Silence

Lecture d’une BD : « En silence » de Audrey Spiry Résumé : « En silence » : c’est l’histoire d’un groupe d’amis qui part en excursion dans un grand canyon. Guidés par Yann, ils vont parcourir les rivières glacées qui y jettent. Il y a d’abord Gilles, Erika et leurs deux filles Margot et Léna. Ensuite il y a Juliette et Louis qui sont un jeune couple : au cours de l’histoire on verra que Juliette en a assez de Louis … Léna adore les descentes et les sauts dans les chutes, elle sent les cailloux

d’informer son vendeur de la qualité essentielle de la chose vendue ni de sa destination prévue. De plus, M. Y n’était pas non plus tenu de révéler qui il était, ni pour qui il se substituait. A cela, la Cour de Cassation répond cependant que le silence gardé par M. Y quant à son identité et la richesse de la composition du sol constituait une réticence dolosive d’autant plus que M. Y aurait menti, la parcelle censée être destinée à l’habitation et le surplus à l’usage agricole, servirait en réalité

aucune cordialité. Le Professeur est en effet très peu enclin au dialogue : brusque et autoritaire, il multiplie les ordres et les défenses, et son mode favori est l’impératif. Il refuse de donner la parole à l’Élève et la réduit impérieusement au silence : « Taisez-vous », « ne m’interrompez pas ». En dehors des relations pédagogiques, sur le simple plan humain, il est totalement insensible à la douleur de la jeune fille, et même méchant : aux plaintes de l’Élève, il répond sèchement : « Ça n’a pas

: " ce héros " = Thésée (coureurs de jupons, séducteur cf. v20-21). Celui qui purifie la terre du mal (tue les monstres) V28 :Hipp. : " je fuirais " Pq ? (cf. v33 : " vous en chasse ") cause : Phèdre V45 :Théra. : " elle s'obstine à taire " le silence est un thème principal (carré) V49-50 :Hipp : insistance sur fuir et "avouerai" V51 :Hipp. : allusion à la querelle politique V56 :Hipp. : Hippolyte fait une litote (faire comprendre ce qu'on veut dire en disant le contraire). Il avoue la vraie

se taire ou parler?) Scène 3:Antiochus, Arsace (Arsace revient et essaie de le convaincre de rester. Antiochus voudrait lui expliquer ses sentiments.) Scéne 4:Bérénice, Antiochus, Phénice (Bérénice arrive, radieuse et rassurée. Malgré son long silence après la mort de son père, Titus l’aime toujours et doit l’épouser. Antiochus lui fait ses adieux mais finit par lui avouer les vraies raisons de son départ. Choquée dans sa gloire et déçue dans son amitié, elle le laisse partir, désespéré.) Scène

temps nous allons approfondir le fait que l’écriture nous sert à apprendre à parler avec les autres. Dans un deuxième temps nous allons approcher le fait que l’écriture permet aussi à nous connaître nous même et enfin que l’écriture est comme un silence afin d’écouter les autres et les connaitrent. L’écriture à de nombreuses utilisations, l’une des plus importantes est de nous apprendre à parler avec les autres. Pourquoi écrire ? De puis des siècles les écrivains se posent cette

FRANCAISE Citations / bons mots / humour Cantique à Elsa Buissons quotidiens à quoi nous nous griffâmes La vie aura passé comme un air entêtant Jamais rassasié de ces yeux qui m’affament Mon ciel, mon désespoir, ma femme Treize ans, j’aurai guetté ton silence chantant Comme le coquillage enregistre la mer Grisant mon coeur treize ans, treize hivers, treize étés J’aurai tremblé treize ans sur le seuil des chimères Treize ans d’une peur douce-amère Et treize ans conjuré des périls inventés. Ö mon enfant

premier jour de mon stage en cardiologie, au début en rentrant dans la chambre je ne m’étais pas rendu compte de qui se produisait, c’est l’ambiance que dégager cette pièce et les personnes présentent qui mon fait comprendre ce qui se passer. Un silence prononcer et deux soignants, chacune d’un coter du lit et tenant chacune l’une des mains du patient respectueusement en prononçant c’est quelques mots « détendez-vous, laissez-vous aller, ne vous inquiétez pas ». Je n’arrivais pas à comprendre ce

des Dieux et du destin - champ lexical de la justice : « injuste ou légitime » v. 1598, « criminel » v. 1600, « accusez » v. 1600, « mon injustice » v. 1609, « injuste silence » v. 1617, « innocence » v. 1618, → champ lexical dominant dans le discours des deux personnages. Il désigne H. lequel a subis l’injustice du fait du silence de Phèdre et de la colère de son père : double culpabilité. - Ironie tragique : le père a tué son fils innocent sur les dires d’une coupable. notée par une oxymore

tableau représente les pleurs et les regrets de Sainte-Colombe pour sa femme. C'est son souvenir qui lui revient, et il revient comme un souvenir, par bribes : une apparence d'abord (au chapitre VI elle apparaît comme un spectre, « très pâle » et « en silence »), puis une voix surgit, revient (lors de sa quatrième visite), Sainte-Colombe « frémit » en entendant sa voix. Le texte nous dit : « parce qu'il avait reconnu sa voix ». Le verbe « reconnaître » est fondamental ici par son préfixe : il s'agit d'une