Searle

x x x x x x x x 7,2 8,9 7,4 9,3 11,3 14,6 19,2 25,6 27,8 7,2 8,9 7,4 9,3 11,3 14,6 19,2 25,6 27,8 7,2 8,9 7,4 9,3 11,3 14,6 19,2 25,6 27,8 A A A A A A A A A A A A A A A A A A A A A A A A A A www.graphic-eclair.fr - ¥ 01 43 30 99 99 A Searle France 37/47 rue Calmette & Guérin ZA Les Perriers 78500 SARTROUVILLE Téléphone : Télécopie : Email : Site Internet +33 (0)1 61 04 35 35 +33 (0)1 61 04 97 67 commercial@searle.fr : http:www.searle.fr CSF 10/C - OCTOBRE 2006 Nous nous réservons

(prévision scientifique et prédiction astrologique) • Pourquoi regarder son horoscope ? (surtout quand on n’y croit pas) • La planification (l’ordre spontané – cosmos - et l’ordre artificiel – taxis) • Qu’est-ce qu’une promesse ? (¹anticiper – J. Searle, Les actes de langage et H. Arendt, la promesse comme « Rédemption » de l’action, La condition de l’homme moderne) • La science-fiction • Le « Nouveau Monde » (pourtant peuplé d’ « indiens ») • Qu’est-ce qu’un ambitieux ? (Dans les romans d’apprentissage

présupposé 10 désigne ce qui peut être logiquement impliqué par le posé. La prise en compte des présupposés est importante dans l’analyse de toute assertion. Assertion non pas dans le sens de modalité assertive mais dans le sens défini par Searle : « un acte ayant pour finalité d’engager la responsabilité du locuteur sur l’existence d’un état de choses. » 4-2- Le présupposé et le sous-entendu : C’est Paul qui a cassé le vase. Que peut sous-entendre cette phrase ? Paul est maladroit Paul est

l’Académie). Dieu est tellement incommensurable avec notre entendement que l’on ne peut rien en dire : « Ce que nous démontrons, c’est notre ignorance à son égard, c’est notre incapacité d’en parler, notre aphasie » Pour le philosophe américain John Searle au contraire il existerait un « principe d’exprimabilité ». En théorie le langage permet de tout dire : « Nous pourrions formuler ce principe de la façon suivante : pour toute signification X, et pour tout locuteur L, chaque fois que L veut signifier

Administration (FDA) * Or la FDA a été obligé d’approuver l’aspartame alors qu’elle en avait interdit l’usage pendant 16 ans à cause de sa nocivité, et son revirement de position est dû au fort lobbysme de la compagnie Monsanto, qui a racheté la compagnie Searle (compagnie commercialisant l’aspartame) * Ainsi ce site est plutôt fiable, car il se base sur des rapports scientifiques, mais malheureusement le site perd de sa crédibilité à cause du fort lobbying exercé sur certains comités scientifiques

main de l’homme, c’est le cas de l’aspartame, mais d’autres existent aussi à l’état naturel, comme la stévia. Présentation de l'aspartame L'aspartame est un édulcorant artificiel découvert en 1965 par J. Schlatter, chimiste de la société G. D. Searle & Company et a été autorisé en France à partir de 1988. Il est utilisé par les grandes firmes de l'alimentaire dans des produits « light » donc peu caloriques, car les gens aujourd'hui font de plus en plus attention à leur ligne et sont par conséquent

société française, on réalise de façon codée l’acte de refuser : je ne veux pas, pas question … et dans toute langue il est nécessaire d’apprendre ces codes, -> c’est l langue qui se réalise en parole. Les philosophes anglo-saxons : Austin (anglais) et Searl (Américain) pendant les années 60/70 ont beaucoup analysé les usages ordinaires de la langue. Pragmatique : analyse du langage comme action La première analyse n’est pas pragmatique, les 2 autres si : L’énonciatif ou le discours = 2ème type d’analyse

communicative furent considérablement éclairés par les travaux de H.P. Grice, et sont l’objet de la pragmatique, une branche de la linguistique dans laquelle les philosophes jouent un rôle important. Pour ce qui nous concerne, les travaux d’Austin, Grice, Searle eurent pour effet de laisser entrer le loup dans la bergerie – le mental dans la sphère du sens. Chassé du langage par la porte de la logique, l’esprit revenait par la fenêtre du dire. Le philosophe ne pouvait plus espérer progresser par la seule

informer, inciter, demander, convaincre, promettre, etc. son ou ses interlocuteurs par ce moyen. Cette théorie, proche de la philosophie du langage , a été mise au point par John L. Austin dans Quand dire c'est faire (1962), puis développée par John Searle. Elle insiste sur le fait qu’un individu peut s'adresser à un autre dans l'idée de faire quelque chose, donc de transformer les représentations de choses et de buts des autres, plutôt que de simplement dire quelque chose: on parle alors d'un énonce

 concept philosophique, problème  du sujet et de l’intentionnalité • Conscience: – Concept scientifique: qu’est‐ce qui est objectif  (mesurable), comment analyser scientifiquement  la question – Concept inutile « épiphénomène » Pragmatisme scientifique • J Searle (1996) : identifier simplement ce dont on  parle • « la conscience se réfère aux états mentaux qui  commencent quand on se réveille... et qui se  poursuivent jusqu'à l’endormissement (ou le coma ou  la mort). Les rêves, bien que différents des états de