Sédatif

mentaleIMC : 31,2 obésité ThérapeutiquesTtt antérieur :· Pour réguler l’humeur : DEPAKINE, valproate de sodium (thymorégulateur) 250mg, 1 cp par voie entérale per os : 1,0,1· Pour traiter son agitation psychomotrice : LOXAPAC, loxapine (neuroleptique sédatif), 100mg, 1 cp par voie entérale per os : 1,0,1Ttt actuel · Ttt antérieur· Pour son insomnie : IMOVANE, zopiclone (inducteur de sommeil), 7,5mg, 1 cp par voie entérale per os : 0,0,0,0,1· Un traitement psychothérapeutique est mis en place par le psychiatre

| |Épilepsie |Gardénal 10mg 1CPR/soir antiépileptique, barbiturique, contrôle certaines formes de convulsions | | |et sert aussi de sédatif afin de soulager les symptômes d'anxiété Liste2 | |Hypertension artérielle |Lasilix 40mg 0,5CPR/matin Furosémide, diurétique de l'anse, augmente l'élimination urinaire, | |

destiné à mourir et blessé par ses rapports avec autrui. La religion va donc répondre à ce triple échec. Elle n’est donc qu’une illusion qui permet à l’homme de supporter la vie. L’homme est donc un enfant à consoler, et il continue à réclamer ce « sédatif » que constitue la religion. B. La rationalisation du monde L’homme veut comprendre le monde dans lequel il vit. Il est animé par le désir de connaissance. C’est la religion qui va lui apporter dans un premier temps les réponses qu’il cherche

rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)

sa dimension de non savoir est bien source de mon bonheur. Ainsi dans la pièce de Beckett En attendant Godo Vladimir et Estragon échappent à lasouffrance en espérant l’arrivée leur raison d’exister. L’illusion peut dont être perçu comme un remède sédatif, guérisseur me protégeant du pathos. Finalement parce que l’Homme est un être soumis à l’insatiabilité de ses désirs, l’illusion lui est consubstantielle. Mais telle que Freud la définit, son ontologie est ambivalente. Si elle peut parfois se réconcilier

de 88 Értrs ANXTEUY ET PHOBT?UES srA,rs ANXIEUX ET PHOBIQUES 89 dépression névrotique à l'occasion de séparations, de frustrations affectives; tentative de suicide dans un raptus anxieu\ ) toxîcomanles aux barbituriques ou aux sédatifs ;alcoolisme chronique. Le passage à des organisations névrotiques est fréquent, en particulier à r;,ne organisation phobique plus ou moins stable, àure névrose de conversion hystérique ou même àu;ne nrâtrose lrypocondriaque. d'abandon des manifestations:

distingue :   Les Dépresseurs : Ces derniers ont la capacité de ralentir l’activité du système nerveux central. Ils provoquent le sommeil (somnifères, hypnotiques), suppriment des états d’excitation ou guérissent des états de grande nervosité (sédatifs).   Exemples : les barbituriques, les dépresseurs...   Les Stimulants : A l’inverse des dépresseurs, ils excitent et accélèrent l’activité du système nerveux central. Parmi les stimulants, on retient les Amphétamines qui sont consommés abusivement

atteint le cerveau en quelques minutes via la circulation sanguine. L’alcool a plusieurs effets sur les neurones. Le fonctionnement de leurs membranes est perturbé et certaines enzymes ne fonctionnent plus correctement. Cet effet explique l’effet sédatif de l’alcool : l’activité neuronale est diminuée. L’état d’adaptation du corps humain suite à une alcoolisation chronique et prolongée explique la caractéristique du sevrage à l’alcool. Les neurones ont « pris l’habitude » d’être moins réactifs. L’organisme

vomissements, constipation, diarrhée, toux sèche, douleurs abdominales, digestion difficile, ballonnement, sueurs, démangeaisons. Myolastan, Myorelaxant (relaxant musculaire) qui appartient à la famille des benzodiazépines. Il a également un effet sédatif. CI : insuffisance respiratoire ou hépatique grave, syndrome d'apnée du sommeil, myasthénie. EI : Sensation d'ivresse, maux de tête, troubles de la coordination des mouvements, ralentissement des idées, somnolence (en particulier chez la personne

(2-3 semaines) – Thymorégulateur si trouble bipolaire • Contre-indication des antidépresseurs en monothérapie dans le trouble bipolaire: risque de virage maniaque ou mixte, de cycles rapides +++ – Si nécessaire: • • • • Anxiolytiques si anxiété Sédatifs si agitation Hypnotiques si troubles du sommeil Antipsychotique si délire • HDT si risque vital et non compliance ou refus des soins • Limiter l’accès aux moyen d’auto-agression L’épisode dépressif majeur Traitement de la phase aiguë (3) •