Socialisme ou barbarie

fascisme est un phénomène original, plus ou moins bien délimité et en aucun cas assimilable à certaines formes politiques précédentes. 1. La nature du fascisme La plupart des fascismes vont se définir progressivement Une exception : le national-socialisme dont la doctrine est antérieure au mouvement.Cette doctrine est structurée dans Mein Kampf, rédigé par Hitler dans sa prison de Landsberg au lendemain du putsch de Munich, en novembre 1923. Pour les autres pays, le fascisme est d'abord un ensemble

une conséquence inéluctable de l’application des mesures socialistes à l’économie[35]. Il montrait que la socialisation de l’économie ne pouvait que déboucher sur la suppression totale des libertés, y compris des libertés politiques, donc que le socialisme était structurellement incompatible avec la démocratie. Friedrich Hayek pensait que des liens systémiques unissaient l’économie, le droit et les institutions politiques. S’opposer au libre fonctionnement des mécanismes du marché, dans lequel il

intellectuel pour les colonisés. Mais très vite il prend conscience que la question coloniale n'est pas si simple et change d'optique. Il voit alors les guerres et soulèvements qui occupent ces territoires, apprend la violence du colonialisme et sa barbarie et prévoit les retombées néfastes sur les sociétés internationales que celle-ci peut avoir. Cette évolution est d'ailleurs très représentative du personnage qu'était Jean Jaurès, ses idées n'étaient pas fixes, elles changeaient au fil de ses connaissances

1. Les 1ères révoltes des années 1950 La mort de Staline (mars 1953), les révélations du XXème Congrès du PCUS sur les crimes de Staline (oct 1956), la reconnaissance par la nouvelle équipe au pouvoir en URSS de la « pluralité des voies vers le socialisme » sont vécues par les sociétés est-européennes comme un espoir de changement. En mai 1955 Khrouchtchev renoue les relations avec la Yougoslavie. En avril 1956, le Kominform est dissous. D’anciens dirigeants communistes, écartés du pouvoir à la

L’opinion publics mondiale est traumatisé par la découverte des camps de concentration nazis, et la découverte de la Shoah. Traumatisé par l’utilisation de la bombe atomique (utilisé la science à des fin de destruction de l’hommes. On parle de Barbarie industrielle. Conséquence : Pour les dirigeants du monde entier il faut maintenant refonder un Nouvel ordre international, fonder sur la paix et les droit de l’homme. B/ Un nouvelle ordre international 1.Le règlement politique

début de la guerre, et par le climat de suspicion à l'égard de ces populations qui incarnent la "barbarie" ou le "East primitive chaos" [8] selon les mots de Liulevicius. Les Allemands, persuadés de leur supériorité ethnique, se sentent ainsi investis d'une mission civilisatrice qui leur permet de commettre toutes sortes de violences pour parvenir à imposer leur "Kultur" afin de transformer la [barbarie] des populations envahies en des individus "civilisés". On reconnaît bien là l'héritage de la violence

Castoriadis avait pour objectif premier de développer une analyse critique de l’institution bureaucratique fondant la structure d’exploitation dans les régimes soviétiques. Critique qui n’est d’ailleurs pas nouvelle chez Castoriadis puisqu’il créa Socialisme ou barbarie (1949-1965), avec Claude Lefort, en réaction au PCI (Parti Communiste Internationaliste) qu’il quitta en 1948 (Prat, 2007). Or, sa réflexion l’emmènera à déceler le même mécanisme d’exploitation en URSS et dans l’Occident capitaliste. Structurée

L'idéologie aryenne et l'organisation du parti nazi . En 1924, Adolf Hitler énonce dans un ouvrage qu'il écrivit, intitulé "Mein Kampf ", les principes de l'Idéologie Nazie. Le parti nazi se base sur toute une série de principes. Le national-socialisme est une idéologie raciste basée sur la race aryenne qu'il faut défendre à tout prix, en empêchant le mélange de ce sang " pur " avec le sang juif. Le slogan de ce parti est "Ein Volk, ein Reich, ein Führer ": « Un Peuple, un Empire, un Guide ".

d’organisation des sociétés ou de validité du schéma marxiste. Or c’est de bien autre chose qu’il s’agit, dans le stalinisme. Vous le savez bien : c’est la désirabilité même de la révolution qui fait aujourd’hui problème19.» Dans son essai, La Barbarie à visage humain, Bernard-Henri Lévy met en cause la positivité pure liée au désir de la révolution – non pas d'une révolution, mais de la révolution, décisive, radicale, finale –, et à l'optimisme conceptuel, délibéré et assumé, qui « dope » alors

l'humanité doit s'efforcer d'atteindre ; l'essentiel est de diriger l'éducation des individus de manière à rapprocher l'humanité de cet idéal ; l'organisation de l'État et de la société ne doit être qu'un moyen pour défendre la civilisation contre la barbarie et permettre l'éducation de l'humanité. Stirner montre comment le progrès de la pédagogie est lié au progrès social. La période qui va de la Réforme à la Révolution française est à ses yeux une période de sujétion : il y avait en présence des maîtres