Socialisme libertaire

risques, mais il précipite aussi des pans entiers de l’activité économique dans le déclin : cette « destruction créatrice » renouvelle le tissu productif et assure au système capitaliste son dynamisme. Malheureusement, avance-t-il dans Capitalisme, socialisme et démocratie, le dernier livre publié de son vivant, le goût d’entreprendre disparaît pour cause de bureaucratisation du système. En quoi il se trompait. Peter Drucker : C'est une enfance riche d'apprentissage et de culture que vit Peter Ferdinand

philosophe Friedrich Nietzsche (1844-1900), et formulée comme tel pour la première fois par l’économiste Werner Sombart (1863-1941), on l’associe à l’économiste hétérodoxe J.A. Schumpeter (1883-1950) qui popularisa cette expression son livre Capitalisme, socialisme et démocratie en 1942. Le capitalisme tire ses fondements de ce processus. Dans la vision de J.A. Schumpeter, la destruction créatrice repose sur l’innovation ou la prise de risque individuel, c'est-à-dire des entrepreneurs, qui impulsent la croissance

salariés sont organisés en organisations syndicales. Elles sont légales depuis le 21/03/1884. L’histoire syndicale résulte de l’affrontement entre 4 courants idéologiques : -L’anarcho-syndicalisme (courant révolutionnaire) -Le marxisme -le socialisme fordisme -Les chrétiens catholiques A partir de 1860, des syndicats ont commencé à se créer 1864 : abolition de la loi Le Chapelier. La grève devient légale ainsi que les groupements et coalitions. 1895 : création la CGT. Elle regroupe les

Les Saint-Simoniens et l'Orient Il s'agit, au préalable, de comprendre quelles sont les réalités que recouvrent le courant saint-simonien: Il peut être caractérisé comme un socialisme utopique (acception du terme socialisme conforme à la définition de la première moitié du XVIIIème, ie le prédominance du social dans la perception des problèmes). Par ailleurs, il a une dimension plus large puisqu'il s'agit d'un doctrine socio-économique ayant une incidence philosophique dont le géniteur n'est

------------------------------------------------- Germinal : portrait d’une époque, le 19e Germinal nous offre un véritable portrait d’une époque qu’est le 19e siècle. Le roman met en évidence, le fossé existant entre les miniers et les bourgeois mais aussi la montée du socialisme et la révolution ouvrière. Emile Zola nous plonge ici dans le monde industriel avec la poussée croissance en matière technologique grâce aux nouvelles performances de l’époque comme par exemple la machine à vapeur. Le livre ne traite tellement

La crise économique de 1929 En 1929 la crise économique du au krack de Wall Street s’étend et touche le monde entier sauf l’URRS et tous les secteurs économiques. Elle se traduit par une crise agricole et industrielle ; ce qui entrainera un fort chômage notamment : * en Allemagne (jusqu’à 6 millions de chômeurs) * au Royaume-Uni (3 millions de chômeur) et Autriche * La France comptera elle 1 million de chômeurs * Les Etats-Unis compteront eux 13 millions de chômeurs. Les différents

former un groupe avec des revendications, un intérêt à défendre. On voit donc apparaitre des mouvements ouvriers comme le Marxisme qui compte sur les révolutions, cependant les personnes qui ne sont pas d’accord avec ce mouvement vont former le socialisme qui lui compte sur les lois. Par la suite on voit apparaitre le syndicalisme et aussi quelques améliorations avec les législations sociales comme le droit de grève 1864 et le droit d’adhérer et de former un syndicat 1884. La durée du temps de travail

et militant politique allemand. Il naît à Trèves dans une famille d'origine juive convertie au protestantisme. Il étudie le droit, l'histoire et la philosophie. Sa Philosophie Carrefour de la philosophie allemande (Hegel, Feuerbach), du socialisme utopique français (St Simon, Fourier) et de l'économie politique britannique (Smith, Ricardo). L’Homme est un être agissant et non un être pensant. Il critique la Religion et l’État qui sont des réalisations imaginaires Il substitue

populaire de Chine, dont Mao en est le président. Mao Zedong imposa à la population le collectivisme communiste et la dictature du parti unique, en suivant d'abord de très près le modèle soviétique. Au nom de la définition d'une « voie chinoise vers le socialisme », il se démarqua ensuite progressivement de l'URSS et fut l'inspirateur direct du « Grand Bond en avant » qui engendre une famine d'une ampleur désastreuse. Elle fera, selon les estimations, entre 20 et 43 millions de victimes. Ayant éliminé ses

socialistes utopiques, aux romantiques, ainsi qu’à Proudhon, ami et confident du peintre. Courbet se définissait lui-même comme un républicain « de naissance », ayant suivi en 1840 « les socialistes de toutes sectes », à condition qu’ils défendissent un « socialisme humanitaire ».