Serpentes

‘L’idéal de la beauté noire’, il fait souvent référence à elle dans Les Fleurs du Mal. Il passe la majeure partie de sa vie avec elle. Jeanne Duval a inspiré nombreux des poèmes du poète, comme « Le Balcon », « Parfum exotique », « La Chevelure », « Le Serpent qui danse », « Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne » et « Sed Non Satiata ». Jeanne Duval est vampirisée et diabolisée, elle incarne à la fois un ange et un démon. Baudelaire la voit comme une femme sensuelle, tentatrice, dangereuse, tribade

................................................................................18 SED NON SATIATA..............................................................................................................................................19 LE SERPENT QUI DANSE....................................................................................................................................20 UNE CHAROGNE..........................................................................................

graves ou scandaleux, il a exprimé la mélancolie (« Spleen ») et l’envie d’ailleurs. Il a aussi extrait la beauté et l’horreur. Baudelaire a écrit quelques poèmes rendant hommages à Jeanne Duval : Le Balcon Parfums exotiques La Chevelure Le Serpent qui danse Une charogne Sed non satiataLe Léthé Remords posthume Les principaux ouvrages de Baudelaire sont : Salon de 1845 (1845)  Salon de 1846 (1846), illustré par Raymond Pelez  La Fanfarlo (1847), nouvelle  Du vin et du haschisch (1851) 

........................................... 44 XXVI. – Sed non satiata ............................................................ 45 XXVII......................................................................................... 46 XXVIII. – Le serpent qui danse ................................................ 47 XXIX. – Une charogne .............................................................. 49 XXX. – De profundis clamavi ....................................................51 XXXI. – Le

............................ 26 XXVI. – Sed non satiata.................................................................... 26 XXVII .................................................................................................27 XXVIII. – Le serpent qui danse.........................................................27 XXIX. – Une charogne...................................................................... 28 XXX. – De profundis clamavi........................................................

........................................... 44 XXVI. – Sed non satiata ............................................................ 45 XXVII......................................................................................... 46 XXVIII. – Le serpent qui danse ................................................ 47 XXIX. – Une charogne .............................................................. 49 XXX. – De profundis clamavi ....................................................51 XXXI. – Le vampire

fut le début d'une liaison de presque toute une vie, qui inspirera de nombreux poèmes. Elle est la « maîtresse des maîtresses » dans le poème Le Balcon, et c’est sans doute ses charmes qui inspirèrent les vers de Parfum Exotique, La Chevelure, Le Serpent qui Danse, Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne,  Sed Non Satiata, série de poèmes des Fleurs du Mal souvent citée comme le cycle de la « Vénus Noire ».  Jeanne Duval incarne à la fois la femme sensuelle, tentatrice, dangereuse, infidèle, troublant

l'Ile de la Réunion en février 1842 . Ce voyage lui inspirera de nombreux poèmes tels que «  L'albatros » . En 1842, il fait la connaissance de Jeanne Duval qu'il représente dans ces textes comme la femme idéale et l'amour sensuel , comme dans « Le serpent qui danse ». En 1847, il rencontre Edgar Poe , chez lequel il s'identifie. A partir de 1848, Baudelaire mène une vie de Dandy. En 1852, il envoie des poèmes à Mme Sabatier , celle qu'il associe à un amour spirituel. En juin 1857, il publie Les Fleurs

nostalgique d'un au-delà sentimental, correspondant à une mystique de l'amour. Si Jeanne Duval inspire des poèmes plein de sensualité : « Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! » (« Le Serpent qui danse »), Mme Sabatier sera l’inspiratrice de poèmes d’amour éthéré dont « Le Flambeau vivant ». - Présentation courte : Charles Baudelaire, poète du XIXe siècle, est l’auteur des Fleurs du mal, titre qui annonce la volonté de l’auteur de montrer

Une Vanité grotesque et sublime ? INTRODUCTION Ce poème est extrait de la première partie des Fleurs du Mal, recueil publié en 1861, censuré pour son inadéquation aux bonnes règles de la morale et de la pudeur. « Une Charogne » suit « le Serpent qui danse », qui est un éloge de la femme aimée, mais cet éloge va ici se transformer en un memento mori paradoxal. Baudelaire ose s’attaquer à des motifs peu conventionnels, comme celui de cette « charogne ». XXIX ème poème de la première partie