Séquanes

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Andringa W., Sacrifices et marché de la viande à Pompéi, in : Contributi di archeologia vesuviana II, Soprintendenza Archeologica di Pompei, “l'Erma“ di Bretschneider, 2006, pp. 185-201 o Van Andringa W., Un grand sanctuaire de la cité des Séquanes : Villards-d'Héria, in : M.-Th. Raepsaet-Charlier, M. Dondin-Payre (éd.), Sanctuaires, pratiques cultuelles et territoires civiques dans l'Occident romain, Bruxelles, 2006, pp. 121-134 o Van Andringa W., Religion and the integration

Pantagruel en est l’illustration la plus saisissante. Pantagruel est un géant, si ses rencontres, de Panurge, de l’étudiant limousin, de Baisecul et Humevesne, sont avant tout drôlatiques et irréelles - a-t-on jamais vu dire : « Nous transfrétons la Séquane au dilicule et au crépuscule ; nous déambulons par les compites et les quadrivies de l’urbe ; nous despumons la verbocination latiale, et, comme verisimiles amorabonds ; captons la bénévolence de l’omnijuge, omniforme, et omnigène sexe féminin » 

romain, suite à cela César trouva alors l'occasion pour intervenir : une guerre se déclara, il y eu 80 000 morts sur les 92 000 guerriers helvètes. César fit semblant d'avoir était appelé pour intervenir dans un conflit où se plaignaient Eduens et Séquane. Il arriva alors à Arioviste en 59 et fit venir par la même occasion une légion supplémentaire. Il décida de s'entretenir avec Arioviste en haut d'une colline, tout deux soutenu par 4 000 hommes. Cependant César apprit que l'on jeté des pierres sur

protestantisme au 16e siècle. L'origine de la ville: En dehors d'outils préhistoriques et d'une villa gallo-romaine découverte en 1764 au pied de la citadelle, Montbéliard ne se développe qu'au haut Moyen Âge. Il n'y avait, dans le pays gaulois des Séquanes, que deux villes importantes : Vesontio (Besançon) et Epomanduodurum (Mandeure) sur le Doubs. La première va perdurer, la seconde stagner au 3e siècle, puis péricliter à la fin du 4e. Suivent des siècles obscures, où Alamans et Burgondes se disputent

ne va pas être facile, car de nombreux peuples y résident, aussi divers que variés. Ainsi, on trouve des Allobroges, des Helvètes ou des Séquanes. La conquête se réalise en trois phases. La première, commence en 58 avant JC et finit l’année suivante. César refoule la population helvète, habitant dans des cités très riches, et en concurrence avec les Séquanes. Enfin, il fait la guerre contre le chef helvète Arioviste. Ensuite, César se bat de 57 à 53 et vient à bout des différents peuples. Mais

assura l'intérêt de la République en adoptant Trajan ». Aurelius Victor quant à lui peint un tableau rapide aussi mais plus complet, de Nerva. Le présentant comme un homme sage et modéré en tout début, il ajoute ensuite qu'il se retira chez les Séquanes – un peuple gaulois – par « crainte du tyran ». Il poursuit en minimisant quelque peu Nerva sur les raisons de son abdication: « Mais voyant que cette fonction ne pouvait être assurée que par des hommes supérieurs à lui et plus forts de corps et

|qui se plaisent à travailler à la corrompre et à la déformer : ce sont les escumeurs de latin, les faiseurs de | |bons mots et les jargonneurs. Quand les escumeurs de latin disent : "Despumon la verbocination latiale, & | |transfreton la Sequane au dilicule & crepuscule, puis deambulon par les Quadrivies & Platees de Lutece, & comme | |verisimiles amorabundes captiuon la beniuolence de lomnigene & omniforme sexe feminin", il me semble qu'ils ne | |se moquent pas seulement de nous, mais

de la Gaule par César et surtout celle du géographe Strabon, un tout petit peu plus tard. En définitive, des nombreux peuples ou fédérations de peuples présents en Gaule à la veille de la conquête romaine (tels les Arvernes, Éduens, Bituriges et Séquanes), il reste des contours de « frontières », dont l'existence fait cependant débat et un « substrat » linguistique longtemps sous-évalué. Dans la grande forêt qui couvre l’Europe de l’Ouest, les Gaulois défrichent des clairières. Ils produisent en

La conquête des Gaules Depuis 60 avant J.-C., un nouveau danger planait sur la Gaule, et peut-être sur l'Italie elle-même: le chef suève Arioviste avait réussi à s'immiscer dans les rivalités intérieures qui opposaient les Éduens, les Séquanes et les Arvernes pour la domination de la Gaule, et les avait successivement battus en Alsace. D'autre part, les Helvètes poussés par les Germains, décident d'émigrer vers la Saintonge et demandent l'autorisation de traverser le nord de la province