Sidi Bouzid

temps, fini par déranger. Ce sont précisément de ces choses là que je vais vous parler. Restons dans l'actualité en parlant du printemps arabes et précisément dans la révolution tunisienne. Cela a vraiment commencé en décembre 2010 dans la ville de Sidi Bouzid par la révolution en Tunisie qui à mené au départ du président Ben Ali. Il a dirigé sont pays pendant 23 ans, l'économie de la Tunisie était excellente, elle a même été qualifier de première en termes de compétitivité économique en Afrique mais

appauvries, marginalisées et privées de leurs droits et libertés. Cependant, la petite étincelle qui a déclenchée les révolutions est différente pour chaque pays. A titre d’exemple, en Tunisie, il a été question de l’immolation de Mohamed Bouazizi à Sidi Bouzid le 17 décembre 2010. Alors qu’en Libye, le rassemblement de mères de prisonniers morts en détention qui a déclenché l’émeute générale le 15 février 2011. Pour la plupart des chefs d’états en question, la réaction a été semblable et immédiate. Dans

 Plusieurs raisons ont poussé ces revoltes, cependant un événement l’a déclanché: le 17 décembre 2010, l'auto-immolation du jeune vendeur ambulant de fruits et légumes à Sidi Bouzid, Mohamed Bouazi, dont la marchandise avait été confisquée par les autorités (car il ne possédait pas d‘autorisation officielle). Si tellement de Tunisiens se sont identifiés à lui et qu’il est devenu un symbole, c’est parce que beaucoup pouvait comprendre son désespoir pour l’avoir vécu au quotidien. Car la population

rôle primordiale dans la mobilisation. La révolution a commencé par l'acte de désespoir d'un vendeur à la sauvette de fruits et légumes: le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi, 26 ans se voit confisquer sa marchandise par la police municipale de Sidi Bouzid. En signe de protestation, il s'immole par le feu. Cet acte sera le point de départ de la révolution. Mohamed Bouazizi est décédé de ses blessures le 4 janvier 2011. 4) Aspect Commercial La Tunisie revendique sa dimension méditerranéenne.

appels n'ont pas été relayés par les partis politiques ou les syndicats, mais bien par différentes organisations de défense des droits humains. Le mouvement des jeunes du 20 février est lancé. La peur a changé de camp depuis la révolution de Sidi Bouzid. Comme si ils n’avaient rien compris, à Rabat, des semaines et mois passés. Moncef Belkhayat les avait dénoncés comme étant « les ennemis de notre nation qui veulent organiser une marche le 20 février ». Tant d’aveuglement, tant de surdité ! Comment

série de manifestations populaires dans plusieurs pays arabes pour plus de liberté, de démocratie et pour plus de travail. Ces manifestations ont débutés en Tunisie ou un vendeur de légumes s’est immolé par le feu devant le siège du gouvernement de Sidi Bouzid puis les manifestations ont pris de l’ampleur. Les pays concernés touchent l’Afrique de Nord c’est-à-dire la Tunisie, l’Egypte, le Maroc, la Lybie et l’Algérie. Suite à l’événement déclencheur en 2010 en Tunisie, qui a suivit le départ du président

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résultat est que la fuite de Ben Ali a eu l'effet du mur de Berlin sur les peuples du monde arabe. Psychologiquement en tout cas, puisque dans de nombreux pays (Algérie, Jordanie, Egypte, Yémen), on a enregistré des immolations désespérées comme à Sidi Bouzid, des manifestations contre le pouvoir en place, la censure d'Internet pour empêcher les réseaux sociaux d'y jouer le rôle de vecteur du ferment révolutionnaire qu'on a vu en Tunisie.

Mais chaque pays, chaque régime, gère la situation à sa manière

constituent le début des transitions démocratiques dans ces pays (Tunisie et Égypte). Développement : Le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi, marchand ambulant âgé de 26 ans, s’immolait par le feu devant un bâtiment administratif de Sidi Bouzid, en Tunisie. C'était le premier événement d'une série de manifestations, puis de révolutions qui ont amené à la chute du régime en Tunisie et en Egypte, à une situation de guerre civile en Libye, et à des remises en causes des gouvernements en place

de l’Etat, a conduit en 2011 à un soulèvement populaire contre le régime en place, parti du gouvernorat de Sidi Bouzid dans la région centre de la Tunisie. Ce soulèvement vient suite à des actes isolés nombreux et éparpillés sur la totalité du territoire tunisien. La révolte en 2008 du bassin minier dans la région du Gafsa en était la plus marquante1. La révolution est partie de Sidi Bouzid le 14 Janvier 2011, portée par des jeunes qui ont manifesté leur mécontentement vis-à-vis des conditions sociales