Smith Ricardo Comparaison

contrairement à Rousseau, sont reconnus par les autorités. Ca aboutit à la pensée libérale classique. C’est une logique par rapport à ce qu’on a dit. Elle est d’abord anglaise sous l’impulsion d’auteurs comme Adam SMITH, comme Jean-Baptiste SAY, comme Thomas Robert MALTHUS et comme David RICARDO. Malgré cette diversité d’auteurs, quelques grands principes demeurent. Ce qu’il y a de commun, ce sont trois choses qui sont les principes fondamentaux du libéralisme: - l’individualisme : pour tous les auteurs

L’échange est nécessaire car les pays ne peuvent pas produire l’ensemble des biens et des services dont ils ont besoin 1) Les théories classiques du commerce international : a) La théorie des avantages comparatifs : La théorie des avantages absolus A. Smith : Un pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels ses coûts de fabrication sont les plus faibles qu’à l’étranger et importer ceux pour lesquels ses coûts sont les plus élevés. Situation 1 : Coût unitaire en heure de travail

par ex: en cas de plus value, les agents auront tendance à diminuer leur épargne, et inversement, agents vont augmenter/ajuster leur épargne pour maintenir sa valeur, garder même niveau c) le taux d’intérêt Pour les néo-classiques (Smith, Ricardo, Friedman), le taux d’intérêt est déterminant (rapport entre consommation présente et consommation différée). C’est 1 facteur majeur pour les agents économiques (déterminant de la volonté d’épargne sur tel ou tel support ) En fait, tout

facteur travail incorporé dans la production correspond à la quantité de main-d’œuvre utilisée. Le volume (nombre d’heures de travail) peut être une approche simple de ce concept, à l’image des travaux d’économistes classiques comme A. SMITH ou D. RICARDO qui se sont intéressés à la notion de valeur à travers l’idée de travail incorporé dans une production. Pourtant l’absence d’homogénéité du travail rend ce facteur difficile à appréhender. Il est donc indispensable d’associer l’aspect quantitatif

et aux politiques au contraire des travaux antérieurs de l’époque, ils ont relié les classes sociales par des flux de matières et de monnaie. La valeur possède deux sens : La valeur d’usage (utilité) et la valeur d’échange. Le classique Adam Smith s’attache surtout à la valeur d’échange (il pose, mais ne résout pas le paradoxe de l’eau et du diamante). Pour lui, « C’est du travail d’autrui qu’il faut attendre la plus grande partie de toutes ces jouissances; ainsi, il sera riche ou pauvre, selon

multiplicateur dans les économies de sous-emploi. Rôle anticyclique et stabilisateur automatique. Théorème d’Haavelmo. Conception libérale Dogme de l’équilibre budgétaire et de la neutralité de l’État. Effet d’éviction et théorème d’équivalence de Ricardo-Barro. Inefficacité des politiques de relance par les dépenses publiques, (Friedman et, surtout Lucas) en raison des phénomènes d’anticipation. Nota bene : vous écrirez toujours en lettres majuscules les noms d’auteur. Ainsi, ils frapperont le regard

auteurs classiques sont : ⁃ Adam Smith (1723-1790) : Economiste Ecossais. Son approche est celle du libéralisme classique. La « main invisible » serait une métaphore par laquelle Smith signifierait que les marchés sont autorégulateurs et conduiraient à l'harmonie sociale. ⁃ David Ricardo (1772-1823) : Economiste Anglais. Il est considéré comme l'un des économistes les plus influents de l'école classique. Ricardo est un autodidacte de la pensée économique. Ricardo avance aussi la théorie de « l'avantage

revendre ailleurs. Cet enrichissement va lui permettre de financer un développement industriel qui va asseoir et pérenniser sa puissance et son avance économique. Ce n’est pas un hasard si les fondateurs du libéralisme économique seront anglais : Smith et Ricardo. L’intérêt de la GB pour la mise en place d’une organisation économique mondiale de type libéral est tout à fait évident, dès lors que sa propre économie occupe une position de suprématie. Elle va pouvoir articuler industrie performante et

et de la tripartite ellemême. Pour Firmin Oulès (1950, p 19), bien que Léon Walras ait forgé lui-même le terme « d’économie pure », le contenu de celle-ci lui est bien antérieur. Walras le reconnaîtra d’ailleurs lui-même : « Il y a des choses, dit Ricardo, le créateur de l’économie politique pure en Angleterre, dont la valeur ne dépend que de leur rareté. Nul travail ne pouvant en augmenter la quantité , leur valeur ne peut baisser par leur plus grande abondance ». (EEPP, 1874, [1988, p 609]). Pour

croyances ordinaires qui « consensualisent » des personnes autour de ce qu’elles ont à dire du monde social dans lequel elles vivent. -doctrines utilitaristes : sont la systématisation et la rationalisation de cet utilitarisme. -quelques auteurs : Smith, Bentham, Mill. -utilitarisme : socle de la réflexion moderne et une certaine image de l’homme. -l’homme : peut être dissocié d’une appartenance quelconque. Vu comme égoïste qui se définit dorénavant par son détachement. -conséquence : on s’éloigne