Sens Propre Sens Figuré

de présenter une analyse littéraire de l'œuvre Médée. Une antithèse est une opposition, comme entre amour et haine ici. La forme nous présente des figures de style d'antithèse, d'anaphore et d'hyperbole. Le fond nous présente de l'amour, la haine, la vengeance, la violence et le crime . Développement Dans l'œuvre littéraire de Médée les trois figures de style que j'ai constaté sont l'antithèse. L'antithèse dans cette œuvre est une opposition de l'amour; Jason et Creuse. L'amour que Médée a pour

L’homme serait ainsi subordonné à une puissance radicale, un mal immémorial, que les termes de até et de tuké signifient. Le mal est avant tout une forme de scandale que la mythologie et la tragédie rendent officiel à travers, notamment, les figures emblématiques que sont Prométhée. Œdipe et Antigone. Ce scandale, c’est celui d’un impensable, d’une étrangeté, d’une véritable énigme de la pensée : « Le mal est désigné principalement comme étrangeté, mais cette étrangeté est à situer à la fois

l’alter ego l’autre moi cette caractérisation est d’emblée paradoxale puisqu’elle réunit deux idées traditionnellement séparées autrui est comme moi un sujet pensant mais il conserve une différence irréductible identique et différent autrui est la figure complexe du semblable. Dégager la problématique et construire un plan La problématique Remarquons que le sujet tient pour acquis l’existence de devoirs envers autrui ce point n’est pas a nier mais a analyser pour être compris Pour quelles raisons

sceptique concernant les sens (mais il doute aussi de la raison, et des mathématiques) Si Descartes va plus loin que le doute sceptique, c’est afin de montrer qu’il peut être réfuté.  §3 : jusqu’à maintenant, tout ce que j’ai accepté comme le plus évident et certain, a été basé sur les sens. Descartes parle ici du point de vue de celui qui commence à philosopher, qui croit spontanément que les sens sont dignes de confiance : est-ce que les propositions portant sur les sens sont fiables? Il va donner

Figures de styles : Métonymie : La métonymie est une figure de style qui consiste à désigner un objet ou une idée par un autre terme qui convient. On par le de métonymie quand le même mot désigne : La partie et le tout : « une bonne plume pour un bon écrivain. » L’objet et sa matière : « Un verre pour un récipient en verre. » Le contenu et le contenant : boire un verre pour dire boire le contenu Le lieu et l’activité : un théâtre, une cuisine (le lieu où on pratique) L’activité et l’instrument

les sens médiocres et les styles lourds, pleins de figures de style qui encombraient leurs poèmes. Il n’y avait pas à cette période de grand poète qui se démarquait et dont auraient pu s’inspirer

Laïos. La pièce de Sophocle s'ouvre sur la détermination d'œdipe à venger le roi assassiné. Il s'agit de savoir si Œdipe est un tyran au sens moderne du terme,c'est à dire un despote paranoïaque et criminel ou est-il seulement une victime de la fatalité divine,un jouet entre les mains des immortels. On verra dans une première partie qu'Œdipe est un tyran au sens moderne du terme;Mais il faudra aussi noter qu'il présente des caractéristiques communes avec le tyran antique. Enfin,on montrera qu' Œdipe

La mode des anthologies fait croire que l’étude de petits textes dispersés se suffit à elle-même. Trop souvent, ces petits textes illustrent des moments d’un cours, sans véritable immersion dans le mouvement philosophique propre à l’œuvre. Ceci est dommageable car, en un sens, l’œuvre nous échappe : son empan sur les œuvres au programme déborde l’illustration à laquelle on souhaitait sans doute un peu trop rapidement la restreindre. Précisément, même en limitant les Pensées à la liasse « La raison

Le théâtre de l’Absurde Partie A : L’Absurde, présentation. Le mot absurde vient du latin ab-surdus ce qui signifie au sens propre « sourd, inaudible » mais au sens figuré « hors de propos ». Le théâtre de l’Absurde exprime donc un écart avec ce qui devrait être et ce qui est. Le théâtre de l’absurde représente bien le questionnement de l’époque. Une époque d’après-guerre où toutes les idées et les conceptions déjà existantes sont remises en question. •Les idées essentielles : L’absurde

LECTURE LINEAIRE N°8 JUSTE LA FIN DU MONDE Le mot «épilogue» vient du grec épi logos qui signifie «après le discours», il s’agit de la dernière partie de l’oeuvre, à l’inverse du prologue. Il s’inspire du théâtre antique ou l’épilogue était chanté. Jean-Luc Lagarce est un dramaturge et metteur en scène français du XXe siècle, il utilise régulièrement les thèmes de la maladie, de la mort et du retour dans ses textes et ont un lien avec ce qu’il vit personnellement (Lagarce atteint du SIDA). Ces sujets