Sciences dures

sentiments de soi-même 1.Tout homme désire naturellement de savoir; mais la science sans la crainte de Dieu, que vaut-elle ? Un humble paysan qui sert Dieu est certainement fort au-dessus du philosophe superbe qui, se négligeant lui-même, considère le cours des astres. Celui qui se connaît bien se méprise, et ne se plait point aux louanges des hommes. Quand j'aurais toute la science du monde, si je n'ai pas la charité, à quoi cela me servirait-il devant Dieu, qui me

ILERI ILECI Le communautarisme Le communautarisme de l'Islam, ennemi ou ami de la République? Languille Julie Miraglia Marc-Antoine Séminaire Science Politique 12/12/2011 Sommaire Introduction ....................................................................................................................................................... 3 I/ Axe d’analyse des «Banlieues de la République» .........................................................................................

dès que le professeur avait dit le mot, je me suis dit, « je peux épeler ce mot », le jour juste avant je l’avais appris dans un des livres de la bibliothèque. Le deuxième événement ayant à jamais changé ma vie s’est produit pendant le cours de sciences de Mr Jaeck, ce jour- là il nous parlait des volcans, il nous montra un objet qui ressemblait à un morceau de verre noir, « Est-ce que quelqu’un sait ce que c’est ? » J’ai directement reconnu cette pierre grâce à ma lecture. C’était étrange,

Histoire et théorie des systèmes internationaux. Quelques remarques sur l’intitulé du cours : Généralement il y a des théories là ou la science a réussis à percer. Mais y’a-t-il vraiment une science-politique ?  La science ne se pilote pas. Il faut simplement créer des conditions favorables aux chercheurs et espérer qu’ils fassent émerger quelque chose.  Au niveau de l’actualité des théories internationales c'est très variable. Aujourd’hui c’est le constructivisme, mais il

Lycée Thiers KH BL Sciences économiques et sociales Sociologie de la modernité Alain Beitone Février 2009 Sommaire Introduction I. La dynamique historique de la modernité II. Sociologie et modernité III. Modernité individualisme et crise du lien social IV. Modernité, postmodernité, modernité réflexive, seconde modernité, etc. Bibliographie Introduction : Définir la modernité Le terme « modernité » est utilisé dans de nombreux domaines. On parle en histoire des « temps modernes

s’initier à la science du droit. Le droit et une science même si comme le disait les consultes romains le droit est « l’art juste du bon » : « jus est ars boni et aequi ». C’est une science molle à la différence des sciences dures qui reposent sur des calculs et des expérimentations. Plus précisément c’est une science humaine dont l’objet d’étude est l’Homme en tant qu’être social. Dans le vocabulaire juridique de l’association « capitan » publiée par professeur Cornu la science du droit est défini

organismes. La notion de société internationale ; la problématique de la société internationale est de savoir si l’on peut parler de société internationale. Est-ce une réalité ou un mythe ? est-ce quelque chose qui en voit de construction ? La science des relations internationales ; sur les méthodes qui ont été privilégiées par cette discipline pour essayer de donner un sens aux relations internationales, la seule approche est une approche sectorielle. On peut partir de l’expression relations

l’industrialisation, cette alliance entre ces trois éléments cherche pendant tout le XIXe siècle à se recréer, et cela sera générateur de beaucoup de conflits. On voit autour de ces termes que se structurent au XIXe siècle, les principales interrogations des sciences humaines. Pas que sociologique. Quelle est la nature de la communauté ? Qu’est ce que c’est ? Mais aussi qui doit détenir le pouvoir ? Lorsque l’on a un ordre traditionnel ancien, qui fonctionne comme cela depuis des siècles, la question de la légitimité

HISTOIRE DE LA PENSEE ECO 1 OBJECTIFS • Réflexions générales sur ce qu’est une science et relier ce débat « philosophique » à l’économie: la « science économique » est-elle une science, et si oui, une science comme les autres? • Unicité de sciences ou dualisme? • Problèmes de la preuve en science économique => cyclicité des idées • Dépendance au contexte des idées (le contexte économique, les intérêts…) => la science économique n’est pas « neutre » ANNEE ACADEMIQUE 20112012 ULB - SLIDES HISTOIRE

modèle ou cette notion et l'air du temps2. Dans 1. Cet argument a été développé par B. Girod de l'Ain lors du colloque sur le gouvernement des universités organisé par Christine Musselin et moi-même en 1992 dans le cadre de l'Association Française de Science Politique. 2. En parlant d'une volonté "d'humiliation de la raison", Michel Crozier a très justement 272 DÉSORDRE(S) leur formulation volontairement dépréciative d'une activité décisionnelle habituellement fortement valorisée, dans leur