Sibérie

jugement de Zadig voire l'absence (1ère phrase du premier paragraphe).Il suffit d'être accusé pour être condamné. « à peine » montre que le jugement a été trop vite.→ sanctions dures : « knout » l.54démesurées « condamnation à vie à s'exiler en Sibérie » l.55→ La Sibérie s'oppose totalement au cadre de Babylone = critique de la justice européenne→ justice solennel :« Devant l'assemblée du grand Desterham » ; « grand appareil » ; « les juges » ; « les huissiers » :appareil de justice seulement pour impressionner

pain et fringales, beau temps et pluie et le froid qui accentuent l’immersion dans la misère des Coupeau. Des termes imagés, « les danses devant le buffet, les dîners par coeur » intensifie les angoisses de la faim, ou encore «  dans la petite Sibérie de leur cambuse  » qui défini leur lieu d’habitation comme étant un coin perdu mal entretenu. Les Coupeau «  le premier hiver, firent encore du feu quelquefois  » puis «  le second hiver, le poêle ne se dérouilla seulement pas, il glaçait la pièce

progressiste russe, raison pour laquelle il est condamné à mort. Échappé à la punition capitale au dernier moment par la grâce du tsar, Dostoïevski est déporté dans un bagne de Sibérie pour les quatre années suivantes. Si on pensait que la Russie était l’endroit ou l’adaptation était indispensable à la survie alors en Sibérie la situation semble beaucoup plus grave. Dans cet endroit l’homme doit lutter contre un ennemi beaucoup plus féroce que seulement le système politique : le climat. C’est la que

cheval » Le grand veneur et le premier eunuque ne doutèrent pas que Zadig n’eût volé le cheval et le chienne de la reine; ils le firent conduire devant l’assemblée du grand desterham, qui le condamna au knout et à passer le reste de ses jours en Sibérie. A peine le jugement fut-il rendu qu’on retrouva le cheval et la chienne. Les juges furent dans la douloureuse nécessité de réformer leur arrêt; mais ils condamnèrent Zadig à payer quatre cents onces d’or pour avoir dit qu’il n’avait point vu ce qu’il

où les populations sont obligées de travailler (« les grandes curiosités à découvrir à l'est du pays... au fond des mines). L'allusion est très claire, il s'agit de la dénonciation du goulag, ce système de camp de concentration (nombreux camps en Sibérie). L'idée d'une militarisation à outrance du régime. Les militaires sont présents dans 6 des 10 vignettes, ils sont armés pour traquer les « ennemis du peuple » (« la chasse »). La vignette « footing » montre l'Armée Rouge défilant au pas derrière

nord-sud la Russie d’Europe de la Russie d’Asie, est un massif montagneux érodé riche en ressources minières. L’énorme ceinture forestière d’une largeur de 1 200 km en « Russie européenne » dont l'Oural est la barrière naturelle, et de 2 000 km en Sibérie constitue la plus grande réserve forestière de la planète. Les surfaces cultivées présentent 8,9 % de la surface cultivable de la planète. Le littoral de la Russie a une longueur de 37 653 km : il s’étire essentiellement le long de l’océan Arctique

appétits sont trop forts pour réellement calmer le jeu. En 1914, seuls l’Ethiopie et le Liberia sont encore indépendants en Afrique. Au cours de cette période, les Européens progressent en Asie et en Océanie : Les russes achèvent la conquête de la Sibérie et visent la Mandchourie, les Français étendent leurs possessions en Asie (Cochinchine, Annam, Tonkin, Cambodge, Laos), les Hollandais dominent l’Indonésie. L’administration des territoires conquis est très variable. Politique d’assimilation française

construction d’un empire à partir de l’ouest L’URSS ne cesse de s’agrandi, 3M en 1533, 10M en 1630, 17M en 1800, 22,4M en 1945 jusque 1991. A parti de 1547, le tsar, Ivan 4 le terrible devient tsar et la conquête commence. Au 17é conquête de la Sibérie. Au 17e et 18e surtout, la Russie se tourne vers l’ouest avec la Baltique, la mer noire et la Pologne, l’Ukraine s’unie à la Russie. Création de Saint-Pétersbourg en 1712 par Pierre le Grand comme capitale au début du 18e est le symbole de cette Russie

? beaucoup se posent la question aujourd'hui...) va être déterminant pour la suite de sa vie : pilote de la Luftwaffe sur le front russe pendant la Seconde Guerre mondiale, il s'écrase en Asie à bord de son appareil en 1942 (autres versions : en Sibérie / en Crimée / en Hollande ; en 1943 / en 1944). Recueilli par des Tatares qui lui donnent du miel en guise de nourriture, il revient à la vie, recouvert de graisse et enroulé dans des couvertures de feutre.Dès lors, à partir de la fin de la guerre

faire abattre, il à immédiatement partager le calvaire des individus se trouvant dans le train blindé car il à déjà failli mourir d’une façon quasi-similaire en Sibérie. Le fait qu’il assiste à ce massacre, à provoquer, systématiquement, en lui le rappel du calvaire, de « l’enfer » qu’il a enduré lorsqu’il était révolutionnaire en Sibérie et que des contre-révolutionnaires ont tenté de l’abattre mais sans réussites, Katow fût de suite dans une sorte de coma : c’est l’expérience de la mort imminente