Servius Tullius

lux (la lumière) et peut être donné comme prénom à un enfant né à l'aube. 9 Leur prénom s’abrège à l’initiale lorsqu’il est suivi du nom. Voici des exemples de noms et leurs initiales ; A : Aulus L : Lucius Q : Quintus Ap : Appius M : Marcus Ser : Servius C : Caïus M’ : Manius Sex : Sextus Cn : Cnaeus Mam : Mamecus Sp : Spurius D : Decimus N : Numerus T : Titus K : Kaeso P : Publius Ti : Tiberlus

longue, lui payer le prix de son concours. Peut-être lui reconnut-on, à diverses reprises, quelques droits civils; il est avéré en tout cas qu'on lui alloua des terres domaniales. Le sixième roi, Servius Tullius, alla plus loin. Jusque-là les patriciens et leurs clients étaient à eux seuls toute la cité. Servius, sans accorder aux plébéiens des droits politiques, les admit dans les cadres officiels. Il divisa le territoire et la ville en quatre tribus où les habitants furent rangés d'après leur domicile

Centuriates) et (mais seulement jusqu'en 339 av. J.-C.) valider les lois par les autres comices. Les comices Curiates se réunissent au forum. Les comices Centuriates Les comices Centuriates se basent sur les cadres censitaires du système de Servius Tullius. Au Ve siècle av. J.-C. l'ensemble des cinq classes formant le corps social est divisé en 193 centuries. La première classe comprend 18 centuries équestres et 70 centuries, les deuxième, troisième, quatrième, et cinquième classe comprennent 70

l'an 753 av. J.-C. Elle aurait été abolie à la chute de Tarquin le Superbe, traditionnellement datée de 509 av. J.-C. Selon la tradition, sept rois règnent sur Rome (Romulus, Numa Pompilius, Ancus Marcius, Tullus Hostilius, Tarquin l'Ancien, Servius Tullius et Tarquin le Superbe) depuis la fondation de la ville en 753 av. J.-C. jusqu'à la révolution de 509 av. J.-C. qui chasse le dernier souverain pour instaurer la République romaine. Les dispositions constitutionnelles sous la Monarchie romaine

est grand et fort, mais il n’a pas de tête du tout ! » L’époque : En 63 avant Jésus-Christ, en République romaine. La situation politique : Quelque temps avant les élections consulaires. Consuls en place : Marcus Tullius Cicero (Cicéron) et Caius Antonius Hybrida. Candidats aux prochaines élections : Catilina, Decimus Lunus Silanus et Lucius Licinius Murena. Débats : la réforme agraire, l’effacement des dettes, la redistribution des terres. Pour : César

l’époque royale § 1 - La coutume : une source présumée - importance des coutumes en droit privé - difficulté de vérifier les sources § 2 - Les « lois royales » : une source discutée - Numa Pompilius, le « roi-législateur » : un droit inspiré - Servius Tullius, le « roi-instituteur » : l’assemblée servienne § 3 - Le droit augural : une source divinisée - l’emprunt à la tradition des haruspices étrusques - les pontifes et le droit augural : ex avibus CHAPITRE II : LE DROIT SOUS LA RÉPUBLIQUE ROMAINE

sont des rois étrusques qui règnent sur Rome. Le 1e : Tarquin l'ancien. Il prend le pouvoir au roi sabin par la ruse. C'est aussi un roi bâtisseur, car il est censé avoir bâti les égouts, le forum, le temple de jupiter. Son successeur est Servius Tullius. C’est un roi politique de Rome. Son règne est marqué par des reformes politiques essentielles. Pour simplifier, il donne à Rome sa 1e constitution et il aurait fondé la 1e assemblée de Rome (= les Comices centuriates : assemblée ou le peuple

la royauté C’est une royauté d’origine étrusque. §1.La désignation du roi : l’intervention des augures Il y aurait eu entre 753 et 509 avant J.C, 7 rois de Rome : Romulus, Numa Pompilius, Titus Tatius, Ancus Marcius, Tarquin l’ancien, Servius Tullius et Tarquin le Suberbe. Ce n’était pas une monarchie héréditaire. Au sens juridique, il n’y a pas de roi qui se succède, pas de transmission du pouvoir. Il n’y a pas de système électif non plus. La puissance, la légitimité, repose sur son charisme

Romulus, lointain descendant du troyen Enée, fonda Rome dans la région du Latium au carrefour des influences grecques et étrusques. A Romulus auraient succédé deux rois sabins et un roi latin (Numa Pompilius, Tullius Hostilius et Ancus Martius) puis trois rois étrusques (Tarquin l’Ancien, Servius Tullius et Tarquin le Superbe). Les historiens expliquent la chute de la Royauté par la politique belliqueuse de ce dernier roi étrusque. Tarquin le Superbe gouverna en véritable tyran. Une révolution mit fin à

Le vote à l’assemblée doit se faire publiquement plutôt que par bulletin secret, de façon que le « petit peuple » puisse suivre l’exemple des « principaux ». En outre, le pouvoir de vote des citoyens les plus pauvres doit être diminué. Ainsi Servius Tullius a agi avec sagesse en divisant l’ensemble des habitants de Rome en cent quatre-vingt-treize centuries et en reléguant les citoyens les plus nombreux et les plus pauvres dans la dernière centurie afin que les Romains les plus riches, bien que moins