Simple Plan

de la misère. L’extrait à analyser : Le “héros” Dans ce film, le héros n’est pas un ‘super-héros”, mais un simple ouvrier portant des vêtements abîmés et tâchés. La structure de l’extrait (plan par plan) : Les Temps Modernes débute avec l’arrivée des ouvriers à l’usine. L’extrait à analyser est le suivant : il s’ouvre avec un gros plan sur la porte du directeur de l’usine. Le plan fixe suivant montre ce directeur assis à son bureau, en train de “jouer” à un puzzle, puis n’arrivant pas à placer

pas été pour rien dans ma défiance initiale en ce qui concerne “Le garçon en pyjama rayé”. D’autant qu’elle avait été, il n’y a pas si longtemps par l’inconvenant “La vie est belle” de À l'instar de Roberto Benigni. Pour raviver les mémoire et faire simple ce célèbre papier méprise celui qui tentait de faire de la belle image d’un camp de concentration ou d’un déporté et particulier sur la mort de l’un d’eux comme Pontecorvo avec un travelling qui fit couler beaucoup d’encre... J’ajouterais qu’un film

à la réflexion qu'il suppose autour des questions déjà citées (initiation, passage d'un âge à un autre, d'un lieu à un autre, retrouvailles avec des traditions oubliées). Le recours à des stylistiques variées Le film paraît au premier abord assez simple, en tout cas facilement accessible. Ainsi le personnage de Monsieur Traoré a quelque chose d'un bravache de comédie, transformé en héros à scooter par des gamins naïfs. Les parents, dans leur humanité et leur complexité viennent vite contredire

informateurs. Dans les premiers plans de l'extrait des sous titres apparaissent, l'action se déroule à Berlin dans les locaux de la Stasi en Novembre 1984. On voit de dos deux personnes marcher un officier et un prisonnier dans un long couloir (plan taille des personnages, la caméra est en travelling avant) ce couloir par sa longueur et la situation qui se joue semble être comme le couloir de la mort. Des lumière rouge le long du mur s'allument, un sonnerie stridente retentit. L'officier donne

de trois extrusions simples successives dans le même plan et centré sur le même axe, nous avons réalisé un plot et une flèche. 6 Nous avons ensuite utilisé une révolution par extension symétrique pour obtenir la première ébauche d’une des deux poignées. Ensuite, via deux poches successives (une pour enlever la matière au centre et l’autre pour obtenir l’inclinaison des cotés) nous avons réalisé la forme souhaitée pour la poignée. 7 Nous avons ensuite crée un plan vertical décalé de

du chemin de course.) La filiation avec les vues des frères Lumière ne paraît pas incongrue tant le film démontre tous les rouages de la machine cinématographique. La dramaturgie du fait enregistré existe déjà dans les nombreuses variations que le plan offre à voir : la scène est posée, il s’agit d’une vue d’ensemble sur une course de voitures d’enfants, le regard balaie la profondeur de champ brisée par la brusque entrée du gêneur. Il s’approche de l’objectif, son but. Immédiatement, deux évidences

présentée en ordre « antéchronologique ». Au début du film, Marcus et Pierre sont dans une boîte de nuit, le Rectum, et Pierre frappe mortellement un homme au visage avec un extincteur. Chaque longue séquence (toujours constituée d'un seul plan, ou plan-séquence) qui suit raconte ce qui s'est passé précédemment. Le film se termine sur le début de l'histoire. Une œuvre sensationnelle. Le temps détruit tout. C’est avec cette réplique que débute le film, et avec elle qu’il se termine. L’œuvre

succession de scènes dialoguées qui seront filmées Etape 3 Modèles. Les personnages sont définis en dessin, face, profil, dos, trois-quarts, expressions principales, bouches qui parlent.  Scénarimage ou storyboard. C’est le film en bande dessinée, plan par plan. C’est un élément primordial du cinéma d’animation. Sans lui, personne ne saurait que faire.   Enregistrement des voix. Il se passe de préférence avant l’animation. L’enregistrement est ensuite « détecté » pour donner aux animateurs une partition

Gabrielle Fontan, Jean Renoir, Marguerite Renoir, Alain Renoir, Jacques Becker, Georges Babille, Pierre Lestringuez Durée 40 minutes Le film a été commencé durant l’été 1936 et il a été terminé en 1946. Le tournage a mis 10 ans, puisque il ne fut pas simple en raison de difficultés du montage financier, des mésententes au sein de l’équipe et de la météorologie très défavorable entraînant l'interruption du tournage. ETAPE 3. 1) Jean Renoir a passé le passage « l’écoulement de l’eau » sous le silence

la chevelure claire. Puis vient le portait en gros plan d’une femme âgée d’une trentaine d’année. Pour faire écho à la quatrième la cinquième est la même vision mais d’une autre fillette brune cette fois-ci. Après, il vient se greffer l’arrêt d’image du plan de travail où se trouve deux étages de pellicules déroulées. Ce plan est en effet le groupement de toutes les photos précédentes qui se trouvent dans ces pellicules. Ainsi, le huitième plan montre des photos (comme la quatrième) mais cette fois-ci