Seins nus

œuvre Pop des années 60. Dès 1960, il peint des nus d’après modèles en pensant à Matisse. Wesselmann expérimente les « portraits collages » qui évolueront bientôt vers les œuvres pour lesquelles il est le plus connu, la série érotique et pleine de vie, appelée The Great American Nudes. La publicité s’est emparée de la femme pour en donner une nouvelle image : non plus objet de désir, mais moteur de désir. De 1962 à 1964, Wesselmann ajoute à ses Grands Nus une série de Natures mortes composées d’images

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donne le mouvement et conduit le peuple derrière elle. Son visage est d’ailleurs tourné vers eux, en même temps qu’elle brandit le drapeau, tel un signal d’assaut. Le terrain est accidenté (pavés, pierres, bois, etc) mais elle est pourtant pieds nus. De même que sa poitrine. L’incongruité de cette tenue la rend différente, spéciale. Elle est même unique, seule femme participant au combat. Sa poitrine généreuse, son aisselle velue, ses joues rougies, son profil de déesse antique (on reconnaît

reproduit à l’infini et pour beaucoup, il incarne l’idéal de beauté féminine de Gauguin. Les figures possèdent cette qualité d’aisance classique, d’innocence et de grâce qui aurait, dès le premier abord, satisfait le public bourgeois français habitué aux nus du Salon. Il existe encore des doutes sur le modèle qui a pu poser pour Gauguin et on a pensé à tord qu’il s’agissait de la maîtresse de Gauguin Pahura (Sterling et Salinger 1967, 176). Personne n’a encore donné une analyse approfondie de la signification

jours sans un puits ni pâturage, tous les oiseaux de l’air Tombant soudain et morts sous les hautes cendres des terrasses. Pas un rire d’enfant en fleur, sa main dans ma main fraîche Pas un sein maternel, des jambes de nylon. Des jambes et des seins sans sueur ni odeur. Pas un mot tendre en l’absence de lèvres, rien que des cœurs artificiels payés en monnaie forte Et pas un livre où lire la sagesse. La palette du peintre fleurit des cristaux de corail. Nuits d’insomnie ô nuits de Manhattan

page Chauvin dit : " Je voudrais que vous soyez morte. " , elle répond : " C’est fait." ! Chauvin connaissait donc Mme Anne Desbaresdes. Il avait, pour elle, une fascination d’homme du peuple à l'égard d’une femme riche, libre (les seins nus, la fleur entre les seins,..) et il connaît très bien sa maison : il évoque cet intérieur avec la précision maniaque d’un amant qui a déjà visité les lieux et s’apprête à les re-visiter. Mme Anne Desbaresdes est, vis à vis de Chauvin qui se confond de plus

personnage que les teintes semblent se raviver : « de fort gros seins très hâlés », « les épaules et les bras nus » suscitant aussi la sensualité, de nouveau soulevée à la page 12 : « les épaules charnues pleines de fossettes et même l’énorme fleur violette des seins » et « son odeur de sueur (…) des grosses touffes de poils roux de ses aisselles », et pouvant même s’apparenter à la déesse de l’agriculture Cérès – ou Déméter, dont les seins halés trahissent l’appartenance à la classe paysanne, à une

lui-même. Interprétation et sentiment face à l’œuvre : Le message de l’auteur : Frida Kahlo semble ici vouloir montrer a sa douleur : ses blessures sont insupportables et tout son corps est touché : son visage, ses bras, son dos, ses seins, sa jambe… Les larmes et les clous symbolisent cette souffrance et cette douleur. Elle se sent comme >, à l’image de la colonne. Le choix d’une colonne ionique pour representer la colonne vertébrale est symbolique : au-delà de similitude des termes

La lumière semble venir du personnage lui-même. III. Analyse de l'oeuvre. Frida Kahlo semble ici vouloir montrer au monde entier sa douleur : ses blessures sont insupportables et tout son corps est touché : son visage, ses bras, son dos, ses seins, sa jambe... Les larmes et les clous symbolisent cette souffrance et cette douleur. Elle se sent comme «cassée», à l’image de la colonne. Frida a donc voulu montrer que, sa colonne vertébrale étant cassée, sans son corset elle ne pourrait pas tenir

la peau. La lumière semble venir du personnage lui-même. Interprétation Frida Kahlo semble ici vouloir montrer au monde entier sa douleur : ses blessures sont Insupportables et tout son corps est touché : son visage, ses bras, son dos, ses seins, sa jambe… Les larmes et les clous symbolisent cette souffrance et cette douleur. Elle se sent comme « cassée », à l’image de la colonne. Le choix d’une colonne ionique pour représenter la colonne vertébrale est symbolique : au-delà de similitude