Sganarelle Comique Ou Tragique

Libertinage en action. Moli�re met en sc�ne des paysans dans tout l'acte II (=> comique de farce)�: acte de la farce paysanne. Dom juan charme Charlotte en lui promettant le mariage alors qu'elle �tait promise � Pierrot. Pierrot sauve Dom juan de la noyade, il pourrait �tre reconnaissant mais il lui enl�ve sa fianc�e. Rivalit�s amoureuses se cr�ent. En quoi consiste le comique de cette sc�ne�? I / Diff�rentes formes de comique Comique de geste�: coup de soufflet li� � la mise en sc�ne et au jeu des com�diens

à travers la comédie, et le personnage libertin de Dom Juan. Dans cet extrait Sganarelle, valet de Dom Juan, s’entretient avec Gusman, l’écuyer de Done Elvire. On apprend que la jeune femme, après avoir été enlevée d’un couvent puis épousée par Dom Juan, vient d’être abandonnée par ce dernier. Sganarelle, en confidence avec Gusman, lui ôte tout espoir du retour de son maître à Done Elvire. A cette occasion, Sganarelle dresse son propre portrait. PB : Qu’est ce qui nous permet de voir qu’il s’agit

La scène 3 de Dom Juan est une scène à dominante tragique puisqu’il s’agit d’une femme venant demander des comptes à son mari. Cette scène est traitée avec un contre point comique dans l’attitude de Dom Juan. L’attitude de Dom Juan : Il est choqué car une femme de la haute société l’a suivie en brisant les convenances, et parce que Done Elvire ne s’est pas changée, elle n’en a pas pris le temps, cela montre qu’elle est prise par la passion. Ici : Passion (patio = subir) différent de raison

Correction Dissertation SUJET: le comique au théâtre ne sert-il qu'à faire rire? Depuis la Poétique d'Aristote, on oppose la comédie qui doit faire rire à la tragédie qui doit susciter terreur et pitié. Progressivement, les aspects comiques se sont codifiés et ils sont devenus aisément identifiables. Leur fonction est-elle cependant uniquement de provoquer le rire du spectateur? Le problème posé est celui de la définition du genre comique et de l'essence même du rire. La comédie est bien évidemment

| | |Convaincre, persuader et délibérer  : formes et fonctions du discours | |Problématique générale de la séquence |Une « comédie » tragique | |Problématique de l’extrait (V, 5 et 6) |Le mélange des genres et des registres au service de la complexité du personnage de DJ | Introduction 1-Amorce. L’immense

> Dom Juan s'obstine à refuser de se repentir. > Orgueil du personnage. Emploi de l'impératif : « Allons, suis moi » > Dom Juan ne se soumet pas même face à la manifestation divine. II) Un dénouement baroque : 1) Le surnaturel tragique : CL du surnaturel : « spectre », « femme voilée », « fantôme », « change de figure », « esprit », « s'envole » > Registre fantastique > On bascule dans un univers fantastique. Emploi de l'impératif : « Arrêtez Dom Juan » > Donne

celui de Dom Juan. L’arrivée de Dom juan est préparée : on assiste à sa présentation par son valet. Sganarelle commence à argumenter sur le tabac (qui est très à la mode). Il joue le maître devant Gusman, c’est une façon de commencer la conversation : l’argumentation est inutile, c’est un sujet facile à exploité. L’idée de l’honnête homme arrive (instruit, cultivé, charmant, raffiné…). Sganarelle utilise le pronom « on » : il s’implique dedans. Il donne un cours, une leçon à Gusman. Il nous prépare

il « s'envole » (l.12) et Dom Juan ne réussit pas à la frapper avec son épée. Dom Juan semble ne pas croire en la présence religieuse qui est pourtant évidente, alors qu'à l'inverse le personnage de Sganarelle en est persuadé, même si celui ci tourne à la dérision la religion avec des répliques comiques tel que « Monsieur, c'est un spectre : je le reconnais au marcher. ». La religion a beau donc être évoquée, elle est tournée à la dérision en n'étant pas reconnue ou en l'étant mais de manière ironique

de main : Don Juan accepte le défi. Accepte son destin ? → Tous ces artifices spectaculaires font de ces scènes un passage marqué par l'outrance baroque. Les thématiques abordées sont baroques également. II) Le dénouement 1)Don Juan : une fin tragique Ira jusqu'au bout de sa destinée, refuse de se remettre en question : refuse de capituler, → insistance avec répétition de « Non, non ». Épée : symbole de son orgueil *dernière provocation, Image traditionnelle de l'enfer : champ lexical du

noblesse, séducteur, libertin et athée. Dom Juan, qui est joué pour la première fois en 1665, connaît un succès considérable. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet à la mode déjà illustré par l’espagnol Tirso de Molina, est une comédie tragique qui raconte la vie d’un libertin. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement baroque, à cause de ses tromperies et de son jeu avec les apparences, ceci ne correspond pas aux caractéristiques du mouvement classique.En quoi cette