Second Prêche Paneloux

situe entre les pages 118 et 119, à partir de « À nos esprits plus clairvoyants… » jusqu’à « Dieu ferait le reste ». Nous pouvons noter, d’abord, que durant tout le prêche, le discours prend différentes formes. En effet, il y a une opposition entre le discours direct et le discours indirect, respectivement utilisés par le père Paneloux, prêtre jésuite érudit, et le docteur Bernard Rieux qui se cache sous les traits du narrateur, information que nous ne découvrons qu’à la fin de l’œuvre. Il y a donc

nous permet d’assister au prêche de Paneloux, le prêtre d’Oran. La ville, frappée par la peste, a dû fermer ses portes. LECTURE Comment Albert Camus choisit-il de présenter le premier prêche de Paneloux ? Dans un premier temps, nous verrons que Camus choisit de faire de ce prêche un texte habilement composé. Dans un second temps, nous verrons que le romancier fait le choix de mettre en scène un personnage stratège. Enfin, nous observerons le rôle des conditions du prêche.   Développement   I]

Plan détaille de : La Peste (le Prêche de Paneloux), Albert Camus(1947) « La justice, comme la peste, change les âmes et les visages. » de Colette Piat. Comme le laisse entendre cette phrase, la peste n’est que le reflet d’une justice divine qui s’abat sur les Hommes afin de les éclairer et de les ramener à la raison. C’est d’ailleurs cette thèse que défend le père Paneloux dans son prêche à l’intention de ses concitoyens. En effet, dans ce passage, situé dans la 2ème partie, alors même que

Commentaire composé sur un extrait de la peste de Camus : Le prêche du prêtre Paneloux : Plan général du commentaire composé : L’efficacité d’un discours d’autorité : Le prêche : La force persuasive du prêche. Une démarche convaincante efficace. Une conception religieuse de la condition humaine : Le mal : Une vision manichéenne. La culpabilité de l’homme vers Dieu. Rédaction du commentaire composé : Albert Camus, écrivain engagé du XXe

Tarrou et Rieux sont deux hommes révoltés, qui, pour des raisons différentes, refusent un ordre du monde régi par la mort mais qui se caractérisent par une grande capacité de compréhension et de sympathie. Expliquez et illustrez ! 3. Présentez le père Paneloux, montrez son attitude face au fléau et dites dans quel sens sa mort est symbolique. 4. Présentez la ville d’Oran et ses habitants, dites comment les Oranais réagissent face au fléau et décrivez leur comportement au moment de la délivrance. 5. En

LA 3 : Le prêche du Père Paneloux, La Peste, Camus Alors que la peste sévit depuis un mois et que les porte de la ville ont été fermées, une semaine de prières collectives est organisée. Elle est ponctuée par le prêche du père Paneloux, « jésuite érudit » apparu brièvement aux côtés du concierge Michel avant sa mort, dans la première partie du texte. Comment le narrateur rapporte-t-il ici l’interprétation religieuse de la peste ? [Autres questions possibles : quelle interprétation de la

Rieux retenait la main de Paneloux : « Vous voyez, dit-il en évitant de le regarder, Dieu lui-même ne peut maintenant nous séparer. » Après avoir brièvement situé la scène, commentez et discutez l’attitude et les propos de Rieux. Cette scène se situe directement avant le second prêche du père Paneloux, donc tout de suite avant le changement d’attitude de Paneloux. Rieux et Paneloux sont en train de mener une discussion sur la religion. Tous les deux choqués de la mort de Philippe, le fils Othon

3 . Paneloux : action principal premier prêche : interprète la peste comme un fléau divin , une punition collective il ne croit pas aux efforts de la vaine science humaine et fait grief au sérum de Castel d'avoir retardé la mort, donc d'avoir prolongé les souffrances de l’enfant Othon . mort du fils Othon : semble avoir été affecté par la mort du fils Othon la mort d'un innocent l'amène donc à réviser ses idées deuxième prêche : il semble avoir été affecté par la mort du fils Othon, il

Bon texteMontrez que Paneloux n’arrive pas à être absurde, au sens existentialiste du terme.Le curé Paneloux tente de changer la situation par des moyens rationnels et irrationnels . Il est d’abord irrationnel lorsqu’il prêcheafin de mettre un terme à la peste qu’il considère comme une punition divine . En effet , face à la demande qui lui est faite, « [d]’une nature fougueuse et passionnée, il [accepte] avec

entrant dans les desseins de la Providence) et les indices de la distanciation de l'auteur pour qui la religion ne saurait être d'aucun secours. La position de Camus, non formulée directement, se devine en creux, à l'opposé du sermon religieux de Paneloux. La peste est pour les deux hommes un révélateur : mais ce qu'elle révèle selon l'auteur, c'est l'absurdité de la vie humaine, et non pas un prétendu manque de piété ou une faute originelle. Support : p93/95 de « Au bout de sa longue période » à