Signifiant

Bonnefoy : vers trad, prose, vers libre, verset, rime ou pas. => Définit° poésie devenue difficile début XX° : verset, calligrammes, audace typographiques, collages. Désormais poésie ≠ vers. Enjeux poétiques à redéfinir. 3. Signifiant/signifié • Poètes du signifiant : jeu sur acoustique/graphique (mvmt dada). « Poème à crier et à danser » de Birot, 1924. • OuLiPo : réalisat° fondées sur hasard ou chiffrage du txt => le sens peut ne pas préexister au poème, mais être entraîné par lui. «Ce

distinction du signe et du symbole et la critique de l'ineffable > dans le signe, la matérialité du signifiant (= mot dans sa matérialité) s'efface au profit de la transparence du signifié (= le sens conceptuel des signifiants) > le rapport arbitraire entre signifiant et signifié n'est pas un obstacle => à partir du moment ou on connait la langue, on passe automatiquement du signifiant au signifié > distinction du signe et du symbole => le symbole va mobiliser une culture >

notion de signe. Il va importer le raisonnement qu’il a eu sur le signe, sur le texte. On a raisonné sur le signe et on importe ce raisonnement sur le texte. Le sens du mot est conditionné, la compréhension du texte est conditionnée. Si un signifiant est concret normalement on va tous comprendre la même chose, et les scientifiques ont amenés cette idée là du texte donc y’a qu’une interprétation. Synthèse de ce morceau de texte : La notion de texte renvoi à un objet matériel avec une notion

laquelle ils sont destinés ; son signifiant est le filet entrouvert qui laisse s'épandre les provisions sur la table, comme « au déballé ». Pour lire ce premier signe, il suffit d'un savoir en quelque sorte implanté dans les usages d'une civilisation très large, où « faire soi-même son marché » s'oppose à l'approvisionnement expéditif (conserves, frigidaires) d'une civilisation plus « mécanique ». Un second signe est à peu près aussi évident ; son signifiant est la réunion de la tomate, du poivron

Le signe linguistique (mot) – association d’un signifiant et d’un signifié • Le signifiant est le « véhicule » doté de certaines caractéristiques physiques [wazo] • Le signifié est le « message » porté par le signifiant – mais le mot a également pour fonction de représenter une « chose » = référent • Ici le « concept » d’oiseau • Ces 3 éléments constituent le triangle sémiotique etc… Le triangle sémiotique signifié signifiant référent (ou denotatum) Le triangle sémiotique

kkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkslksdlk urizurieh ezriureiu djfjfe egegeLa première des fonctions du symbole est la « fonction sémiotique » : il signifie quelque chose, il désigne, comme tout signe. Le symbole est une représentation porteuse de sens. C'est un système signifiant relevant de la connotation Par exemple, le carré peut désigner le nombre quatre. Une deuxième fonction du symbole est la « fonction révélatrice ». Le symbole apparaît ainsi comme la réalité visible (accessible aux cinq sens) qui invite à découvrir

du v13 qui passe d’« hivernal » (1859) à « automnal » (1861). Ce choix tardif assure la présence du phonème /t/ et celle, graphique de la consonne /m/ non prononcée, en plus de /n/ dans un signifiant qui reprend et transforme le titre : le « so(nnet d’)automn(e) » devient « so(leil) automn(al) ». Le signifiant du titre est également pris dans une co-textualité relevée par la plupart des commentateurs : « Chant d’automne » [56] associe explicitement à la rime les vocables « automne » (v14) et « monotone »

plus bizarre assurément que ces prêtres nommés Augures (du latin ex avium garritu signifiant du chant des oiseaux), qui tiraient des prophéties du chant des oiseaux ou de la manière dont se nourrissaient les poulets sacrés. Un bâton recourbé était le signe de leur dignité. Ils formaient une classe spéciale parmi les prêtres chargés des présages ; à côté d'eux se trouvaient les aruspices (du latin ara inspicio signifiant j'observe les autels), plus particulièrement chargés d'inspecter le mouvement des

significatif, il n’en a pas été pour autant mieux connu ») Lévi-Strauss en déduira qu’il existe une opposition dans l’esprit humain entre le symbolisme et la connaissance. Dans la troisième partie l’auteur nous définit cette opposition en nous parlant du signifiant et du signifié. Enfin, dans la dernière partie, qui joue le rôle de conclusion, Lévi-Strauss nous parle du progrès de l’esprit humain, qui se développe essentiellement dans le cadre des sciences. Partie explicative : I- Lévi-Strauss commence

diffère du symbole. Il est composé de deux parties complémentaires et indissociables. Le signifiant et le signifié. Le signifiant : l’image acoustique c'est-à-dire le son, la forme verbale d’un concept. Le signifié : le concept qu’exprime le signifiant. Les deux composent le signe linguistique. Il n’y pas de rapport naturel entre signifiant (ensemble sonore) et signifié il n’est pas certain que le signifiant comporte une relation intrinsèque avec le signifié. Dans le symbole cette liaison entre la