Sentier lumineux

d'objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle. Ce qu'on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vit, rêve la vie, souffre la vie. Par delà des vagues de toits, j'aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec presque rien, j'ai refait l'histoire

protagoniste du poème, Ondine : « c'est moi, c'est Ondine qui frôle de ces gouttes d'eau ». Cette dernière entraîne le poète vers son domaine aquatique avec des métaphores : « beau lac endormi » ; « chaque flot est un ondin » ; « chaque courant est un sentier qui serpente vers mon palais ». Dans ce domaine, des parties du décor sont personnalisées en la famille d'Ondine, ce qui indique que nous sommes chez elle : « Mon père bat l'eau coassante », « mes sœurs caressent de leur bras d'écume » ou encore en

d'objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle. Ce qu'on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie.   Par-delà des vagues de toits, j'aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien

qu’on afflige, Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige. Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige ! Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige… Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir ! Présentation : 47ème pièce des Fleurs du Mal dans l'édition de 1861 (43ème dans la 1ère édition de 1857, 48ème dans

de connaissances, écoute ce que je vais te dire. Il y a ici des philosophes qui, à la vérité, n'ont point atteint jusqu'au faîte de la sagesse orientale: ils n'ont point été ravis jusqu'au trône lumineux; ils n'ont ni entendu les paroles ineffables dont les concerts des anges retentissent, ni senti les formidables accès d'une fureur divine; mais, laissés à eux-mêmes, privés des saintes merveilles, ils suivent dans le silence les traces de la raison humaine. Tu ne saurais croire jusqu'où ce

qui contraste en façade avec l'animation colorée des loggias. Les portes des appartements sont colorées de différentes teintes pour contraster également avec des couloirs plus sombres. (Éclairés en lumière artificielle) Chaque appartement est très lumineux, des couleurs harmonieusement réparties viennent en ponctuer les agencements Chaque étage a sa couleur dominante définie par les boîtes aux lettres et les casiers devant les portes. Pour les étages d'appartements, les couleurs sont

j'étais moi .. " Mélanie bagages rares a été mis à bord de la voiture de la famille , et ils se dirigea vers les banlieues. " Ces immenses routes larges , et d'énormes enseignes illuminées .. Il m'a fait sentir très petit ... c'était comme être un enfant à nouveau .. Tout est si grand, si lumineux . " Elle a été describieng le choc de la brûler. La maison de sa sœur était calme . " Trop calme. C'était comme l'intérieur d' un cercueil. Ce n'était pas comme le monde réel .. " Il n'était pas l'Amérique

cohérente (Cf. “ Elévation ”): ciel lumineux/jour plus noir que les nuits; aile vigoureuse/aile timide, libre essor/cachot, muet/hurlements. c) L'enjeu du combat est l'esprit du poète, et la hantise qui traverse ce texte est la peur d'une fuite de l'esprit. Portée par les esprits errants et sans patrie - donc aliénés et incapables de comprendre la langue des correspondances - cette peur est évoquée par le crâne vide du v. 20. On pense à cet aveu de l'auteur: J’ai senti le vent de l'aile de l'imbécillité

tant de connaissances, écoute ce que je vais te dire.Il y a ici des philosophes qui, à la vérité n'ont point atteint jusqu'au faîte de la sagesse orientale: ils n'ont point été ravis jusqu'au trône lumineux; ils n'ont, ni entendu les paroles ineffables dont les concerts des anges retentissent, ni senti les formidables accès d'une fureur divine: mais, laissés à eux-mêmes, privés de saintes merveilles, ils suivent dans le silence les traces de la raison humaine.Tu ne saurais croire jusqu'où ce guide

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