Seigneurie foncière

Noblesse et chevalerie. Les Bellatores, ceux qui font la guerre. Origines de la chevalerie. 800 : Avec le traité de Verdin, l’empire de Charlemagne éclate peu à peu en royaumes, puis en principautés, puis en comtés. 1000 : Les comtés éclatent en seigneuries. Mise en place de la féodalité = Les anciens officiers des comtes deviennent des seigneurs et s’approprient le pouvoir. Personnages principaux : Les minès = les seigneurs, châtelains, sires, ceux qui font la guerre. Ils s’approprient l’autorité

siècle. La désagrégation de l'empire carolingien à eu d'importantes répercutions tant sur l'ordre politique {text:soft-page-break} que juridique. Un état centralisé tel qu'il pouvait exister à l'époque carolingienne se substitue de multiples seigneuries, véritables micro états. Ce morcèlement du pouvoir va entrainer l'apparition d'un nouvel ordre politique. Parallèlement l'unité du droit vole en éclat au profit d'un ordre juridique très diversifié. Cette organisation nouvelle du pouvoir porte le

humains se présentent comme peu nombreux et clairsemés. Cette récession démographique correspond à une récession économique, le commerce se tarie et la monnaie tend à disparaître. Les hommes vivent essentiellement dans des grands domaines, les seigneuries qui sont organisés pour fonctionner dans une autarcie à peu près complète. Dans ce monde profondément rural, la ville joue un rôle négligeable. Les villes qui subsistent voient diminuer leur population et leur superficie. Ces villes qui subsistent

10ème au fin 13ème Etat Monarchique ( Fin 13ème Monarchie Absolue ( Fin 16ème à 1789 PREMIERE PARTIE : L’ancien régime et la monarchie Française I-] L’organisation politique et sociale de l ancien régime : A-) Le Monde Féodal et les seigneuries : 1) L’absence de pouvoir central Société pyramidale : du seigneur local aux grands princes, chaque seigneurs a, au dessus de lui un seigneur plus puissant (militairement et économiquement) : ce sont des vassaux. Au dessus : Ducs, Barons

cœur économique du Bas-Canada[11]». Les industries rurales[12] se développent mais demandent d'importants capitaux et une main-d'œuvre parfois qualifiées. Le développement rural attire des investisseurs qui à partir de 1815-1820 vont «acheter des seigneuries pour y exploiter des moulins[13]». Certains comme Paschal Persillier-Lachapelle achètent des moulins, d'autres comme les Sulpiciens les bâtissent. Les divers types d'industries apparaissent en fonction des matières premières exploitées sur le territoire

faible. L'agriculture est propre à des pratiques communautaires : assolement triennal sur champs ouverts, ou encore vaine pâture) qui laisse environ 40% du sol non productif. Les cadres institutionnels de ces villageois paysans sont la paroisse et la seigneurie. A l'échelle nationale, la France achève de remettre sous l'autorité directe du roi des pays vassaux dont les seigneurs avaient fait des nations, tels le duché de Bourgogne en 1493 et le duché de Bretagne en 1532. On voit cesser les guerres

consilium. C’est la deuxième obligation du vassal, c’est le service de conseil que doit le vassal à son seigneur. Le vassal doit se rendre à la cour du seigneur à chaque fois qu’il est convoqué. Il va conseiller le seigneur dans le gouvernement de sa seigneurie, donner des conseils dans tous les domaines (en matière politique, économique, etc). Le devoir de conseil revêt une autre forme : c’est aussi le service de justice, c’est-à-dire qu’en premier lieu, le vassal doit se soumettre à toutes les poursuites

l'ordre social. À la fin de l'Ancien Régime, la hiérarchie sociale des campagnes repose sur la terre. Les paysans sont loin de posséder dans leur grande majorité leur exploitation. La part relative des différents groupes sociaux dans la propriété foncière est mal connue. Les nobles contrôleraient en 1789 de 20 à 25 % des terres, l'Église de 10 à 15 %, la bourgeoisie 20 à 30 %. La « classe propriétaire » posséderait la moitié du patrimoine foncier alors qu'elle représente cinq à 8 % de la population

— Le paradoxe de la vassalité : I. Les contradictions des témoignages. — II. Les liens de droit et le contact humain. Livre troisième : Les liens de dépendance dans les classes inférieures CHAPITRE PREMIER. — La seigneurie : I. La terre seigneuriale. — II. Les conquêtes de la seigneurie. — III. Seigneur et tenanciers. CHAPITRE II. — Servitude et liberté : I. Le point de départ : les conditions personnelles à l’ époque franque. — II. Le servage français. — III. Le cas allemand. — IV. En Angleterre

gratuites, Allemands, mais également Flamands et Hollandais s'en vont fonder, entre autres, Lübeck, Berlin, Francfort-sur-l'Oder, villes qu'ils dotent des droits urbains germaniques. L'expansion est également oeuvre de proximité, dans le cadre de la seigneurie rurale. Depuis l'an mille, en effet, l'Occident défriche fébrilement. Forêts et marais reculent partout entre le XIe et le XIIIe siècle, tandis que les polders gagnent sur la mer du Nord. Commencés discrètement par l'élargissement des terroirs anciens