SoHo

évolué : chacun d’entre eux, en particulier dans les grandes métropoles internationales (New York, Londres, Paris, Tokyo) a adopté une d’envergure disposition et une mise en rayons personnalisée. L’aménagement intérieur du mondiale. magasin amiral de Soho (New York) et de celui de Paris-Opéra a été confié au grand designer Katayama Masamichi, et rompent avec l’aspect épuré du début. L’entreprise nippone doit son organisation, son esprit et son style à son fondateur et PDG, Tadashi Yanai. Bref

plastiques ; le sida est par exemple, un des sujets qui le préoccupe le plus. Sa popularité s’accroît et Haring tente une nouvelle expérience : l’ouverture de magasin vendant ses produits dérivés (affiches, aimants, vêtements…). Il intitule cet espace le Pop SoHo et le considère comme un prolongement de son œuvre : il pensait que le commerce était la conséquence logique de l’art. Cela lui permettait aussi d’interagir d’autant plus avec son public. A la fin des années 80 il apprend qu’il est séropositif et sait

accessories. The product is found on torn wood painted bone off-white. All the antique furniture and counters are complemented with the big palette of pastel colors. The molding of the ceilings and the pipelines at sight show the spirit of the New-York Soho. Besides, they dyed wooden floors contrast with the “vintage red” color chosen as the emblem of the brand. The stores turned to be a fun place for kids and a nostalgic one for parents who remember objects from their childhood, represented in the search

Murakami. Koons Après le collège, a travaillé comme courtier en marchandises de Wall Street tout en s'imposant comme artiste. Il a gagné la reconnaissance dans les années 1980 et par la suite mis en place un atelier sous forme d'usine dans un loft de SoHo à l'angle de Houston et de Broadway à New York. Il a été doté de plus de 30 assistants, affectés chacun à un aspect différent de la production de son travail dans un mode similaire à la Factory d'Andy Warhol. Je vais vous lire un extrait d'un article

invité à participer à la Biennale de Paris. Sa notoriété internationale ne cesse dès lors de s'accroître. Il participe à de nombreuses expositions internationales et exécute de nombreuses commandes prestigieuses. Il ouvre en 1986, dans le quartier de Soho, son Pop Shop, boutique où se vendent des objets, vêtements, posters, etc. illustrés par lui, comme autant d'œuvres « au détail ». Cette démarche très controversée dans les milieux artistiques est néanmoins fortement appuyée par ses amis et son mentor

récurrents : squelettes et masques exprimant son obsession de la mort, éléments urbains tels que voitures, immeubles, jeux d’enfants, graffitis… De nombreuses toiles de l’artiste montrent son intérêt pour l’identité noire et haïtienne. Dans un hôtel de Soho, il vend une carte postale à Andy Warhol. Basquiat rencontre Rammellzee, un DJ graffitiste. Tous deux évoluent dans le monde de la culture Hip-hop, du rap, du graffiti et de la drogue. En décembre le journaliste Philip Faflick du The Village Voice

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sa carrière à New York, où il réside et travaille la moitié de son temps, en alternance avec sa vie à Nice jusqu'en 1967, puis à Vence jusqu'à sa mort. À New York, il séjourne d'abord à l'hôtel Chelsea jusqu'en 1970, puis dans un loft du quartier de SoHo et, à partir de 1985, dans son immeuble à TriBeCa, où il meurt en 2005. Toute sa vie, Arman fut aussi un collectionneur passionné d'objets usuels (montres, armes, stylos…) et d'objets d'art, en particulier d'art africain traditionnel dont il était

Moscou et Berlin. La partie la plus connue est le West End, car on y trouve les grands magasins d’Oxford Street, il y a les théâtres, c’est aussi ici que ce situent les quartier comme Covent Garden, Mayfair qui se situe aux alentours de Green Park, Soho qui contient une forte population asiatique et où il y a des bars, des « boites de nuits », des salles de cinéma et de concerts puis il y a Piccadilly qui est une avenue entourée de grands hôtels, de riches habitations et de magasins luxueux. C’est

Architecture (2003) Salins et pavillon 6 du port Rambaud : Dominique Jakob et Bredam Mac Farlane Pavillon 7 du port Rambaud : Rudy Ricciotti Pavillon 8 du port Rambaud : Odile Decg et Benois Cornette Bureaux Eiffage : Albert Constantin Bureaux Vinci : Soho Architecture et Urbanisme Région Rhône-Alpes : Atelier C. de Portzamparc Concepteurs des commerces Pôle de loisirs et de commerces : Jean-Paul Viguier Concepteurs des infrastructures Passerelle fixe de la place nautique : Jean-François Blassel