Searle

l’analyse du discours, Paris: Seuil. 1996. • MA1NGUENEAU. Dominique Linguistique pour le texte littéraire, Paris : Armand collin. 2005. • RECANAT1 François, La Transparence et l’énonciation : pour introduire à la pragmatique, Paris: Seuil. 1979. • SEARLE John, Sens et expression, études de théories des actes de langages, Paris, Éd de Minuit, 1992. • SERFATI Georges-Elias, Élément d’analyse du discours, Paris, Armand Colin, 2007.

l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville; M. Michel Gibson, maire de la Ville de Kirkland; Mme Sylvia Lo Bianco, conseillère d’arrondissement, Montréal-Nord; M. Peter McQueen, conseiller de la Ville, Côte-des-NeigesNotre-Dame-de-Grâce; M. Jeremy Searle, conseiller de la Ville, Côte-des-NeigesNotre-Dame-de-Grâce; Mme Lili Anne Tremblay, conseillère d’arrondissement, St-Léonard. 6. TOUS LES MÉMOIRES SERONT VERSÉS SUR LE SITE DES COMMISSIONS À L’ADRESSE ville.montreal.qc.ca/commissions

concéder, paraphraser, répondre - les comportatifs : s'excuser, remercier, féliciter, souhaiter la bienvenue, critiquer 4.2.3. La théorie de J. Searle Les actes de langage (1972) Parler une langue, c'est adopter une forme de comportement régi par des règles. Parler, c'est accomplir des actes selon les règles. a. L'acte de langage selon Searle Lorsqu'un locuteur énonce une phrase, il accomplit au moins trois types d'actes distincts : - énoncer des mots égal effectuer des actes d'énonciation

une argumentation, clarifier l'emploi des mots, assurer les références : affirmer, nier, répondre, objecter, concéder, exemplifier, paraphraser, rapporter des propos. 1. Austin, Quand dire c'est Faire, 1962, tr. fr. 1979 - SEUIL, Coll. Points 2. Searle, Les actes de langage, 1972, Hermann, coll. Savoir : lettres

l’homme programmé par sa génétique et l’environnement dans lequel il aura évolué en reviendraient au même procédé machinal. L’individu réagirait en fonction des signaux neuronaux qui enclencheraient toute prise de décision quelle qu’elle soit. John Searle propose à cet effet un argument s’illustrant d’un exemple pour satisfaire la comparaison homme/machine se nommant la «chambre chinoise»5. L’expérience consiste essentiellement à offrir un texte en chinois à un individu ne parlant pas la langue dans

Le langageI ) Une spécificité humaine?Commençons par quelques définitionsLe langage désigne  la  capacité  qui  permet  à  chacun  d'entre  nous  de communiquer  et  d'interagir  avec  les  autres  Hommes. Le  langage  désigne  une  capacité,   la  langue   désigne  un  outil  permettant  de  communiquer.  La langue  n'est  pas  commune  à  tous  les  êtres  humains  mais  seulement  à  un  groupe  de  personnes.  Il  faut  donc  être au

Précis de sémiotique générale, De Boeck, Bruxelles, 1996 LABOV William, Sociolinguistique, Minuit, Paris, 1976 PEIRCE Charles S., Écrits sur le signe, Seuil, Paris, 1978 De SAUSSURE Ferdinand, Cours de linguistique générale, Payot, Paris, 1972 SEARLE John, Les actes de langage, Hermann, coll. Savoir, Paris, 1972 SPERBER Dan, et WILSON Deirdre, La pertinence, Minuit, Paris, 1989

situation ainsi qu’aux rapports entre les énoncés et actions. C’est un courant d’origine anglo-saxonne, parfois appelé philosophie du langage ordinaire. La notion centrale étant le speech act, développer à partir des années 50 en GB, notamment par John Searle. Celui-ci à publié en 1969 un ouvrage appelé Speech Act, base de ses écrits. Paul Grice, linguiste ayant travaillé sur les lois du discours, Oswald Ducrot aussi linguiste français, spécialiste du présupposé, sont à retenir. John Austin, étant l’auteur

des aspects particuliers de l'objet discours. Le champ de l’analyse du discours est d'autant plus vaste et morcelé qu'on pourrait même parler d’éclatement dans ce domaine.Par exemple, Benveniste s’intéresse aux phénomènes d’énonciation, Austin et Searle aux actes de langage, Ducrot aux connecteurs, à la présupposition et la polyphonie, Sperber et Wilson aux processus inférentiels, le Groupe Saint-Cloud au lexique, pour ne citer que ceux-là. De plus, dans certains modèles, l'analyse du discours

poser alors la question du langage les intéresse peu. Or, la tâche du philosophe est aussi de questionner l’ordinaire. En ce sens, il a à l’égard du langage un souci de description significative de certains traits généraux du langage qui selon John Searle sont la référence, la Vérité, la signification et la nécessité. Le langage a toujours été au centre de la discussion entre certains penseurs grecs de l’antiquité (Platon, Aristote) et les sophistes. Ils ont eu à faire certaines approches : antique