Sculpture grecque antique

L’art maniériste et le plaisirL’art maniériste et le plaisir Les humanistes du XVe et XVIe siècles, avec leur goût pour la traduction et la écrits antique, ont découvert tout un corpus littéraire sur le plaisir tournant autour de la pastorale, des thématiques bachiques, ou encore le motif du locus amoenus. En philosophie aussi, le Grec Épicure, dans La Lettre à Ménécée pose la question du plaisir. Il mentionne, parmi d’autres, les désirs naturels  : qui ne sont ni nécessaires ni vains, mais

musée devront avoir leurs sens visuels agressé par l'art et l'architecture avant même leur entrée dans le bâtiment. Le batiment a été construit dans le style néo-classique. A l'extérieur le batiment empruntent massivement de l'art de l'antiquité grecque et l'architecture classique . Schinkel expérimente avec quelques idées déjà en vigueur en France, par exemple le musée de la division dans les galeries autour d'une salle ovale et le grand portique avec des colonnades, deux options qu'il interprète

les ducs d'Urbino, les doges de Venise et les papes à Rome), elles connurent une stabilité et une prospérité économiques favorables au développement des arts. 15ème siècle(Quattrocento) l’Humanisme o Redécouverte de la pensée et de l’art antiques o Mise en avant de l’individu ( artistes reconnus) o Religion toujours importante dans la société o Italie : ensemble de petites principautés dirigés par des humanistes (art symbole de pouvoir) 16ème siècle Bouleversements au Cinquecento

SUJET : L’art Byzantin et l’art de l’Islam Introduction : Byzance, colonie grecque fondée au 7ème siècle av.J.C est devenue Constantinople, capitale de l’Empire romain d’Orient, en 330 sous le règne de l’empereur Constantin. Byzance fut la seconde Rome. De Rome elle eût l’éclat, dont nous percevons les feux dans ses mosaïques, ses icônes. Mais à la différence de Rome, son art fut essentiellement chrétien. L’art byzantin témoigne aussi d’influences orientales.

esthétique fondée sur des principes assez contraignants qui amèneront la critique moderne à assimiler, de façon souvent réductrice, classicisme et respect des règles qui doivent permettre la production d'œuvres de goût inspirées des modèles de l'art antique marqués par l'équilibre, la mesure et la vraisemblance. Le classicisme concerne la littérature du XVIIe siècle, en particulier le théâtre mais aussi d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture (voir l'architecture classique en

des détails, du jeu des apparences utilise les thèmes de l’illusion, de la métamorphose et de la mort. Le baroque se situe généralement entre le dernier tiers du XVIe siècle jusqu’au premier tiers du XVIIe siècle. Emprunté à l’architecture et à la sculpture italiennes de la fin du XVIe siècle, ce mot s’applique aussi à un grand nombre d’œuvres littéraires de cette période, jusqu’à la moitié du XVIIe siècle environ. Procédés stylistiques privilégiés : l’hyperbole ; l’antithèse ; la personnification ;

La Renaissance (entre le XVème et le XVIème siècle) En Europe. Elle s’oppose à la conception médiévale de la réalité, avec une représentation plus naturaliste, faisant référence à la sculpture antique et romaine en particulier. Les artistes de la Renaissance sont surtout présents en Italie, principalement à Florence où règne la famille Médicis, à Rome sous la protection des papes, mais également en Espagne et dans les Flandres. Le « quattrocento. », le XVème siècle en italien, est l’une des périodes

grosse rupture avec l’art Byzantin. Fils de fermier il développe un amour pour la nature et la volonté de la retranscrire en dessin (mimesys). Il fera un séjour à Rome en 1286 environ en probable compagnie de Cimabue. Là-bas il étudiera les œuvres antiques. Il rencontrera de plus un autre artiste : Arnolfo Di Cambio. On notera chez lui une influence de Di Cambio et une proximité à la nature qui se répercutera dans ses œuvres. Ses influences seront Cimabue, Di Cambio, l’Antiquité classique, la nature

les secrets de la nature, dont ils découvraient les lois. Ils s’intéressaient à la littérature, comme par exemple François Rabelais qui est un humanisme optimiste croyant en l'homme et en son libre arbitre sans cesser de croire en Dieu ou à la sculpture comme par exemple Michel Ange qui a sculpté David. Quelques humanistes étaient aussi passionnés par l’architecture comme Brunelleschi qui a réalisé le Dôme et lanterne de la cathédrale Santa Maria del Fiore à Florence. Les principaux champs de

intellectuel d’inspiration antique. A travers les textes anciens, les intellectuels humanistes redécouvrent en effet les civilisations grecques et latines. C’est d’ailleurs ce que suggère la lettre de Rabelais du premier document puisque le narrateur recommande à son destinataire de former son « style quant à la grecque, à l'imitation de Platon, quant à la latine, de Cicéron. » Autrement dit, Rabelais cite pour modèles les références intellectuelles et littéraires antiques. La littérature, la philosophie