Dissertation sur le langage
Le langage des abeilles est donc limité au vital, aucune exploratrice ne peut revenir à la ruche en disant qu’elle refuse d’indiquer la nourriture. De plus il est limité aux situations. Par exple, Von Frisch a placé au sommet d’un pylône de radiodiffusion une coupe d’eau sucrée tout près de la ruche. L’exploratrice la découvre, mais elle est incapable de communiquer l’info ; les abeilles butineuses partent dans tous les sens incapables de trouver la coupe juste au-dessus d’elles il n’est pas prévu d’expression signifiant bas, haut, dans le langage des …afficher plus de contenu…
Ces étiquettes sont aussi par excellences les mots, càd les signes conventionnels, adoptés communément, et qui nous permettent de nommer un objet tout en le distinguant des autres. Par ex, le mot « arbre » n’est pas le mot « chaise », mais en même temps ce premier mot n’est qu’une « étiquette », il ne nous dit pas » platane », « chêne », « bouleau », et de même pour le mot « platane », il désigne certes tous les platanes par opposition aux « chênes », mais ce n’est encore qu’une étiquette, dans la mesure où il ne dit pas la spécificité d’un platane / à un autre, il n’en dit pas sa singularité. Donc d’une chose, d’un objet, le mot généralise, n’en dit que