Science politique

socialisation politique. La socialisation est un processus qui se déroule tout au long de la vie, au cours duquel un individu apprend et intériorise les normes et les valeurs de la société à laquelle il appartient, et construit son identité sociale. Celui-ci commence dès la petite enfance, où la famille joue un rôle primordial, et se poursuit tout au long de la vie où d’autres groupes sociaux agiront sur ce processus. Les comportements politiques rassemblent les actions liées à l’activité politique. Comment

Introduction générale: présentation du programme Une définition possible de l'économie est la sciences qui étudie 3 grandes fonctions: la production, la répartition et la dépense de richesse. Qui produit? Pourquoi produit-on? Comment produit-on? Quelle part doit revenir aux salariés? A l'état? Quelle part sera consommée ou investie? Nous sommes dans une économie de marché ce qui signifie que ces 3 fonctions sont principalement organisées sur les mécanismes de marché. Cela s'oppose à une

la présence syndicale dans les entreprises actuelles. Plusieurs auteurs de différentes disciplines en relations industrielles ou en sciences sociales peuvent apporter un regard analytique pertinent sur ce sujet. Les disciplines sur lesquelles nous entendons nous appuyer pour l’étude de ce phénomène sont les relations industrielles, la sociologie et la science politique. À ce moment-ci, notre problème de recherche (ou notre « problématique » si vous préférez) peut se formuler comme suit : de quelle

SCIENCES POLITIQUES Sciences politiques éléments bibliographique : Philippe Breaud ==> « Science politique » Jean-Marie Denquin ==> « Introduction a la science politique » . Achette Jean-Marie Denquin ==> « Science politique » Dominique Chagnollaud ==> « science politique » Il y a aura un certains nombre de cours sur la démocratie ==> Philippe Breaud ==> « démocratie politique » Georges Burdeau ==> « traité de science politique » en plusieurs volume

Pouvoirs, institutions et vie politique Introduction aux institutions politiques = existe dans tous les états aujourd’hui mais peuvent prendre formes différentes (ex : un parlement). On peut les analyser sous l’angle de différentes personnes (journalistes, historiens, politistes …) Ensemble, entité qui peut être unique ou collégiale et qui exerce des pouvoirs défini dans les textes des constitutions des états. Institutions (accent sur la permanence, l’idée que ca vit dans le temps) = organes

enfin jéxaminerai la critique que R. Aron adressa à H. Arendt. L'origine du mot Le mot totalitarisme nous vient de Mussolini qui, sensible à la faiblesse de l'unité de l'Italie du début du siècle, le forgea pour exprimer ses intentions politiques, soit la constitution d'une nation forte et unie et le développement de son corollaire l'État. Pour que l'État créateur de la nation soit fort, il faut, d'après Mussolini, lutter contre ce qui en fragilise l'unité, à savoir l'individualisme, l'égoïsme

directeur du département de science politique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Puis il dirigera le centre de recherche politique de la Sorbonne. La fiche de lecture est basée sur un article du deuxième trimestre de 1997 de la revue de science politique "Politix" (créé à Paris 1), l'article étudié se nomme : "On ne subit pas son rôle, entretien avec Jacques Lagroye". Lagroye a réalisé une analyse sociale des institutions, sa question principale étant le rôle politique. Il n'a pas souhaité faire

du Québec, 1992, 640 p. par Gilles Bouchard Politique, n° 22, 1992, p. 161-163. Pour citer ce compte rendu, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/040739ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI

janvier Partie 1 : Diversité des approches du pouvoir politique Pourquoi les hommes obéissent-ils au pouvoir politique ? Le pouvoir comprend la puissance, la domination. Dans le langage courant, il n’y a pas de différence entre puissance et pouvoir. La vision substantialiste consiste en le fait de faire comme si cette puissance serait intérieure à certains hommes et ne dépendrait pas de variables extérieures. En science politique, on ne va pas avoir cette vision substantialiste du pouvoir

« gouvernement d’un peuple vivant sous la domination d’un Prince ou en république ». Georges Burdeau, universitaire français du vingtième siècle, a rédigé de nombreux travaux sur le droit constitutionnel, et la science politique, dont « Définition de l’État », extrait de son livre, Traité de science politique Tome II (1945). Dans cet extrait, G.Burdeau tend à nous donner son point de vue concernant l’explication d’un État. Or, ce point de vue est tout a fait conforme à la situation actuelle, on va donc s’attacher