Serbes

en Croatie (1991-1995) ; Guerre en Bosnie (1992-1995). Les guerres en Slovénie et en Croatie furent menées au départ afin de conserver l’unité yougoslave, mais elles prirent rapidement un caractère nationaliste. Les visions des nationalistes serbes s’opposant à celles du nationalisme croate personnifiés respectivement par le président Slobodan Milošević en Serbie et le président Franjo Tuđman en Croatie. Le conflit serbo-croate se compliqua en Bosnie-Herzégovine en raison de l’intervention de

État dominé par les Serbes mais multiethnique, composé de populations slaves de religions différentes mais de cultures proches. La chute du régime communiste voit resurgir les nationalismes : chaque nationalité souhaite posséder son propre État. Si la Serbie laisse la Slovénie accéder sans dommages excessifs à l’indépendance, il n’en est pas de même pour la Croatie et surtout la Bosnie Herzégovine, région où les diverses populations sont particulièrement enchevêtrées. Les Serbes de Bosnie, menés par

guerre. B- Une jeunesse marquée par le XIXème siècle français. Il ressort des événements de la jeunesse de Pierre Karageorgevitch une pensée très nationaliste, qu’elle se traduise par la Commune de 1870 ou sa participation aux émeutes serbes. Cet état d’esprit est issu de la jeunesse de Pierre qui se déroula en France et tout particulièrement de ses études où il appris à côtoyer les penseurs du XIXème siècle français. Il profite en particulier du romantisme ambiant qui prône les idées

Yougoslavie qui est composée de 6 républiques et de 20 régions autonomes dont les serbes qui s’étendent sur la moitié de la Yougoslavie. •Le premier conflit éclate en 1991 quand la Slovénie et la Croatie déclarent leur indépendance. Dans un premier temps, l’ONU résout ce conflit mais la situation se détériore à nouveau lorsque la Bosnie déclare son indépendance le 5 avril 1992. Les trois pays s’opposent donc aux serbes qui répliquent en organisant le siège de la capitale Sarajevo qui débute le 6 avril

organe judiciaire des Nations Unies» (voir C.I.J. Recueil 1993, p. 16-18 et p. 340-341), -s'est également fondée sur l'article 11 (chap. I) du traité de Saint-Germain-en-Laye du 10 septembre 1919 sur la protection des minorités dans le Royaume des Serbes, Croates et Slovènes (ibid., p. 339-340); -et a invoqué le principe du forum prorogatum car la Yougoslavie (Serbie et Monténégro) s'est non seulement présentée devant la Cour, mais a aussi 1)déjà accepté expressément la compétence de la Cour sur le

musulmans (serbes et croates convertis à l’Islam), 1.5 millions de serbes orthodoxes et 750 000 croates catholiques. Milosevic nouveau dirigeant serbe de la nouvelle Yougoslavie veut regrouper dans un ensemble politique la totalité de la population serbe créant ainsi une guerre civile. - 1992 : échec de la Forpronu (Force des Nations unies) pour régler les affrontements. -1995 : intervention des Etats-Unis pour signer les accords de Dayton séparant la Bosnie en deux : - la république des serbes de Bosnie

Rwanda commis par les Hutu extrémistes du régime Habyarimana a été reconnu par l'ONU. • Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, a qualifié, le 19 avril 2004, le massacre de 7 000 à 8 000 musulmans de Bosnie, commis par les Serbes en 1995 à Srebrenica, de génocide. 2) Le génocide au Cambodge Ce génocide a été réalisé par les Khmers rouges qui ont donnés la mort a plus de 1.7 millions de Cambodgiens, soit plus d’un quart de la population entre 1975 et 1979. Ces derniers

raciste, xénophobe avec une industrie militaire forte et un Etat omniprésent. Mais ces idées vont être appliquée avec le conflit en ex-Yougoslavie entre 1991 et 1995. En effet ce conflit est l’illustration du réveille du nationalisme qui va opposer les Serbes, les Bosniaques et les Croates dans une guerre fratricide. Tout commence en 1980 avec Tito l’ancien dirigeant communiste de la Yougoslavie, mais les tensions s’accroissent avec la chute du mur de Berlin et l’implosion de l’U.R.S.S. (1989/1991). En

n'auraient pas pu assumer ce niveau d'engagement. • Est-ce efficace ? La disproportion des forces peut en faire douter. Au Kosovo, les alliés affichaient 1 000 sorties d'avions par jour, contre cinq fois moins pour les adversaires serbes. Deux avions serbes violant la zone d'exclusion ont été abattus. Six en Bosnie. Mais en Irak, la zone de protection a permis le retour des réfugiés kurdes dans le pays. En Libye, des demandes sont parties des opposants au régime face aux bombardements pratiqués

Déclenchement 28 juin 1914: assassinat de l’archiduc François-Ferdinand (héritier de la couronne d’Autriche-Hongrie) à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine). Princip qui l’a assassiné était un serbes de Bosnie. Il appartenait à une société secrète (la main noire) à laquelle appartenait également la moitié des officiers serbes pratiquement. 28 juillet 1914: l’Autriche déclare la guerre à la Serbie après s’être assuré du soutient de l’Allemagne. Engrenage des alliances: la Russie se mobilise le 30 juillet