Sevrage

ANALYSE REFLEXIVE Cette analyse concerne un soin relationnel (entretien infirmier de type informel) avec une patiente admise pour un sevrage alcoolique dans un contexte difficile. Préambule Mme M a 56 ans, elle est admise dans la clinique, pour la première fois, pour un sevrage alcoolique. C’est une patiente qui dit s’alcooliser depuis longtemps (adolescence) et de façon massive, son alcoolisation est associée à une consommation de tabac et de cannabis. Mme M est célibataire

* Le MEDECIN GENERALISTE qui prescrira un traitement comme des antidépresseurs ou des tranquillisants, soit il dirigera le jeune patient vers un spécialiste pour entamer un sevrage ou simplement un soutien psychologique. * Les ALCOOLOGUES qui déterminent le degré de dépendance et orientent le patient vers un sevrage ou vers une psychothérapie. * Les ASSOCIATIONS à l’écoute des jeunes : -Drogues Alcool Tabac Info Service (DATIS) 113 : appel anonyme et gratuit. -Fil santé jeunes. -Les

reconnaît l'alcoolisme comme une maladie et le définit comme des troubles mentaux et troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool. Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation (pharmacodépendance), une dépendance psychique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet). La progression dans le temps est l'une des caractéristiques majeures de cette addiction

l'alcoolisme comme une maladie et la définit comme des troubles mentaux et troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool. Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation, survenant à la suite de l'arrêt de l’alcoolisation, une dépendance psychique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet). La progression dans le temps est l'une des caractéristiques

addictives, les dépendances comportementales et les dépendances physiques. Le traitement pour la consommation de substances exogènes débute différemment, avec un sevrage de quelques jours fortement médicamenté pour mieux contrôler les conséquences du manque de substances pour le corps. Selon des experts québécois, l’intensité du sevrage est déterminée par : * l’importance de la consommation antérieure * les produits ingérés * le degré d’adaptation du système nerveux central * les

tabac comportent un risque cancérogène. Le tabagisme entraine en plus des cancers du poumon des cancers ORL (larynx, cavité buccale, pharynx), des cancers de l’œsophage et des voies urinaires (rein et vessie). Le risque de cancer diminue après le sevrage du tabac mais se risque ne diminuera pas au point de revenir à celui des individus n’ayant jamais fumé. On estime que le tabagisme est responsable de près de 25% de l’ensemble des cancers chez l’homme. 2) Les pathologies non cancéreuses Il

et des reflexes Détérioration de l’état physique Complication de certaines maladies Détachement de la réalité Désinsertion scolaire et sociale Marginalisation Problèmes financiers Violences, problèmes judicaires Le syndrome de sevrage : Le syndrome de sevrage est une modification comportementale inadaptée avec des répercussions physiologiques et psychologiques due à l'arrêt d'une substance ou d'un comportement ayant entraîné une dépendance. Symptôme du syndrome de manque Signe psychique

sévère du syndrome de sevrage d'alcool. C'est un état d'agitation avec fièvre, tremblements des membres, onirisme et trouble de la conscience, propre à l'intoxication alcoolique[ ] le delirium tremens survient uniquement chez les alcooliques au cours d'un sevrage d'alcool non contrôlé par un traitement efficace du sevrage. Synonymes : Délire alcoolique ; Délire hallucinatoire du sevrage à l'alcool ; Hallucinose du sevrage à l'alcool ; Hyperactivité autonome associée à un sevrage à l'alcool. 2 .CAUSES :

d’augmenter continuellement les doses prises afin d’obtenir le même effet, quel qu’il soit (effet analgésique ou sensation de plaisir pour la morphine). • La dépendance physiologique correspond à l’apparition, en cas d’arrêt de prise de drogue (ou sevrage), de troubles physiologiques caractéristiques du syndrome d’abstinence : sueurs, vomissements, diarrhées, tremblements, douleurs diverses, etc. • La dépendance psychologique : elle se caractérise par l’état de manque, c’est-à-dire une souffrance psychologique

différenciation entre une consommation normale et pathologique) qui déterminera une conduite addictive. L’individu jugé comme abusant de certains comportements ou de certaines substances nécessite une prise en charge et un traitement pour permettre un sevrage. L’intervention d’un psychologue clinicien est donc indispensable, accompagnée éventuellement de celle d’éducateurs et de médecins. Cependant toutes conduites addictives ne nécessitent pas forcément de traitements lourds. Plusieurs types de thérapies