir le despotisme. Ce n'est pas la première fois, comme vous savez, que je regrette de ne plus être votre esclave; et tout monstre que vous dites que je suis, je ne me rappelle jamais sans plaisir le temps où vous m'honoriez de noms plus doux. Souvent même je désire de les mériter de nouveau, et de finir par donner, avec vous, un exemple de constance au monde. Mais de plus grands intérêts nous appellent; conquérir est notre destin; il faut

nous vueille absouldre!La pluye nous a débuez et lavez,Et le soleil desséchez et noirciz:Pies, corbeaulx nous ont les yeulx cavezEt arraché la barbe et les sourciz.Jamais nul temps nous ne sommes assis;Puis ça, puis la, comme le vent varie,A son plaisir sans cesser nous charie,Plus becquetez d'oiseaulx que dez à couldre.Ne soyez donc de nostre confrarie;Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre!Prince Jhesus, qui sur tous a maistrie,Garde qu'Enfer n'ait de nous seigneurie :A luy n'avons que

chose de lui. Et cette question mène à une autre interrogation qu’est le sujet : choisir de tout plaquer et partir pour recommencer une nouvelle vie, comme nous voudrions qu’elle soit, ou rester et endurer les humeurs de chacun en se contentant des plaisirs qui font quand même partie de la vie en société, comme l’amitié et l’amour. - La vie en société en elle-même est une raison pour tout quitter. On a beau vivre avec des gens biens, c’est-à-dire que l’on trouve sympathiques et équilibrés, on finit