Sentier lumineux

correspond au premier paragraphe, est marquée par la reprise d'un élément du titre : le nomfenêtre. Ce nom est répété trois fois avec le déterminant une ; puis il est repris par un terme associé (« une vitre ») et par la métaphore « ce trou noir ou lumineux », ces deux reprises se trouvant en progression linéaire. L'idée de fenêtre, objet donnant accès à l'imagination, n'est plus nommée par la suite. Ce sont plutôt les verbes dénotant le regard, qui apparaissent dans la zone du thème, qui feront le

individus à l’égard d’un objet considéré En général ce sont les lois explicites / implicites qui définissent notre comportement La norme sociale est une échelle de référence prescrivant la façon dont les sujets doivent percevoir, penser, sentir ou encore agir  Non fixes et non figées  Dépendantes du groupe social, de la culture ou de l’histoire  Pas innée, s’impose par transmission sociale La normalisation correspond à la formation des normes dans les groupes  La normalisation

l’amour St3 : Le temps est incertain, nuits v.2 humidité eau et nuages, c’est l’automne St4 : rigide roidir lumineux ces mots nous renvoie à l’hiver du paysage et de la vie avec son vieillissement. C’est une idée des couleurs et des différents sens comme l’odeur et la vue. 3- Evolution de la topographie du paysage Changement d’état d’âme du poète : St1 fidélité franchise simplicité sentier sens détour amour caché, il est intime St2 nvelle période avec une croisée des chemins et séparation avec

indésirable que lui cause le soleil de midi. Pire encore, le soleil l'agresse. A cause du soleil trop imposant, Meursault refuse de continuer son chemin vers la source pouvant le rafraîchir. C’est la qu’un combat est enclenché, où le verbe de perception sentir, utilisé à plusieurs reprises dans l'extrait, divulgue les sentiments nerveux du narrateur. Cette lutte figuratif à la page 90 où à « chaque fois [qu'il] sentait son grand souffle chaud sur [son] visage, [il] serrait les dents, [il] fermait les poings

pensées antérieures. Il y a donc deux types de csce : * la conscience directe (de la même façon que l’est la vision d’un rayon lumineux direct) n’est consciente que de son objet. La conscience immédiate est celle de l’embryon. * la conscience réfléchie (de la même façon que l’est la vision réfléchie qui dépend du second cours du rayon lumineux réfléchi par un miroir) est consciente de son objet mais aussi, conscience de soi en tant qu’elle renvoie au moi pensant qui peut dès lors

différentes teintes pour contraster également avec des couloirs plus sombres. (éclairés en lumière artificielle) Chaque appartement est très lumineux, des couleurs harmonieusement réparties viennent en ponctuer les agencements. Les appartements de la cité Radieuse : Il y a 337 appartements en duplex, répartis sur 18 étages. Les appartements sont traversants et lumineux. Les agencements sont très pratiques et pensés pour être agréables à vivre. Ces appartements sont conçus comme des maisons individuelles

manière de penser. En fait on est principalement de l'un ou de l'autre type mais on peut avoir bien évidemment des parties dans chaque. Alors pourquoi VAKO ? Parce que je peux voir V (visuel), entendre A (auditif), ressentir K (kinesthésique), ou sentir O (olfactif et gustatif). Comment reconnaître un type dominant ? Cela passe par l'écoute active du champ lexical employé. Attention, et heureusement pour nous il est évident que nous disposons tous d'un vocabulaire étendu et par voie de conséquence

Cuba qui réalisa une des réformes agraires les plus achevées en Amérique latine entre 1959 et 1963. La plus violente des contestations a été au Perou : le sentier lumineux Il a été fondé en 1970 par A. Guzman. Il prit la tête de l'insurrection armée issue d'une dissidence duPC péruvien sous le nom de camarade Gonzalo. Le Sentier Lumineux a participé au conflit armé des années 1980 et 1990 au Pérou qui a fait 70 000 victimes. Au Chili il y a eu le coup d’état du 11sept 1973 mené par A. Pinochet

caverne et ils ne savent pas que l’extérieur existe. Ils sont enchainés de telle chose qu’ils ne voient que l’intérieur, les parois de la caverne. A l’extérieur de la caverne il y a un feu. Il y a un sentier entre le feu et l’entrée de la caverne. Sur ce sentier déambulent des gens. Entre le sentier et l’entrée, il y a un mur à hauteur d’homme. Les gens qui déambulent portent des choses sur leurs épaules. Ces choses sont des objets réels. Les ombres de ces objets sont projetées sur les murs de la

porteurs; on peut placer les ouvertures et les cloisons où l'on souhaite: c'est le plan libre. La façade libre prend la forme souhaitée par l'architecte et peut s'étaler sur une longue verticale. Les fenêtres en longueur sont appréciées pour l'apport lumineux et la dimension panoramique. Le toit-terrasse permet de mettre à l'étage un espace nature (soleil, verdure,air). c) le modulor: C'est au cours d'une conférence en 1947 que le Corbusier présente Le Modulor. Mis au point à partir de 1943, il s'agit