Senlis

les revendications des Diètes dans l’empire des Habsboug. Senlis est cependant un modèle de concorde urbaine. En effet ses habitants marquent, après des conflits en 1562, la volonté de vivre ensemble. Cela passe par un travail intense de re catholicisation, le culte de Saint Rieul, « parfait évêque », qui réunit toute la communauté urbaine, des magistrats (Guillaume Durand humaniste) décidés à contenir toutes violence confessionnelle. Senlis fut une ville sans Saint Barthélémy ni ligue qu’elle repousse

Saint-Pétersbourg d’octobre 1773 au 5 mars 1774. • Riga – Mittau - Memel - Königsberg - Hambourg – La Haye. • Séjour à La Haye du 5 avril 1774 à octobre 1774 (vérifier). • Excursion à Saardam[7] . • Anvers – Bruxelles – Valenciennes – Cambrai – Péronne – Roye – Senlis – Paris (21 octobre 1774). Les dernières années (1774-1784) Dès son retour, il ralentit progressivement sa vie sociale, sa santé se dégrade et il l'accepte mal. Il multiplie et allonge les séjours à Sèvres et au château du Granval, parfois en famille

région picarde et c’est le seul cas en France.Elle est divisée en quatre zones : la Vallée de la Somme (Amiens et Abbeville), la Haute Picardie (Laon et Saint-Quentin), le Sud Picardie (Compiègne et Soissons) et la région Rives de l’Oise (Beauvais et Senlis) auquel appartient la Caisse d’Epargne de Saint-Just-en-Chaussée. Pour réorganiser la Picardie, cela s’est effectué en deux vagues. La Caisse d’Epargne de Saint-Just-en-Chaussée fait partie de la seconde vague. Chaque vague dure six semaines. La

aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, 1921), Marthe HENRY (La Salpêtrière sous l’Ancien Régime, Paris, 1922). Jacques VIE (Les Aliénés et Correctionnaire à Saint-Lazare aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, 1930), Hélène BONNAFOUS-SERIEUX (La Charité de Senlis, Paris, 1936), René TARDIF (La Charité de Château-Thierry, Paris, 1939). Il s’agissait, en profitant des travaux de Funck-Brentano, de « réhabiliter » l’internement sous l’Ancien Régime, et de démolir le mythe de la Révolution délivrant les fous,

Chacun à notre façon, nous avons trouvé différents moyens de trouver réponse à nos recherches. Nous avons commencé par aller questionner de nombreux pharmacien(ne)s de différents quartiers, dans le XIVème arrondissement, à Anthony, Sceaux, Marcoussis, Senlis ; et nous avons recueilli leurs réponses. Nous avons également interrogé des étudiants de deuxième année de pharmacie. Ces différentes personnes nous ont permis de comprendre ce qui différenciait un médicament de comptoir d’un médicament livré par

les Ardennes. - le Japon déclare la guerre à l'Allemagne. 24 août : ordre de retraite générale. 25 août : l'Autriche déclare la guerre au Japon. 1er septembre : les Allemands prennent Compiègne. 2 septembre : les Allemands sont à Senlis, le gouvernement part pour Bordeaux. 5 septembre : pacte de Londres au cours du duquel les alliés excluent une paix séparée. 6 septembre : début de la bataille de la Marne (jusqu'au 13) 23 septembre : début de la bataille de la Somme (jusqu'au

adjonctions, des modifications aux dispositions primitives. Il existe certaines cathédrales en France, parmi celles refaites à la fin du XII e siècle, qui n'avaient point de transsept. Telles sont, par exemple, les cathédrales de Sens, de Meaux, de Senlis. Aux XIV e et XV e siècles, des transsepts ont été ajoutés aux nefs, en prenant deux de leurs travées. Ces modifications ont été plus ou moins adroitement faites; mais, pour les yeux exercés, elles laissent subsister des traces des dispositions primitives

double action de deux institutions : la Monarchie et l’Eglise Catholique. A l’origine, la France était un tout petit territoire, le duché de France (Ile de France), et s'étendait de Paris à Senlis, Orléans et Dreux. En 987, Hugues Capet était duc de France et comte d'Orléans. Il réunit sur ses terres, à Senlis, une assemblée de seigneurs sous la présidence de l'archevêque de Reims, et se fit proclamer «Roi». Mais il fut élu roi parce qu'il le méritait : Arrière-petit-fils de Robert le Fort, il

Chartreux, demandant la sécularisation des moines qui le désirent. Marat, arrêté, comparaît à I'Hôtel-de-Ville ; il est aussitôt relâché. La loi martiale proclamée à Marseille. Bruxelles libérée par les patriotes. 13. Dimanche. Catastrophe à Senlis: un forcené tire sur le défilé de la Garde nationale et fait sauter sa maison ; nombreux morts et blessés. Duel entre A. de Lameth et La Bourdonnais. 14. Lundi. Vote de la loi d'organisation municipale ; discussion sur la conscription. 15. Mardi

son effigie. Charles le simple n'a la plénitude de l'autorité que dans les comtés où les titulaires de son vassal direct et son pouvoir se concentre autour de Laon, Reims, Noyon, Soissons ; en outre, il peut encore dominer les comtes de Chalons, Senlis, Beauvais, Arras qui ne sont pas encore entrés dans la fidélité d'un grand. En matière de charges religieuses, il nomme encore des évêques de cette région alors que pour les autres sièges, il se contente de confirmer les élus des chefs de principauté