Silène

plutôt le corps de Socrate. Socrate dit qu’Alcibiade est aveugle et se trompe quant à ce qu’il désire vraiment. Alcibiade étant un des jeunes hommes les plus désirables d’Athènes, il ne peut désirer Socrate qu’il compare d’ailleurs aux statues des Silènes –monstrueuses en apparence mais désirables-. Chaque individu est habité par une pulsion « un daemon » mais cette pulsion ne se laisse pas éclairer sur la nature de ce qui est recherché, désiré. On peut contrôler ses désirs en les rendant positifs

garder des traces de ce modèle en persécutant Gargantua. Holoferne meurt de la vérole (maladie sexuelle) coté lubrique et il taquine la bouteille de bon matin. Son successeur se nomme Jobelin Bridé. Jobelin= Le niais, le sot. Bridé= Figure des silènes, oison bridé. Oison bridé= Il serait téméraire de faire confiance à un oison pour son envol culturel, on n’ira pas très haut ni très loin. II- Un personnage ridiculisé à travers son enseignement A) Le contenu On a l’impression qu’il

chevreau qu'elle sèvre, Escalader la roche et brouter les bourgeons. Ma flûte, faite avec sept tiges de ciguë Inégales que joint un peu de cire, aiguë Ou grave, pleure, chante ou gémit à mon gré. Viens. Nous t'enseignerons l'art divin du Silène, Et tes soupirs d'amour, de ce tuyau sacré, S'envoleront parmi l'harmonieuse haleine. Le grand violon Mon violon est un grand violon-girafe ; j'en joue à l'escalade, bondissant dans ses râles, au galop sur ses cordes sensibles et

Buveurs très illustres, et vous vérolés très précieux » qu’il veut guérir par le rire. Seulement, toujours avoir recours à la réflexion : « il faut ouvrir le livre et soigneusement peser ce qui y est raconté » . Il fait un rapprochement avec les silènes (boittes contenant des médicaments, choses précieuses) : « la drogue qu’il contient est de bien autre valeur que ne le promettait la boite », boite qui n’advient pas toujours de beauté. Il fait la même comparaison avec Socrate qui n’était pas jugé

globale et donc de sa solennité. L'emploi de la polysyndète (multiplication des « et ») transforme la scène en un assemblage de détails pittoresques, surprenants voire ridicules (le bonnet d'âne). La périphrase ainsi que l'évocation des prouesses de Silène donnent une dimension mythologique à un simple détail vestimentaire. L'héroï-comique, en jouant sur le décalage provoque le rire mais présente aussi une visée critique. La description met en présence « deux sages », deux honnêtes hommes. Ambiguïté

l’os et sugcer la sustantificque mouelle » (prologue p.42) 3. Quel est le ton employé dans ces deux textes préliminaires ? (1 pt) Justifiez votre réponse : ces deux textes adoptent un ton comique par les comparaisons nombreuses comme celle des silènes ou celle des chiens, ou l’apostrophe initiale du prologue ; en effet, le but premier de Rabelais est de nous faire rire, car, « Mieulx est de ris que de larmes escripre. / Pource que rire est le propre de l’homme. » (« Aux lecteurs » p.36). Cependant

Après avoir vu deux mythes anciens différents sur la Genèse, à ton tour d’en écrire un. Pour se faire, invente ou choisis 2 noms dans la liste afin de créer tes propres dieux. Donne-leur des caractéristiques spécifiques et raconte leur histoire. Silene Momus Damoter Parfumus Ordinatos Livra Autos Claudius Rufos Dana Situe ton histoire dans le temps : le mythe ancien se déroule dans le passé. Utilise donc les temps adéquats. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………….. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………

façon pathétique lignes 13 et 14. Des juges ridicules:Image du chapeau que portent les juges ridicule, qui est au service de la critique des excès de la justice religieuse, ainsi que leur intolérance. l.39-41 : comparaison avec l'âne et Silène pas du tout valorisante pour les juges : ça souligne leur ridicule dc leur peu de crédibilité pour bien accomplir leur tâche Des dévotes caricaturales:l.53-53 : réaction excessive des dévotes qui soulignent leur bêtise et la critique qu'en fait

l’apologue qui permet de réfléchir grâce à une forme plaisante et de faire passer des idées par des procédés joyeux. a) Le comique bas : présence importante de références grotesques voire paillardes qui égaient le récit, qui sont en lien avec les Silènes du prologue de l’œuvre Exemple : épisode du chapitre 17 où Gargantua prend les cloches de Notre-Dame et « compissa si violemment » les parisiens. b) Le comique portée à son exagération qui fait douter de la seule portée comique de l’œuvre : nombreuses

rapport aux autres personnages augmente, et il est de plus en plus entouré de divinités aussi bien indiennes, que partho-mésopotamiennes, ou grecques: Indra dieu de la foudre, Brahma, dieu créateur, Nanaia, Athéna, déesse de la sagesse, Harpocrate, Silène. Le choix de ces divinités n'est pas très difficile à expliquer. La foudre d'Indra dans le ciel symbolise l'Illumination de la conscience. Par ailleurs, Indra est le roi des dieux et sa monture est l'éléphant blanc, lui-même associé au Bouddha