Se Connaitre Est Ce Une Illusion

connaissance est un acte par lequel la pensée saisit un objet à travers une expérience sensible ou un concept, il s’agit donc de quelque chose de fondée, dont on a une preuve. Or a-t-on déjà eu une expérience sensible avec Dieu qui nous aurait permis de le connaitre ? Les croyants ne connaissent donc pas Dieu, ils y croient ; en effet la croyance, consiste à affirmer quelque chose sans pouvoir en apporter les preuves. Dans l’antiquité, et encore aujourd’hui avec certaines religions, des croyants expliquent

moi et que j’ai grandi avec moi, je suis donc plus à même de me connaitre, de savoir qui qui je suis « qui mieux que moi peut savoir qui je suis ». En effet, tout le monde dit moi mais je suis seul a utiliser le moi pour moi-même. Chaque individu possède une caractéristique qui lui est propre la pensée comme le dit Descartes  « je pense donc je suis » se qui fait de l’individu un homme et non un animal « je » suis le seul à connaitre mes pensée je sais donc qui je suis réellement. Il existe un

protection des hommes, à ce désir de certitudes qu’ils ressentent. Elle apaise l’angoisse liée à ces désirs infantiles inassouvis en fournissant des dogmes (affirmations considérées comme des certitudes indiscutables). Freud qualifiait la religion d’« illusion répondant à la détresse infantile de l’homme » La religion est, de surcroit, une consolation, elle est « l’opium du peuple » disait Marx dans sa Critique des principes de la philosophie du droit d’Hegel. Aussi est-elle un moyen de supporter la douleur

philosophique du terme. Les apparences ne donneraient à voir des choses ou des êtres qu’une sorte de surface peu conforme à ce qu’ils sont au fond, ou en « réalité ». Le caractère facilement trompeur de l’apparence nous éloigne souvent de la vérité (ex : illusions d’optique). On peut de plus faire appel à Platon qui dans son allégorie de la caverne imagine des prisonniers enchaînés au fond d’une caverne sombre ; cette caverne symbolise le monde sensible, celui dans lequel nous vivons et nous en sommes les

« LA DOUBLE ABSENCE », A. Sayad Introduction Texte : La double absence. Des illusions de l'émigré aux souffrances de l'immigré de Abdelmalek Sayad, édité chez Seuil en Septembre 1999. Présentation de l’auteur : Sociologue franco-algérien né en Algérie Française en 1933 et décédé en 1998 en France. Surnommé le « Socrate d’Algérie » par ses pairs ; assistant et ami du sociologue Pierre Bourdieu. Directeur de recherche en sociologie au CNRS et à l’EHESS Préface de Pierre BOURDIEU sur

CONSCIENCE MORALE: Jugement pratique par lequel le sujet distingue le bien et le mal et apprécie moralement ses actes et ceux d'autrui. CONSCIENCE PSYCHOLOGIQUE : Aperception immédiate par le sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors de lui. * connaître : Savoir, être informé de. « Je sais que je sais ; je sais que je désire ; je sais que je veux », décrit Alain dans Vigiles de l'esprit à propos de la conscience. On peut distinguer trois types de conscience : la conscience spontanée, réfléchie

la connaissance au savoir. En effet, c’est connaitre la nature d’une chose ainsi que de ses propriétés. C’est un savoir sur l’existence d’une chose. De ce fait, la connaissance de soi est la capacité à se prendre soi-même pour sujet de connaissance.Dans le sujet donné, on cherche à déterminer l’essence de la conscience de soi. On se demande si la conscience permet d’acquérir une connaissance. Mais le fait de se penser est-il suffisant pour se connaître réellement ? Pour répondre à cela, nous comparerons

pas facile de distinguer un rêve de la réalité (combien de fois avons-nous cru, en rêvant, que nous sommes éveillés ?). Donc il faut considérer toutes nos représentations (« toutes les choses qui m’étaient jamais entrées en l’esprit ») sont des illusions. Le doute est devenu hyperbolique. Subsiste cependant une certitude : puisque je pense que tout est faux, moi, qui le pense, suis quelque chose. « Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les

distance par rapport à lui. Mais si l’objet à connaître est soi-même, alors la distance devient inexistante, et une bonne connaissance de soi peu être difficile. Avoir conscience de soi est il suffisant pour ce connaître ? Etre conscient de quelque chose, c’est se rendre compte de se qui ce passe à présent, et de savoir se que l’on produit. Etre inconscient, agir de manières irrationnelles sans savoir pourquoi. Donc avoir conscience c’est savoir. Connaître ce que l’ont produit, ce que l’on fait

que connaissant. "Etre"; "suis" : exister (être en général : réalité) "conscience" : esprit qui connaît par opposition aux choses à connaître; on peut définir les différents niveaux de la conscience : conscience immédiate; réfléchie (se saisir comme sujet pensant, comme conscience; cf; introspection, faculté de rentrer à l'intérieur de soi pour se connaître). Sorte de savoir immédiat. Mais ici, il s'agit de la conscience réfléchie. Sens de la question (mise en rapport des termes). Le sujet