Second Placet Tartuffe

un léger silence de même qu'une vague surprise sur le visage de l'auteur. Il répondit posément qu'il n'y a pas de picaro dans l'oeuvre de Sorel. Les auteurs de romans picaresques ont en effet recours aux décriptions des bas fonds, ou de décors de seconde main parfois imaginaires. Les auteurs réalistes comme Charles Sorel ne parlent que de ce qu'ils connaissent. _ Le professeur Bonemason intervint de suite avec un autre thème : le Sorel décrit par Pierre Lepape dit "oui" au pouvoir en place (Note

l’orthographe. La leçon commence par les voyelles et leur prononciation. Le Bourgeois gentilhomme : la leçon de philosophie. La scène 4 de l'acte II est divisée en trois parties ; la première est le refus de toutes les matières du maître, la seconde est l'apprentissage de l'orthographe et la troisième est la composition du mot doux. Aussi la scène 4 de l'acte de II présente différents genres de comique : le comique de mots, le comique de geste, le comique de situation et le comique de caractère

(1639-1699) : Andromaque (1667) Iphigénie (1674) Phèdre (1677) Britannicus (1669) Bérénice (1670) Mithridate (1673) Esther (1689) Athalie (1691) La tragi-comédie : c’est un genre dramatique (seconde moitié du XVIe siècle – XVIIe siècle) qui mêlait à la tragédie des éléments propres à la comédie. Les sujets de la tragi-comédie sont souvent d’origine romanesque, les personnages appartiennent à des milieux sociaux différents. Il y a mélange des

sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan

répétition)… Le Virgile travesti. Il reprend la scène de la descente aux enfers d’Enée lorsqu’il rencontre Didon qu’il avait abandonné après l’avoir séduite et qui s’est suicidée.) Boileau (auteur de parodie) La parodie est la « littérature au second degré » selon Genette. C’est aussi un comique savant (parenté avec le pastiche et le burlesque). Genette les différencie ainsi : le burlesque est une « forme de travestissement du texte dont il modifie le style sans modifier le sujet » ; la parodie

théâtre classique : « la règle des trois unités » (les règles de bienséance). En effet, ici il n’y a pas « d’unité de lieux », la pièce à de nombreux changements de décors (l’acte 1 se déroule dans un palais au travers duquel on voit un jardin, le second dans un hameau de verdure avec une grotte au travers de laquelle on voit la mer, le troisième dans une forêt avec à l’arrière plan un temple entouré de verdure, le quatrième dans les appartements de Dom juan et le dernier dans une ville). Puis, la

MOLIERE SEDUCTEUR : TARTUFFE ET DOM JUAN VUS PAR LA CRITIQUE. François Rémond (Université Paris III – Sorbonne Nouvelle). En premier lieu, il paraît important de définir précisément le concept de séduction : Dans la langue courante contemporaine, le terme possède une axiologie majoritairement positive (1) : Le Sens propre distingue un sens « littéraire ou plaisant » : « En Parlant d’un homme, amener (une femme) à lui accorder ses faveurs hors mariage » et une extension de sens moderne précisément

Renaissance , on redécouvre le théâtre antique. Il devient interdit de représenter des sujets religieux. Deux genres apparaissent : la commedia erudita ou comedie humaniste qui raconte des histoires d’amour contrariées et la commedia dell’Arte. La seconde va s’épanouir dans la 2eme moitié du XVIès. Elle se construit à partir d’un canevas mais repose sur l’improvisation. Elle comporte des éléments de jeu très farcesques : acrobaties , mimiques , expressions corporelles , bons mots appelés

la cuisine, qui touchait la chambre où nous étions, et Mme Basile alarmée me dit vivement de la voix et du geste : " Levez-vous, voici Rosina. " En me levant en hâte, je saisis une main qu'elle me tendait, et j'y appliquai deux baisers brûlants, au second desquels je sentis cette charmante main se presser un peu contre mes lèvres. De mes jours, je n'eus un si doux moment: mais l'occasion que j'avais perdue ne revint plus, et nos jeunes amours en restèrent là. [... ] Un petit signe du doigt, une main

hébraïque, chaldaïque, latine… » Maurice Scève, Microcosme livre II : « Grèce, la vertueuse, et fertile à merveille,/ Dont le monde n’avait ni n’aura sa pareille » Erasme, Eloge de la folie : « L'homme ne naît pas homme, il le devient. » Etienne Dolet, Le Second Enfer, Au très chrétien et très puissant Roi François : « Mon naturel  est d’apprendre toujours ; /Mais si ce vient que je passe aucuns jours/Sans rien apprendre en quelque lieu ou place,/ Incontinent il faut que je déplace » Citations sur le roman