Servair

dont il va obtempérer dépendra de ses intentions. Mais en même temps, ses comportements participent objectivement à des processus sociaux qui échappent en grande partie ou totalement à ses intentions. * La distinction faite par Rémy, Voyé et Servais entre logique intentionnelle et logique objective présente l’intérêt de montre que les conséquences des comportements ne peuvent pas nécessairement être éclairées par les intentions des individus qui les adoptent. * logique intentionnelle :

preuve as-tu de sa folie ? Dubois. – Quelle preuve ! Il y a six mois qu’il est tombé fou ; il y a six mois qu’il extravague2 d’amour, qu’il en a la cervelle brûlée, qu’il en est comme un perdu ; je dois bien le savoir, car j’étais à lui, je le servais ; et c’est ce qui m’a obligé de le quitter, et c’est ce qui me force de m’en aller encore ; ôtez cela, c’est un homme incomparable. Araminte, un peu boudant. –  Oh ! bien, il fera ce qu’il voudra ; mais je ne le garderai pas  : on a bien affaire

fouet, il refusa de repartir. – Je crois bien que cette carne va nous lâcher ! s’écria le nommé Rapace. Pour sûr qu’elle sent la viande. Descends, Bricart, prends-la par le mors et tire-nous de là ! – J’ai déjà vu cela à Bassignano en 1745 quand je servais au Royal Dauphin avec le père Chevert7. Les bestiaux qui tiraient les canons refusaient d’avancer devant les cadavres. C’était en septembre, il faisait chaud et les mouches... – Arrête, on connaît tes campagnes. Tords la gueule à la bête, et dépêche-toi

vivants ! J'y allais ferme, monsieur, car me voici ! Mais je ne sais pas aujourd'hui comment j'ai pu parvenir à percer la couverture de chair qui mettait une barrière entre la vie et moi. Vous me direz que j'avais trois bras ! Ce levier, dont je me servais avec habileté, me procurait toujours un peu de l'air qui se trouvait entre les cadavres que je déplaçais, et je ménageais mes aspirations. Enfin je vis le jour, mais à travers la neige, monsieur ! En ce moment, je m'aperçus que j'avais la tête ouverte

je ne mêlais pas aux vulgaires. Il en était que je ne pouvais manier sans être ravi par leur beauté; une petite, en particulier, d’agate noire, avec un équateur et des tropiques blancs; une autre translucide, couleur d’écaille claire, dont je me servais pour « caler ». et puis, dons un gros sac de toile, venait tout un peuple de billes grise qu’on gagnait, qu’on perdait, et qui me servirent d’enjeu… » A.Gide, si le grain ne meurt ; Ed Gallimard. Soulignez les propositions subordonnées relatives

un sens propice. b – En quoi consiste la veille chez Servair ? La veille chez Servair consiste à appréhender les besoins d’informations de chaque département stratégique de l’entreprise et à rechercher une réponse à chaque problématique donnée. Les réponses aux questions posées peuvent se trouver dans les bases de données internes ou externes, sur les sites Internet, ou provenir de la réflexion d’un expert. Le responsable de la veille chez Servair possède un réseau de contacts et d’experts, et une

moins, elle se faisait aimer. Et je me rappelai le psaume : « Bénis soient ceux qui inspirent l'amour. » Oui, bénis soient-ils, car quand bien même ils avaient tous les défauts, ils n'en étaient pas moins le sel de la terre, de cette terre où je ne servais à rien, moi que nul n'avait remarquée. 43 Pourquoi en était-il ainsi ? Ce n'eût été que justice, si je n'avais pas aimé. Or, c'était le contraire ; j'étais toujours disposée à aimer. Depuis ma prime enfance, je ne comptais plus le nombre de petites

la Bible, faire des études bibliques, écouter de la louange, travailler sur moi, aidée et guidée en cela par le Seigneur. J’étais présente dans tous les événements jeunes de l’église (voyage à Brighton, Albi, rencontres jeunes PAJE, CIJEM,..), je servais Dieu dès que je pouvais, j’ai toujours aimé rencontrer de nouvelles personnes, aller vers les autres, il était donc normal qu’on me trouve à l’accueil de mon église le dimanche, des rencontres jeunes ou tout événement où on avait besoin d’une équipe

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82 La ville, une nouvelle référence La flore en ville Nathalie Machon & Audrey Muratet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 La ville, un dénominateur commun Anne-Caroline Prévot-Julliard & Véronique Servais. . . . . . . . . . . . . 86 DÉBAT : Gérer ou laisser faire ? Vers la voie de la non-intervention Annick Schnitzler & Jean-Claude Génot . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88 Les forêts de demain Annick Schnitzler . . . . . . . . . . . . 89 Une gestion

vivants ! J’y allais ferme, monsieur, car me voici ! Mais je ne sais pas aujourd’hui comment j’ai pu parvenir à percer la couverture de chair qui mettait une barrière entre la vie et moi. Vous me direz que j’avais trois bras ! Ce levier, dont je me servais avec habileté, me procurait toujours un peu de l’air qui se trouvait entre les cadavres que je déplaçais, et je ménageais mes aspirations. Enfin je vis le jour, mais à travers la neige, monsieur ! En ce moment, je m’aperçus que j’avais la tête ouverte