Seins nus

de nombreux termes péjoratifs : elle est dotée d’un « gros visage » (l. 27) mais de « petits yeux » (l. 28). Il s’en moque également par une hyperbole peu flatteuse : les « dix livres de tétons » (l. 33) ne représentent qu’un tiers du poids de ses seins. Enfin, la comparaison avec le « tapabor, d’écarlate » (l. 37-38) achève le portrait ridicule de cette femme. 9. La connivence avec le lecteur est permise par le point de vue omniscient du narra- teur, qui dévoile les intentions de la Bouvillon avant

pris des choses, 1942 Illustration : Cycle des quatre saisons, Sébastien Vrancx (1573-1647) - à gauche printemps et été, à droite, automne et hiver Les quatre saisons - Le printemps Au printemps, c'est dans les bois nus Qu'un jour nous nous sommes connus. Les bourgeons poussaient vapeur verte. L'amour fut une découverte. Grâce aux lilas, grâce aux muguets, De rêveurs nous devînmes gais. Sous la glycine et le cytise, Tous deux seuls, que faut-il qu'on dise ? Nous

d'hommes nus par couple de deux ou trois dans des positions érotiques qui associées entre elles donne une impression d'orgie miniature. Dès lors l'homme est habillé par la nudité et par la sexualité alors qu'il ne porte qu'une simple chemise. La nudité peut donc être conçue comme une incitation à la décadence, aux plaisirs de la chair, à l'érotisme et en quelque sorte au voyeurisme. En effet, on peut dire que l'homme et en quelque sorte un voyeur car il se complait à regarder des gens nus pour leur

rideaux, puis reparaître encore ! On s'éveillait matin, on se levait joyeux, La lèvre affriandée, en se frottant les yeux... On allait, les cheveux emmêlés sur la tête, Les yeux tout rayonnants, comme aux grands jours de fête, Et les petits pieds nus effleurant le plancher, Aux portes des parents tout doucement toucher... On entrait !... Puis alors les souhaits... en chemise, Les baisers répétés, et la gaieté permise ! IV Ah ! c'était si charmant, ces mots dits tant de fois ! - Mais comme

d'une façon solennelle et mystique Les tout-puissants accords de leur riche musique Aux couleurs du couchant reflété par mes yeux. C'est là que j'ai vécu dans les voluptés calmes, Au milieu de l'azur, des vagues, des splendeurs Et des esclaves nus, tout imprégnés d'odeurs, Qui me rafraîchissaient le front avec des palmes, Et dont l'unique soin était d'approfondir Le secret douloureux qui me faisait languir. Spleen : Pluviôse, irrité contre la ville entière Pluviôse, irrité contre la

Comme les flots baisant le sable Sous la lune aux tremblants rayons, Sa grâce était intarissable En molles ondulations. Mais bientôt, lasse d'art antique, De Phidias et de Vénus, Dans une autre stance plastique Elle groupe ses charmes nus. Sur un tapis de Cachemire, C'est la sultane du sérail, Riant au miroir qui l'admire Avec un rire de corail ; La Géorgienne indolente, Avec son souple narguilhé, Etalant sa hanche opulente, Un pied sous l'autre replié. Et comme l'odalisque

sujet - L’atmosphère comique : comique de situation : revirement brutal de situation, le spectateur assiste aux contrastes entre la lenteur, le déplacement solennel du faux dévot et la brutale interruption de ce déplacement des qu’il aperçoit les seins de Dorine. L’accessoire du mouchoir se révèle comique car il symbolise deux choses opposées, la volonté de masquer ce qu’il est interdit de voir et deuxièmes la volonté de masquer parce qu’on a éprouver du plaisir a voir. Autre forme de comique de

est corrélativement liée à celle du regard. L’Apocalypse s’impose aussi dès le début du chapitre, bien évidemment, à travers une de ses manifestations majeures, en l’occurrence celle qu’évoque le passage : « Les femmes, affolées, perdaient leurs seins qui se dégonflaient comme des baudruches »3. Il s’agit, dit-on, de faire appel à l’un des indices majeurs de l’Apocalypse tels qu’ils apparaissent dans le Coran : « Ö hommes ! Craignez votre seigneur. Le séisme [qui précédera] l’Heure est une chose

MON RECUEIL DE POEMEPRESENTE PAR ERWAN CLAUS INTITULE :L’opulance de la nuitBonjour, aujourd’hui je vais vous présentez 7 poèmes. Il y a une particularité, ils ont tous un rapport avec la nuit, les sens, les sentiments. Voici ma liste de poème : Le Soir aux bord de la Mer, François-René de Chateaubriand, 1861 Le Soir dans une Vallée, François-René de Chateaubriand, 1861 Nuit de Printemps, François-René de Chateaubriand, 1861 Poème préféré de Nelson Mandela

illustration d’un jeune homme vêtu d’un costume et d’un chapeau haut-de-forme noir et de trois femmes qui l’observent d’un air sympathiques et malicieux. De cette illustration de Pablo Picasso, on remarque aussi que deux de ces femmes ont leurs seins nus et que le jeune dont le visage est orne d’une moustache regarde fixement droit devant lui. Ainsi, à mon humble avis, ce monsieur a un énorme succès auprès des femmes et est une personne qui se préoccupe beaucoup de son avenir. B/ L’histoire