Signification Meursault

composée d’un roman, d’un essai (Le Mythe de Sisyphe) et d’une pièce de théâtre (Caligula). Dans la première partie, Meursault représente l’homme absurde. Pour lui, l’existence n’a pas de sens, la fatalité se dresse devant nous. Toutefois, ce constat ne le rend pas pessimiste, il reste positif, il accepte les choses telles qu’elles sont et ne ment pas. Dans la seconde partie du roman, Meursault devient l’homme révolté contre l’injustice, contre une mort qui arrive trop vite et en même temps il se réconcilie

à accusé Meursault d'avoir prémédité son acte après avoir moralement tué sa mère. Le procureur a assimilé son crime à un parricide jugé le lendemain. C'est au tour de l' avocat de commencer sa plaidoirie. Meursault écoute en spectateur le portrait brossé de lui. En quoi la distance ironique du narrateur fait elle apparaître l'absurdité du cérémonial et transforme-t'-elle son conte rendu en parodie de chronique judiciaire ? I. Meursault spectateur A/ La perception de Meursault est inappropriée

"existentielles" d'une époque et l'ambiguïté intrinsèque de la fonction dont l'auteur le voulait porteur. "Homme sans qualités" (le roman de Robert Musil étant publié à la même époque) ou relecture moderne du "bon sauvage" de Rousseau, la naïveté de Meursault rend en définitive relativement ambigüe tout interprétation du personnage. Souvent considéré par les critiques comme un "attardé mental", un "primitif", ou au contraire un prévoyant, un héros, un "martyr de la vérité", ce "seul Christ que nous

(1913-1960) L’Etranger (1942) Questions d’observation : 1. Dégagez les métaphores et les métonymies qui dans le texte évoquent le “couteau” 2. Quels éléments du texte annoncent la phrase : “J’ai secoué la sueur et le soleil” ? 3. Analysez la signification des trois formes verbales dans “Alors, j’ai tiré... y parût” (lignes 20-22) [ Autres questions possibles : Etudiez le rythme des phrases / Montrez la forte présence des sensations dans cet extrait./ Relevez et étudiez le champ lexical de la

L’Étranger raconte l’histoire de Meursault, un français d’Alger d’un milieu plutôt populaire, depuis l’annonce du décès de sa mère à sa condamnation à mort : en effet, au cœur du récit, divisant le livre en deux parties, Meursault commet un meurtre, presque sans raison, poussé par les circonstances, sur une plage. Présentation de l’extrait  : L’extrait étudié est le célèbre incipit du roman. C’est un récit à la première personne, dont Meursault est le narrateur. Camus y présente

sens de leur existence ; Ici l’auteur utilise l’absurde car selon lui, il n’y a aucun sens a la vie, aucunes signification… Il l’utilise à travers afin de se définir en tant qu’étranger car celui-ci trouve en lui son étrangeté. 3. Résumé rapidement le roman.L’étranger est une œuvre écrite par Albert Camus, celle-ci publiée en 1942. Cette œuvre met en avant Meursault, qui est un homme vivant à Alger et étant narrateur de l’histoire. Cet homme étant mit à part de la société

« trompe » Raymond, il s’aperçoit de la supercherie, il la frappe et la chasse, mais ne trouvant pas la punition appropriée à la faute, Raymond imagine un plan et demande de l’aide à Meursault (le personnage principal) pour le mettre en place, il lui demande d’écrire une lettre destinée à faire revenir sa maîtresse, Meursault accepte, celle-ci revient vers Raymond comme prévu, il la frappe de nouveau, mais même si Raymond échappe à la justice, le frère de cette femme veut la venger, lui et ses compagnon

III. Analyse de L’étranger A TERMINER Résumé ; titre (cfr extrait du Mythe de Sisyphe sur l’étrange, texte de Camus sur son Etranger) ; analyse du personnage de Meursault et de l’absurde (à partir de l’extrait du meurtre, de l’enterrement) ; comparaison incipit / fin ; gestion du temps (journal + mémoires) ; thèmes du travail de groupe (soleil, mer, mère / femme, justice, communication difficile, mort / peine de mort) ; question écrite. - Commencer par la séance par demander un résumé du texte ;

L’étranger, c’est Meursault, présent à chaque ligne du roman dont il prend en charge la narration mais étonnamment absent à tout ce qui l’entoure, indifférent au monde. De cette distance par rapport aux êtres et aux choses (hormis le monde naturel/Meursault sensible) naît le caractère étrange du héros, déstabilisateur pour le lecteur (voir 1ère partie, incipit, passage de la morgue, journée du dimanche, passage sur le mariage avec Marie…). Meursault est d’abord étranger au jeu

Dans cette analyse, nous verrons d’abord en quoi Meursault apparaît comme un corps totalement dominé par ses sensations physiques (I), avant de nous demander s’il n’est pas tout entier dominé par une destinée tragique (II). Enfin, nous étudierons sa dimension d’anti­héros en nous interrogeant sur sa prise de conscience (III). I – Un personnage dominé par ses sensations physiques A – Le rôle du soleil Le soleil, qui apparaît dès la première phrase, est sans nul doute le troisième acteur de