Sensualité

Impératif –> « songe » - « te », « tes » 2) Evocation de la femme - Inspiré de Marie Dubrun - Elle apparaît comme une figure ambivalente identifiée à enfant et sœur : relation particulaire - Cette femme est mystérieuse : « charme » (V. 9) - Sensualité de la femme : « Luxe »  « Volupté » « Douceur » …  3) Création d’une intimité - « Notre chambre » « Vivre ensemble » « En secret » - Le refrain crée une sorte d’intimité et sa répétition à un effet berceuse - La femme est évoquée par un paysage

« Carpe Diem » = profite de l'instant présent ) Analyse du champs lexical Termes renvoyant au corps L'animalisation/ Réification/ Déshumanisation Processus de décomposition - « Les jambes en l'air » (v5)→sensualité + érotisation du cadavre - « ventre » (v8) et (v17)→ symbole= sensualité +maternité - « Le corps » (v23)→ terme générique - « squelette » (v35) et « ossements » (v44) → Désincarnation progressive du corps qui se décompose= progression logique du poème - des vers 25 à 35 =

l'auteur et son désir d'ouverture vers un autre monde.    On relèvera la métaphore "forêt aromatique" d'où l'on tire une correspondance visuel/olfactif; la personnification des continents "langoureuse Asie", "brûlante Afrique" qui ajoute à la sensualité puis la gradation "lointain, absent, presque défunt" en opposition avec "langoureuse", "brûlante" annoncant un voyage plus spirituel.        II Paradis spirituel    1-. le souhait d'évasion    On note à nouveau les correspondances tactile/aerien/olfactif

dans la sobriété: les corps ne se touchent pas,, il y a simplement des jeux de regard. La sensualité n’est pas montrer elle est dissimulée, sous entendue, retenue. On est donc dans une représentation classique de l’élan amoureux alors que Rubens représente l’amour dans toute son ardeur et sa fougue sensorielle.   « L’enlèvement de filles de Leucippe », dans sa façon de peindre les corps tout en sensualité s’inscrit donc clairement dans la période baroque. A cette période, la science et les méthodes

de l’écran » L’écran, sous quelques formes que ce soit (téléphone, ordinateur, télévision ...), est omniprésent dans notre vie. C’est d’ailleurs ce que nous démontre Lydie Salvayre dans son œuvre « La valeur de la conversation réside dans sa sensualité », Colette Mainguy dans son article de presse « Un journal intime planétaire » et la revue journalistique CNRS Them@ « T ou ? Tu fe koi 2m’1 ? ». Ces trois documents nous amènent à nous poser la question suivante : La vie à travers l’écran, monde

tel des bijoux, qu'il sont auto-suffisant a eux même, que les accessoires et/ou vêtements sont superflu, voir même caduque comme le connote la nudité du model, ne portant que ses cheveux pour bijoux dans des positions exprimant la féminité et la sensualité. La stratégie de persuasion mise en place pour se démarquer de la concurrence ainsi que pour marquer psychologiquement la cible est d'obliger celle ci à analyser l'image pour la comprendre. L'illustration est faites d'une façon tel, sans texte

utilisant les expressions « souflé » (l.20) ; « râle d’amour » (l.22) ; « bras », « embrassade »(l.23). Comme il s’agit d’expressions amoureuses évoquant le désir et la sensualité on peut en conclure que l’auteur imagine Paris en femme. Il utilise Paris pour évoquer un lieu de plaisirs où la bourgeoisie s’adonne au plaisir de la sensualité. Il utilise le champs lexical de la nuit « minuit » (l.18), « bougie »(l.20) car le monde de la nuit est plus permissif, les rencontres se font plus facilement. Pour

« puanteur » , et celui de la beauté et la sensualité : « reine », « ma beauté », « lubrique », « fleur s’épanouir » . Il existe un éloge paradoxal entre ces deux champs lexicaux. Ainsi, le poète utilise l’oxymore «  carcasse superbe  » qui montre que pour le poète le cadavre est quelque chose d’extraordinaire, de beau. Aussi, il existe un parallélisme entre le mal et la mort et la sensualité et l’exotisme qui apparait à travers

La nouvelle fraîcheur masculine, propre et aseptisée, influencée par la parfumerie américaine, se prolonge à travers l’apparition de notes fruitées chez les hommes : Hugo, Polo Sport, Pleasures for Men. Mais comme chez les féminins, une certaine sensualité apparaît au travers d’un grand retourdes accords orientaux (Héritage, Opium pour Homme, A*Men, Envy for Men, Pi de Givenchy, Boss,Allure pour Homme). Annee 2000 Un désir de retour aux valeurs et aux traditions guide la parfumerie de

qui peut rappeler la sensualité qu’on retrouve partout dans le texte avec par exemple l’action de “mordiller” les cheveux de Jeanne Duval, par extension, sa peau.Enfin, le poème, bien que en prose, use des sonorités comme pourrait le faire un poème dit “traditionnel”. En plus du rythme ternaire bien marqué, le poème joue de la musicalité des mots en plusieurs paronomases ou allitérations, notamment en « m » pouvant notamment marquer l’idée d’une certaine douceur (encore sensualité) dans leurs intéraction