Sfumato

rayons du soleil éclairent la pièce. La lumière est dirigée vers le sujet de manière à ce que la partie la plus ''éclairée'' du tableau se trouve aussi à être le visage, la poitrine et le luth de la femme. Le peintre utilise aussi la technique du sfumato en estompant les contours de la robe, des cheveux et des plumes qui ornent la tête du sujet afin de créer ses effets d'ombres. Pour ce qui est des couleurs utilisées, Van Honthorst utilisa des couleurs chaudes telles les tons de rouges, jaunes, marron

géométrique à la fois gracieuse et scrupuleusement étudiée. La structure pyramidale, apparue avec « La Vierge aux Rocher », en est un exemple marquant. La deuxième technique dont Léonard de Vinci fut le maître est l’art dit du « clair-obscur » (ou « sfumato ») qui permet, par le jeu subtil des ombres et des lumières, baigner le sujet dans une atmosphère à la fois harmonieuse et mystérieuse.  L’œuvre artistique de Léonard de Vinci s’enrichit également d’une somme impressionnante de dessins, croquis

confirmer l'identification de Mona Lisa, Gioconda (giocondo en italien signifie heureux)." "Cette impression de vie est rendue possible par la technique léonardesque qui supprime le trait au profit de subtils passages entre l'ombre et la lumière : le sfumato. C'est la "juste répartition des lumières" qui donne le volume et suggère la distance. Le paysage derrière la figure est baigné dans une " vapeur légère" et les montagnes de l'arrière-plan sont noyées dans l'enveloppe atmosphérique." En fait Léonard

sur toile commence à faire son apparition lors de la Renaissance. On utilise de plus en plus un crayon utilisé pour la peinture appelé le fusât. Les artistes se servent des mathématiques pour  réaliser leurs oeuvres. Léonard de Vinci utilisait le sfumato (constituer une sorte de brume autour des personnages pour permettre les jeux de lumière). On a l'impression qu'il y a une profondeur dans l’oeuvre (peinture en 3 dimensions). Les artistes redécouvrent le nombre d’or (1.64) qui permet une proportion

qu’il soit artiste comme Michel-Ange, il est considéré comme un héros, loin des actes guerriers. Il est aussi considéré comme un génie, par exemple, Léonard de Vinci va grâce à ses recherches comme « L’Homme de Vitruve » ou encore son utilisation du sfumato dans ses peintures, va lui donner une place de génie dans la société et donc de héros. A travers la Renaissance et le siècle des Lumières, le penseur va transformer le héros antique en un honnête homme. A l’époque moderne, le héros national va

vraiment les limites de chaque forme, on les imagine plus qu'on ne les voit, parce qu'elles se perdent dans une sorte de brume. Les montagnes du fond sont tellement floues qu'elles se confondent presque avec le ciel... Cette technique est nommée sfumato (dégradé, en italien). Il est naturel de regarder dans les yeux quelqu'un. Le regard de « La Joconde » prolonge dans celui du spectateur et semble le suivre même lorsqu'il se déplace par rapport au tableau. Le peintre a obtenu cet effet en focalisant

peuplier de 77x53cm. Le tableau de la Joconde est exposé au musée du Louvre à Paris. La Joconde représente le buste d’une jeune femme (Mona Lisa Del Giocondo) au premier plan et un paysage montagneux à l’arrière plan avec un effet de brume (appelé Sfumato). La femme porte une robe de couleur plutôt sombre comme ses cheveux. Elle a le bras gauche accoudé sur une sorte de bout de bois avec sa main droite mise sur sa main gauche. A l’arrière plan on peut voir un paysage montagneux avec une rivière

pour peindre. La peinture de chevalet se généralise à Venise dès le début du XVIe. La composition des tableaux se complexifie au cinquecento, l’étude des effets d’ombre et de lumière tend à créer un modelé illusionniste (Léonard de Vinci avec le Sfumato=enfumé). C’est alors qu’apparaît également la peinture à l’huile, offrant plus de possibilité que la peinture à tempera (peinture à base d’oeuf). Avec les artistes de la Renaissance commence une réelle réflexion sur l’homme, qui devient source de

une identification du Beau & du Bien ; elle sera incarnée par le penseur Pétrarque, le peintre Botticelli, le sculpteur Donatello, le maître d’atelier Léonard de Vinci et le polyvalent Michel-Ange. De nouvelles techniques apparaissent. Le sfumato (dérivé de fumée), à l’aide de la superposition des couches de peinture qui entoure les sujets d’un halo et noie les paysages. Il crée une profondeur et accentue l’effet de perspective. La Joconde en donne une parfaite illustration. Les fresques

étaient des personnages de sainteté, désormais avec la perspective ce sont les personnes représentées en premier plan qui sont les plus grand. On voit aussi de nouveau : la peinture à l’huile qui permet de retravailler par la suite une œuvre ; le sfumato, une technique de peinture créée par Leonard De Vinci de fondu des couleurs qui sert à dessiner les différents éléments dût au mélange des couleurs. Ainsi, les humanistes en général grâce à leurs idées de départ vont porter à la société un nouveau