Sganarelle Admire Don Juan

Corneille…………………………………………………………………….30 2. « Cinna » de Pierre Corneille……………………………………………………………………….32 III. Comédies du XVIIe siècle……………………………………………………………………………34 A. L’auteur……………………………………………………………………………………………………….35 B. Exemples………………………………………………………………………………………………………36 1. « Dom Juan » de Molière……………………………………………………………………………..37 2. « Les Fourberies de Scapin » de Molière……………………………………………………..39 IV. Comédies du XVIIIe siècle…………………………………………………………………………….42 A. Les auteurs…………………………………………………………………………………………………….43 B. Exemples………………………………………………………………………………………………………

aspects essentiels : la représentation ; et cependant Molière prévient déjà : « Le théâtre n’est fait que pour être vu » ; la tournure restrictive insiste sur l’importance fondamentale du spectacle dans le théâtre. Si à l’origine celui-ci doit en effet donner à voir, l’on peut se demander si la seule approche visuelle permet une appréhension suffisante de certains textes. Est-ce une affirmation vraie, ou seulement en partie?(problématique proposé par M.Auzanneau) “Contrairement à un préjugé fort répandu

lit en effet ce don de soi à Dieu, qui signifie d'abord une aliénation, une perte : "Tout entière je me suis livrée et donnée" ; mais ce don s'inscrit dans un échange, qui donne à la ferveur religieuse un prosaïsme économique : "Et j'ai fait un tel échange / que mon aimé est à moi et je suis à mon aimé". En somme, je me donne à Dieu, je me dévoue à lui, mais en échange il se donne à moi par le fait qu'il m'habite intérieurement, pour mon plus grand bénéfice. La générosité de ce don total réciproque

le Pédant joué de Cyrano de BERGERAC sous celui de Chasteaufort. 2. Textes n°2 : les personnages monomaniaques des comédies de MOLIERE : l’Avare, le Bourgeois Gentilhomme, Dom Juan, le Misanthrope, par exempleDans la galerie des tous les extravagants, obsédés par une idée fixe, uns scène symbole dévoile leur déraison car ils vont y expriment leur emportement en allant jusqu’au bout de leur délire.A. Monologue d’Harpagon dans L’Avare de

facilement son illustration. Elle peut cependant sembler réductrice et passer trop rapidement sur les difficultés que pose la pratique de la critique littéraire. Il conviendra donc de s'interroger en fin de compte sur ce qui aurait pu être précisé pour donner une définition beaucoup plus précise du critique. En effet, la critique naît de la lecture d'œuvres littéraires. Si l'on se réfère à la citation et que l'on parle d'un « lecteur » sans autre qualificatif, on évoque alors la critique spontanée.

l'autre d'une attitude plutôt active. On peut avoir une confiance aveugle dans l'opinion. Dans le Dom Juan de Molière, Sganarelle fait preuve d'une superstition anachronique avec l'esprit cartésien de son maître : "Il n'y a rien de plus vrai que le moine bourru et je me ferais pendre pour celui-là." s'oppose au "Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit" de Dom Juan. (Annexe 3) On peut faire preuve d'une méfiance de principe par rapport à l'opinion. L'apôtre Thomas

Louis XIV et les grincements de dents de ces cibles, les jeunes nobles étourdis.    Le Petit-Bourbon est détruit. Qu'à cela ne tienne, le roi leur permet de jouer au Palais Royal, ouvert en 1661. Mais la première pièce jouée, une tragédie à nouveau, Don Garcie de Navarre en janvier 1661, est un échec cuisant. Le jeu de Molière est moqué par ses détracteurs : suite à un défaut de prononciation qu'il a voulu corrigé, Molière a gardé une sorte de hoquet à la fin de chaque phrase, sa silhouette, courte

es pièces suivantes : - Le Menteur : une comédie d’intrigue – l’héros Dorante confond les noms de deux jeunes filles, ce qui donne lieu à d’amusantes comlications. - Rodogune : mélodrame - Heraclius : mélodrame - Andromède : pièce à machine - Don Sanche d’Aragon : comédie héroïque - Nicomède Puis après un long silence, Corneille donne Oepide en 1659, Tite et Bérénice en 1670 et beaucoup d’autres (mais c’est déjà la période de Racine). Le système dramatique de Corneille : Corneille expose

révolutionnaire Beaumarchais -> Barbier de Séville III / La morale : la catharsis 1) Le rôle de la comédie Enseigner la vertue par le vice : la comédie de Molière -> l’avare (vice particulier), les précieuses ridicules (vice social), Dom Juan (hypocrisie) 2) Le rôle de la tragédie Antigone -> destinée évoquée dès le début, évolution montrée au public 3) Le théâtre de l’absurde Ionesco – Rhinocéros -> dénoncer la condition humaine Fourberies de Scapin En l’absence

faire accepter sans réticence sa demande en mariage. 4-Covielle nomme M. Jourdain “Mamamouchi”, ce qui signifie “Paladin”, et précise “Il n’y a rien de plus noble que cela dans le monde”. 5-Sous le déguisement du Mufti, Covielle s’offre le plaisir de donner des coups de bâton à son maître, en faisant chanter aux Turcs: “Dara, dara, Bastonnara, bastonnara.”, au cours de la cérémonie turque. 6-V,1: Il la traite d’ “impertinente”, d’ “ignorante”, et d’ “insolente”. Il reprend les phrases turques afin d’impressionner