Semi-marathon

de la famille de Pisistrate, Hipparque, on acceptera l'idée que les Athéniens étaient bien divisés sur la conduite à tenir devant l'offensive perse et que l'on ne saurait parler d'une attitude athénienne. Les Perses débarquèrent sur la plage de Marathon ; dans les navires perses se trouvaient l'ancien tyran Hippias, chassé depuis presque vingt ans et dont on devine qu'en cas de succès, il aurait été mis à la tête de la cité par les Perses. Devant l'agression, le parti de la résistance, mené par

aboutit à la création de la Ligue de Délos dont Sparte ne prend pas part, contrariant la formation d'une Ligue panhellénique permanente . Notons que cette Ligue fut à initiative d'Aristide . Issus des Eupatrides il est stratège lors de la bataille de Marathon . Élu archonte éponyme en 489/8 il était à la chef du parti oligarchique . Secondé par Cimon , il est ostracisé en 483 du fait de son opposition au démocrate Thémistocle . Quoi qu'il en soit , la Ligue fut nommé ainsi car le centre religieux et

revanche sur les Grecs que les Perses veulent à nouveau mener une expédition contre la cité athénienne. L’armée perse a à sa tête le fils de Darius Ier, connu sous le nom de Xerxès qui veut venger la défaite subie par son père lors de la bataille de Marathon dix ans auparavant. Malheureusement pour lui, le sort tourne à son désavantage tout comme pour son père. Ainsi ce texte relate la catastrophe qu’essuie de nouveau l’armée perse. C’est un extrait d’une pièce de théâtre d’un tout nouveau genre : la

conflit Le guerrier a un rang social élevé , on l’appelle un Hoplite a) Les guerres contre les Perses : les guerres Médiques Au Vème siècle av JC les Perses attaquent la Grêce, en 490 av JC les grecs repoussent les Perses à la bataille de Marathon 10 (480 av JC) ans plus tard, les Perses sont battus par les grecs à la bataille de Salamine b) Les grecs contre les grecs : la guerre de Péloponnèse Après les guerres médiques, Athènes devient très puissante et oblige les autres cités

l'institution des Grandes Panathénées par Pisistrate. Ce premier édifice est remplacé par ce que les archéologues appellent le « pré-Parthénon », dont le chantier commence probablement vers 500 av. J.-C., initialement en pōros. Après la bataille de Marathon, les dimensions du bâtiment sont revues à la baisse (33,68 × 72,31 mètres) et l'on décide d'employer le marbre du Pentélique. Les travaux sont suspendus pendant les guerres médiques, probablement sur décision de Thémistocle. L'édifice est détruit

c’est-à-dire sans la décision d’assumer la possibilité pour le combat de s’achever par le sang et la mort. Quelques soient les grandes disparités dans les pertes subies au cours des conflits qui ont jalonné l’histoire (il y eut 200 morts à la bataille de Marathon et un million à Verdun), il n’a jamais existé de guerre ne faisant absolument aucune victime. Plaute « l’homme est un loup à un autre homme». Chaque nation ne dispose donc que de ses propres forces armées pour défendre l’intégrité de son territoire

incendient Naxos et Eretrie, cette violence démontre l’intensité de menace que rencontrent les Athéniens en septembre 490, quand les Perses débarquent à Marathon. La victoire des Athéniens et de leurs alliés, les Platéens, à Marathon est grâce à la phalange des fantassins qui sont très lourdement armés. Pour Athènes, le conséquences de Marathon sont multiples : la pérennité des réformes de Clisthène, l’echec définitif de la tyrannie, la superiorité des stratèges sut le polémarque, exaltation des

ambassadeurs qui avaient demandé à Athènes la terre et l'eau, c'est à dire la soumission. Ils auraient été jetés dans un puits, alors que normalement, les ambassadeurs sont intouchables. La première guerre est marquée par une grande victoire grecque à Marathon en 490. Selon Hérodote, il y aurait 192 morts athéniens contre 6400 perses. Le stratège grec ayant guidé cette guerre est Miltiade. Les Spartiates ne sont pas intervenus, car ils célébraient une fête importante pour eux : la fête des Carneia, en

commença sous les meilleurs auspices, avec le siège, la capitulation et la destruction d'Erétrie. La petite baie de Marathon fut alors considérée comme un terrain de débarquement idéal, où l'armée perse de 20 000 à 30 000 hommes rencontra les athéniens, sous le commandement de Callimaque et Miltiade, stratège athénien, né vers 550 environ et mort vers 489. Autant que pour la bataille de Marathon, les sources sur Miltiade sont essentiellement issues des écrits d'Hérodote ( VI, 102-116). Qui est Miltiade

initié, il appartient à une grande famille athénienne. Il est témoin dans sa jeunesse de la fin de la tyrannie des Pisistratides à Athènes6. Contemporain des guerres menées contre les Perses, il prend part à dix ans d'intervalle à la bataille de Marathon en 490, en compagnie d'ailleurs d'au moins un de ses frères5,7, et à celle de Salamine en 480, cette dernière lui inspirant huit ans plus tard Les Perses (472), sa plus ancienne tragédie conservée8. La première victoire d'Eschyle au concours tragique