Semi-marathon

mais l'antique magistrature conservait néanmoins un certains prestige, qui retombait surtout sur le tribunal formé des archontes sortis de charge, c'est-à-dire l'Aréopage. Un exemple de cette inversion de fonction peut être tiré de la bataille de marathon : l'archonte polémarque Callimaque fut positionné sur l'aile droite de l'armée grecque, probablement à titre honorifique, tandis que le stratège Miltiade commandait l'armée. Après les guerres médiques, le stratège contrôle toute la vie militaire

constructions et statues furent détruites pendant l'occupation d'Athènes par les Perses en -480 au cours des guerres médiques. Époque classique au Ve siècle[modifier | modifier le code] Cariatides de l'Érechthéion. Après la bataille de Marathon en -491 et la bataille de Salamine en -480 qui marquent la défaite finale des Perses, et le début de l'époque classique au Ve siècle et l'apogée de la Grèce antique, les chefs de la Cité-État d'Athènes Thémistocle (-525 – -460) et Cimon (vers -510

Les trésors eux mêmes peuvent parfois être des bâtiments très ornées, comme le trésor de Siphnos, dont le massif de la fondation se dresse encore le long de la voie sacrée. Pour le trésor des athéniens il commémore selon Pausanias la bataille de Marathon et le rôle de la cité d'Athènes dans l'échec de l'invasion de perse menée par Darius. II) Les Dieux à Delphes a) Les dieux anciens et récents Ce sanctuaire est essentiellement sous l'invocation d'Apollon, mais il est un dieu établi tardivement

Commentaire de texte : La bataille de Marathon Extrait de l’enquête d’Hérodote livre VI En 490 Av. JC l’immense armée perse est aux portes de la Grèce, une cité est sur le point d’étendre son hégémonie : Athènes. Le sort de toute la Grèce se joue à quelques kilomètres de la cité sur la plaine de Marathon dont la bataille prendra le nom, encore célèbre aujourd’hui ne serait ce que par la course à pied qui l’empreinte. Nous étudierons ici un extrait du récit d’Hérodote. Cet ouvrage se compose

fréquentes chez les sportifs. Ces complications sont constatées depuis des siècles. En effet, nous connaissons l’histoire d’un certain messager grec qui aurait couru 42 kilomètres pour annoncer la victoire contre les Perses à l’issus de la bataille de Marathon en 490. Une fois son message délivré, il mourut pour s’être trop épuisé. J’espère qu’à l’avenir, cette mésaventure nous serve de leçon. Ne commettons pas les mêmes erreurs que tous ces inconscients qui ne tiennent pas à leur vie et restons bien tranquillement

1.2 LE DÉROULEMENT DE LA BATAILLE Cette bataille, qui apparait comme une victoire légendaire du côté grec, passe sous silence du côté des sources écrites perses, comme si cette défaite n’avait jamais eu d’enjeux pour eux. La bataille de Marathon eut lieu au début du mois de septembre 490 dans la plaine éponyme au nord-est de l’Attique. Les Perses avaient comme stratégie de faire sortir les Athéniens de leur ville pour ensuite prendre plus facilement Phalère, le plus grand port d’Athènes

pointe méridionale de l'Eubée, qui refusera de se soumettre, puis Erétrie, abandonnée par ses alliés athéniens. Sa population sera déportée à Ardéricca près de Suse. La bataille de Marathon L'armée perse, conseillée par l'ancien tyran d'Athènes Hippias, débarquera début septembre 490 sur la plage de Marathon, à environ 42 kilomètres d'Athènes. Les hoplites athéniens (environ 10.000 hommes) seront conduits par le stratège Miltiade. Les Perses décideront d'attaquer Athènes par terre et par mer

mais les Grecs livrent bataille et Mardonios est tué. Une grande partie de l'armée perse enfermée dans le camp est massacrée. Même si Platées est dans tous les sens du terme une victoire totale, elle n'a pas reçu le même écho que la bataille de Marathon ou même la défaite des Thermopyles. LES FORCES EN PRESENCE Grèce - Sparte : 10000 hoplites - Athènes : 8000 hoplites - Corinthe : 5000 hoplites - Autre Cités-Etats : 13700 Perse - Perse : 250000 - Thèbes

à Hippias, membre de la dynastie des Pisistratides. Par exemple, aux lignes 3/4 : «  C’est là que les dirigea Hippias, fils de Pisistrate » Pour Hérodote, l’attaque des perses a été permis par les connaissances géostratégiques qu’avait Hippias, Marathon étant le fief des Pisistratides. Ou encore aux lignes 14/15 : «  S’ils s’inclinent devant les Mèdes (étant un peuple d’origine indoeuropéenne, situé au Nord Ouest de l’Iran et absorbé par l’empire perse de Cyrus sous le règne d’Astyage), la décision

intéressantes sont celles trouvées à Béhistoun, inscription trilingue en perse, médique et assyrien, gravées en 521 avt JC à la demande de Darius). Plan : Le déclenchement des guerres Médiques L'expédition perse de 490 : la bataille de Marathon et la première guerre médique Le déclenchement des guerres Médiques a. La révolte de l'Ionie 499-494 : révoltes des cités d'Ionie On ne connaît pas vraiment l'origine de ces révoltes. Peut-être trop d'impôts mais Milet très riche