Sciences des religions

dont l’Homme ne réussit toujours pas à s’affranchir. La religion est l’exemple typique de cette soumission à une force morale et dogmatique. Ce sont ces mêmes dogmes qui conduiront Galilée devant la cour de l’Eglise catholique pour avoir défendu une thèse s’opposant à un dogme fondamental de l’église : le géocentrisme de Ptolémée.L’homme est un être qui a peur de ce qu’il ne comprend pas. C’est alors qu’il a développé le concept de religion pour se rassurer des phénomènes incompris tels que l’origine

PARTIE 1 : L’opposition de la raison et de la foiIdée générale : Dans quelle mesure pouvons-nous opposer la foi religieuse et la raison, la religion et la science ? A/ Argument 1  : Nous pouvons distinguer deux grands types de vérités. Comme nous l’avons vu, il y a des vérités qui s’appuient sur la raison comme la démonstration (mathématiques), ainsi que des faits comme dans le raisonnement expérimental (comme en physique ou en

Histoire des religions La religion apparait en même temps que la pensée en accord avec une présence invisible. Cette présence invisible correspond avec le refus de la mort et l’aspiration à une vie au-delà de la mort. Elle a occupé une place centrale dans l’histoire humaine, elle est contemporaine de l’avènement de l’humanité notamment avec les pratiques funéraires, les rites qui véhiculent la présence des religions. Définir la religion ne va pas de soit car ce qui apparait c’est la diversité

eu une religion preuve que c est une dimension essentielle de la vie humaine même si individuellement personne n’est oblige d être religieux . L’homme cherche et a toujours cherché son origine , le comment plutôt que le pourquoi le préoccupe . Fasciné par la science il se heurte aux questions d ordre métaphysique .S’il ne détient pas la vérité qui la détient ? Quel est le pilier de l’ humanité , ? qui est Dieu ? La réponse à la question est apportée a l’homme par la religion , Celle-ci

qui cette philosophie sert ou non. - En 1887, il est nommé chargé de cours en science sociale et pédagogie à l’université de Bordeaux, il faut retenir c’est que progressivement il va instituer la sociologie à partir de ses travaux sur l’éducation , c’est par ses travaux qu’il va imposer la sociologie à l’université ce qu’on appellerait aujourd’hui les sciences de l’éduction . Il va poser

LE PHENOMENE RELIGIEUX Attention ne pas penser qu’au catholicisme ! ! aussi incas romains égyptiens… La Religion implique une relation anonyme aux représentants, un dévouement à Dieu alors que la secte relève d’une relation personnelle et direct avec un gourou charismatique. Par ex la scientologie n’est pas une secte car le dirigeant est anonyme, personne ne le connaît. Ce qui compte ds la paroisse c’est qu’il y ait un prêtre mais qu’il soit charismatique (Jean Paul II est une exception car

lecture : La religion : un lien social articulé au don Introduction Jean-Paul Willaime est né en 1947, et est docteur ès en sciences religieuses et docteur en sociologie de l’université de Strasbourg. Ses principaux domaines de recherches sont le protestantisme contemporain, l’œcuménisme chrétien, l’Europe et la religion, la laïcité et la religion, et il a inauguré des théories et des méthodes en sociologie des religions. En bref, c’est un spécialiste de la sociologie des religions. Cet auteur

environnement. Les religions, la science et la philosophie ont contribué à la conception de notre vision de notre planète. Mais

Darwin et de ses successeurs, qui décrit l’homme comme le produit de l’évolution ; D’autre part, celles des principales religions monothéistes (judaïsme, christianisme et islam), pour qui le monde (et les hommes) sont issus de la Création divine. Face à une opposition aussi fondamentale, on imagine aisément les aléas des relations qu’entretiennent entre elles Science et Religions monothéistes, à la fois douloureuses, ambigües et plus ou moins distantes. La citation suivante : « La théorie de l’Evolution

Depuis que l’Homme est, la religion est. Les premiers êtres humains avaient leurs croyances, leurs rites, leurs entité supérieure qui les régissait. Aujourd’hui encore, une majorité d’hommes et de femmes vivent l’esprit profondément ancré dans la religion, pratiquants ou non, ils croient en un ou plusieurs dieux, y consacrent de leur temps et se laissent guider par ces tous-puissants. Jamais néanmoins l’existence d’un être immortel, parfait, n’a pu être démontrée, et c’est pour cela que l’on ne peut