SNCF Mobilités

L’anorexie touche aujourd’hui des adolescents de plus en plus jeunes et principalement les filles. L'image que véhicule la société occidentale est responsable, en partie, de l'augmentation du nombre de cas d'anorexie depuis les années 90. En Frances 1% de la population adolescente en France seraient anorexiques , 2 500 nouveaux cas par an, tous âges confondus ! Elles sont sûrement encore plus nombreuses mais la plupart des adolescentes nient leur maladie et ne consultent aucun médecin malgré leur

pas autorisée. THÈME : La mobilité sociale 1 – TRAVAIL PRÉPARATOIRE (10 pts) Vous répondrez à chacune des questions en une dizaine de lignes maximum. Q1 – Exprimez la signification de chacune des données soulignées. (document 1) (1 point) Q2 – Montrez et expliquez le rôle joué par la mobilité structurelle. (document 1) (2 points) Q3 – Caractérisez la situation des fils d’ouvriers. (document 1) (1 point) Q4 – Par quels mécanismes l’école peut-elle favoriser la mobilité sociale ? (document 2) (2 points)

l’époque, que Villermé, médecin « au chevet du prolétariat », critique au nom de principes opposés : promotion sociale par l’instruction, formation générale de haut niveau permettant la mobilité et l’adaptation aux évolutions de l’industrie. Bien que la formulation des termes de l’opposition (immobilisme mobilité sociale ; formation courte spécialisée - formation générale théorique) ait évolué depuis l’époque de Villermé, les clivages politiques persistent. Les ambiguïtés de la dénonciation de l’échec

LES CLASSES SOCIALES DURANT LA BELLE EPOQUE On distingue trois classes sociales en France durant la Belle Epoque : -La classe Bourgeoise, C’est la plus élevée mais aussi la moins représentée en effet le nombre de bourgeois est très faible. On distingue à l’intérieur de cette même classe sociale la haute bourgeoisie (banquiers, industriels) et la moyenne bourgeoisie (avocats, médecins, notaires…). L’aristocratie diminue au profit de la bourgeoisie car la position sociale ne se définie plus par

précaires sont confrontés au chômage et à l’absence de mixité sociale, au sentiment d’enfermement et à l’isolement relationnel. Une perte de revenu, une stigmatisation et une perte de capital humain les enferme dans des trappes à inactivité et limite la mobilité sociale ascendante. Exposés à la précarité, à la paupérisation, dominés dans le monde du travail, culturellement et politiquement, un sentiment de disqualification sociale et une relation d’interdépendance avec le reste de la société les affectent

Dans quelle mesure l’origine sociale influence-t-elle la position sociale en France aujourd’hui ? Introduction : selon Tocqueville, une société démocratique est caractérisée par l’égalité des conditions, ce qui suppose une parfaite mobilité sociale. Or, la mobilité sociale en France semble quelque peu figée. On peut donc se demander dans quelle mesure l’origine sociale continue à influencer la position sociale d’une génération à une autre, favorisant la reproduction sociale. L’origine sociale d’un

l'enfant à modifier son statut social, c'est à dire l'ensemble des positions sociales qui lui ont été assignées par sa famille ? L'éducation scolaire est-elle toujours en opposition à la socialisation de la famille ? L'école peut-elle être un facteur de mobilité sociale ascendante ( accès des enfants à une position sociale supérieure à celle de leurs parents ) et peut-elle être un facteur d'émancipation pour les filles ou pour les milieux populaires ?        * Nous allons montrer que si l'école peut libérer

Une démocratie se doit d’être égalitaire. Elle doit faire bénéficier tous les citoyens des mêmes avantages. C’est en ce sens que inégalités sociales et démocratie sont inconciliables. Tout le monde doit avoir les mêmes chances de réussir. Mais la mobilité sociale est faible, à cause du conditionnement des individus par leur entourage. Les inégalités viennent aussi du fait que le chômage fragilise les moins qualifiés, nous pouvons donc affirmer qu’il faut réduire le chômage pour éviter ces inégalités

insertion future mais aujourd’hui il ne suffit plus pour accéder à un métier c’est ce que l’on appelle la rentabilité du diplôme. L’école devrait être un facteur d’ascension sociale mais l’origine sociale joue un grand rôle d’ailleurs on parle de mobilité sociale qui apparaît plus comme de l’immobilité sociale c'est-à-dire de la reproduction sociale. Pour finir, elles posent de nouvelle interrogation sur le rôle de l’école à savoir s’il y a dévaluation des diplômes. L’école joue un rôle in contestable

socioprofessionnelle telle qu'elle est appréhendée par l'INSEE rend compte des écarts de revenus moyens de manière très visible (questions préparatoires 1, 2 et 3 du sujet). Si on s'intéresse à la mobilité sociale, il apparaît également une forte tendance à la reproduction sociale, nuancée par une mobilité de proximité. Or ces constats sont vérifiés avec l'outil PCS par la comparaison dans le temps entre les positions socioprofessionnelles des fils et celles des pères. Si le constat des écarts et