Seconde Restauration Et Monarchie De Juillet Rupture Ou Continuité

l'ambassadeur. La dépêche d'Ems est rédigée en des termes ambigües voire offensant envers la France, sachant que ce ton très sec, provoquera l'effet « d'un chiffon rouge sur le taureau gaulois ». La France considère que la dépêche d'Ems est offensante. Le 19 juillet 1970, Napoléon 3 veut laver l'honneur de la France, et déclare la guerre à la Prusse. Napoléon 3 bien que malade, prend la direction de l'armée. Le problème est que l'état-major a beau assurer que l'armée est prête, cette armée française n'est pas

fondements même de ses principes dans l'aventure coloniale ? I .La mise en œuvre du projet républicain 11. La République des royalistes (1870-1879) 111. Une République fragile • Un régime politique né dans la défaite militaire. ◦ Depuis le mois de juillet 1870, l'Empire de Napoléon III est en guerre contre la Prusse. La République est proclamée le 4 septembre qui suit alors que la defaite militaire est sûre et que l'Empereur a été fait prisonnier. Les troupes francaises sont battues a Sedan, et Paris

royaume. Après le règne de Philippe auguste, c'est celui de louis 9 (1226 1270). Il a donné son nom au 13 e siècle. Son règne marque l'apogée de la monarchie féodale car elle a utilisé toutes les ressources de la féodalité et des liens vassaliques pour s'imposer définitivement sur les grands seigneurs et pour faire régner la justice et la paix du roi. La monarchie va s'imposer sur tous les grands princes et affirmer la suzeraineté royale. Après SAINT LOUIS, il y a deux autres règnes Philippe 3 (1270 1285)

cette limitation est en vigueur et considérés comme des modèles de démocratie ont une histoire qu’il convient de rappeler. En France, la Constitution de l’An I instaurant la République date de juillet 1793, même si elle ne fut jamais appliquée. Cependant, c’est la Loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 de modernisation des institutions de la Ve République, soit 215 ans après qui a introduit la limitation de mandat dans la Constitution de la IVe République française de 1958. L’article

tradition impériale, ca rappelle la conversion de l’Empereur Romain Constantin et ce baptême lui procure le soutient des gallo-romains et de l’Église. Il a aussi une portée plus lointaine, c’est le mythe fondateur de la monarchie. Ce baptême inaugure des liens étroits entre la monarchie française et l’Église qui ne cesseront jamais d’exister et de se renforcer. C’est un symbole de l’unité catholique. (Le baptême n’est pas le sacre qui est une onction par laquelle le roi acquiert un caractère presque

res publica, c'est à dire que la personne à la tête de l'état a un rôle symbolique qui incarne l'état. L'administration romaine ne sert pas l'empereur, mais l'empire.Cet Empire va êtr gouverné par deux réalités :la réalité moteur est l'empereur ,la seconde est l'administration ,l'adm sert à l'empereur donc elle n'est pas à égalité avec l'empereur. A) L'empereur = le continuateur des magistrats de la république choisie a vie ( c'est donc un magistrat) = est élu ( il est triplement élu: par le

§ 3 – La Constitution de 1793 § 4 – Le Directoire Section 3 – Les hésitations des libertés § 1 – Les régimes napoléoniens § 2 – Les Chartes constitutionnelles § 3 – La IIe République § 4 – Le Second Empire Section 4 – Le triomphe des libertés § 1 – La IIIe République § 2 – La parenthèse vichyste § 3 – La IVe République Titre 2 – Les sources des libertés publiques Chapitre 1 – La « Constitution »

depuis au moins une année, être inscrit au rôle de la garde nationale dans la municipalité du domicile, avoir prêté le serment civique et acquitté le paiement d’une contribution directe égale à trois jours de travail) Citoyens passifs > citoyens de seconde zone. Tous ne sont pas égaux devant suffrage. Prohibition du mandat impératif, les représentants ont un mandat libre ne sont pas assujettit au mandat de leurs électeurs > confiscation de la souveraineté aux mandants. Les deux théories relèvent

signature, la loi devient un acte qui s’impose à tout le monde. Ce sont donc les institutions qui fabriquent les lois, les normes juridiques. Les institutions sont des organisations humaines, elles sont fonction de l’Etat, et elles ont une continuité dans le temps indépendamment des personnes les représentants et les incarnant (seuls les titulaires changent : ministres, président, parlementaire …) Elles sont les acteurs centraux du DC. Au plan juridique ces organes de l’Etat son doté de

de Matignon »). Il existe au-dessus d’eux une légitimité qui les dépasse, un appareil qui leur survit : c’est le pouvoir politique institutionnalisé dans l’Etat (cf. « Le roi est mort, vive le roi ! »). Cela assure la continuité du pouvoir politique – on parle d’ailleurs de continuité de l’Etat – indépendamment de la personne de ses détenteurs. 2.2. La notion d’Etat L’Etat est une entité omniprésente dans le monde contemporain : on en compte 193 à l’ONU et 205 (CNO) au CIO (2011). L’apparition