Silence Et Lumiére

L’Apprenti devra s’appuyer sur l’imagination et la raison dans l’accomplissement de son travail. La position entre les colonnes montre la voie du milieu sur le pavé mosaïque qui mène jusqu’à l’autel des serments où se trouve les Trois Grandes Lumières. Cette marche rappelle par les trois pas, l’âge de l’apprenti de trois ans, les trois grands piliers nommés la Force, la Sagesse et la Beauté qui soutiennent la loge, les 3 premiers signes zodiacaux de l’année maçonnique (Bélier, Taureau, Gémeaux)

poétique du blanc A. « Le grand silence du blanc » Aimantés vers un horizon d’absence et d’indistinction, les personnages trouvent leur reflet aux abords des pages, dominées par le champ lexical de la blancheur. On assiste à une propagation de la blancheur, propre et figurée. Cet avènement du blanc répond à cette nouvelle forme d’écriture « blanche » et « neutre » qu’évoque Roland Barthes dans Le degré zéro de l’écriture. S’exprimant sur l’écriture du silence de Stéphane Mallarmé, Roland Barthes

transporte le lecteur en plein merveilleux et envoie à une réflexion sur la tension entre le silence et la parole qui assure le déroulement narratif des Mille et Une nuits. Une nuit de pleine lune, trois pèlerins, tous habillés en blanc, montent dans le taxi, désireux d’arriver plus tôt chez eux, à Marrakech. Voyageurs étranges, pense le chauffeur, puisqu’ils ne veulent pas parler mais garder un silence absolu et embarrassant. Arrivés à destination, le chauffeur constate qu’à la place des voyageurs

est impuissante face à une transcendance, son obligation morale d’innocenter Hippolyte, donne l’aspect tragique à cette scène : « Non, Thésée, il faut rompre un injuste silence:/ Il faut à votre fils rendre son innocence./ Il n’était point coupable. » (v. 1617-1619). Comme « silence » rime avec « innonence », cela montre que le silence d’Hippolyte l’héroïse et l’innocente car il ne dénonce pas Phèdre et se laisse faire exilé. Phèdre déclare la vérité lamentable sans ménagements, ce qui montre son héroïsme

n’a rien de noble, il est associé à quelque chose de laid et de sale : « Pierre rayonnait, sa grosse face pâle suait le triomphe ». Le verbe rayonner évoque normalement une belle lumière, une chaleur agréable, un visage qui rayonne est un visage embelli par quelque chose de chose de positif et de bon. Ici, ni douce lumière ou chaleur solaire, sa figure est « pâle » et suintante. La figure de Pierre est à l’opposé d’une beauté noble, son bas triomphe l’enlaidi. Rougon tient ici plus de l’animal qui

Montesquieu, philosophe des Lumières publie le roman épistolaire Les Lettres persanes en 1721. Poussés par l’envie de savoir, deux Persans, Usbek et Rica, se rendent à Paris où ils vont séjourner 8 ans. Ils transmettent à leurs amis persans les réflexions que leur inspirent les mœurs occidentales et reçoivent en retour des nouvelles d’Orient. Le roman confronte ainsi le monde oriental et le monde occidental à travers le regard « naïf » de deux étrangers. Dans la lettre 97, Usbek écrit à Hassein

La pandémie mondiale que le monde vient de connaitre avec la COVID-19 a transformé et modifié les équilibres du quotidien. De plus, elle a révélé certaines inégalités sociales qui étaient jusque là occultées. Dans son roman Après le silence , Didier Castino aborde entre autre le sujet de la difficulté pour un fils d’appartenir à une autre classe sociale que celle de son défunt père. Pour narrer ses écrits, l’auteur a fait un choix audacieux avec une double narration qui témoigne

apparaît en cet endroit « verte » (l. 37), en contraste avec « les blancheurs du ciel » (l. 38), et sa surface « ne miroit[e] pas » (l. 39), ce qui nous permet de « distinguer par transparence » (l. 40) les morues. Le champ lexical des coloris et de la lumière est à nouveau amplement exploité ; c’est le cas également par la suite lors de la description à la fois poétique et technique des poissons « faisant un effet de hachures grises » (l. 44) et dont on voit parfois le « brillant de leur ventre argenté

Note de traitement Moyens techniques employés: On a pris la décision d'utiliser la lumière naturelle et une caméra de petites performances pour pouvoir se rapprocher le plus possible du réel. Partis pris cinématographiques: Les pieds nous relient au sol, ils nous permettent de rester en contact avec la Terre, d'être relié au monde et à l'Univers. C'est lui qui nous permet d'avancer, de faire vivre nos désirs, de marcher à la découverte. Que l'on soit marcheur sublime ou simple citadin

l’équilibre du monde - «détruit l’équilibre du jour» «silence exceptionnel», «tout a vacillé» «Une plage ou j’avais été heureux» moment révolu de cette époque heureuse, emploi du plus-que-parfait. - Ouverture d’une nouvelle époque ou règne le malheur « Et c’était comme 4 coups bref que je frappais sur la porte du malheur» Théatralisation de la fin de la 1ère partie. II. Un monde hostile 1. Le rôle de la lumière et du soleil - Lumière omniprésente, le mot soleil 7 fois, il trouble la vision