Simple Soldat Analyse

au repos (sans date) Attente de la Liberté DESCRIPTION -Format portrait -Plongée -Jeune homme à même le sol, adossé contre un mur de pierre. -Soldat des Forces Françaises de l’Intérieur. -Jambes tendues -Main repliée -Uniforme de soldat et une ceinture de balle en bandoulière -Visage assez dur, il est pensif. -Il attend le combat, la liberté. ANALYSE -Structure bancale du mur (croulant, sacs de sables s’effondrant) côté instable de la guerre, incertitude de la victoire/liberté -Lassé des combats 

1 à 4), l’auteur relate l’assaut des soldats et l’action de résistance des villageois (vers 5 à 26). Son récit s’achève par un constat (vers 27). RENE CHAR – FEUILLETS D’HYPNOS – 1943 FRAGMENT 128 1ier mouvement La première strophe est consacrée à l’installation du récit. Première analyse Le moment 1) Le poème comporte des caractéristiques du récit dès cette première strophe comme le montre la présence des temps du récit, l’imparfait et le passé simple. 2) La précision sur le cadre spatial

rurale sans pour autant accéder à la culture de l’élite. Le développement de l’instruction, de la presse et de la publicité donne peu à peu naissance à une culture de remplacement qui n’est plus une culture de création ou de transmissions, mais de simple consommation. Dès la fin du XIXème siècle, apparaît une véritable culture de masse : le développement des moyens de communication et de nouveaux progrès techniques favorise l’émergence d’une culture destinée aux masses populaires urbaines. Celles-ci

x 102 cm pour les panneaux latéraux et 60 cm x 204 cm pour la prédelle La Guerre est un triptyque réalisé entre 1929 et 1932 par le peintre allemand Otto Dix. Fortement marqué par la première guerre mondiale à laquelle il participe en tant que simple soldat, il fournit un grand nombre de dessins et peintures retraçant cette période traumatisante. Ce triptyque a été jugé comme « art dégénéré » par le régime nazi depuis peu au pouvoir (1933). La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour

20eme siècle. Cet artiste est connu comme caricaturiste dans plusieurs journaux (L’Assiette au beurre, La Baïonnette, Le Figaro). Il est parmi les seuls affichistes français qui, à l’exemple des Anglo-Saxons, utilisent des moyens iconographiques simples sans recours à la représentation académique des formes ou au langage allégorique. Historique: Affiche de 1915, faite par A. Faivre, commandée par l’Etat français et qui s’adresse à la population. A cette date, la France est engagée dans la

l’état du soldat. Ici, le val devient le trou où on enterre le soldat mort et les haillons que forment les herbes dans l’eau sont le reflet de ses habits et de ses chairs qui se décomposent dans cette mort. La seconde strophe nous présente un soldat qui semble dormir dans cette nature encore une fois remplie de vie. Remarquez ici le rejet du mot « Dort » dans ce contexte. Quel est le message qu’il faut comprendre? Qu’en fait, dormir n’est pas le terme approprié pour décrire l’état du soldat? Est-ce

Très de Mayo de Goya. 3-Analyse de l’œuvre Sur « Massacre en Corée » j’aperçois un paysage détruit par la guerre, les ruines dans le fond du paysage qui donnent une impression de désolation et font un rappel aux bombardements aériens américains durant la guerre de Corée. Le thème du fleuve rappelle a la frontière qui sépare les deux Corée, mai aussi la séparation entre les civils (innocents) et les soldats américains (bourreaux). On peut apercevoir un groupe de soldat représente la force militaire

militaristes, les prostituées et les mendiants. Les physionomies apparaissent simplistes et caricaturales alors que les objets sont précisément détaillés. Les angles droits rythment l’espace et enferment les personnages. Analyse de l’œuvre Sur le panneau de gauche, on peut voir des soldats armés portant un sac à dos. Ils tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité. La composition de ce panneau est assez ordonnée : les lignes

découlait. Ainsi, on parlera de meurtre parce que, semble-t-il, la loi fait interdiction de donner la mort. - Commettre un meurtre, c'est en quelque sorte violer la loi qui en fait interdiction. - On ne dira pas de meurtre pour qualifier l'acte d'un soldat qui accomplit son devoir en abattant un ennemi! De là à penser que la violence est subversive, qu'elle est toujours - à quelqu'égard - terroriste, il n'y a qu'un pas, que l'on peut être tenté de franchir, et que franchissent systématiquement les

siècles précédents comme Goya. Il util ise leurs compositions et leurs thèmes avec une technique pic turale qui lui est propre. Ici, il traite de manièr e presque géométrique les soldats et certains visages, dans u n style proche de celui qu’il utilisa dans ses tabl eaux cubistes du début du XXème siècle. ANALYSE L’œuvre *les civils (femmes et enfants innocents) sont nus et dessinés avec des formes rondes. On observe des victimes très inquiètes à l’avant, alors qu’à l’arrière elles sont