Socialisme ou barbarie

partiellement résolu par les théories philosophiques, je m’intéresse depuis peu à la philosophie pour tenter de résoudre ces questions qui sont le plus souvent existentielles. Je commence par une biographie du Chef de parti du national-socialisme. Ensuite j’entame le corps du travail en expliquant en quoi résulte le totalitarisme, ce qu’est la propagande et comment le régime totalitaire est instauré. Je continue par ce qu’est le nazisme, comment est-il né. Deux sous chapitres sont basés

radicalement différent. Il faut établir une rupture et l’élite futuriste est prête pour cela à user de la violence. Il est nécessaire de mettre un terme définitif à la société parlementaire, au socialisme, aux ouvriers car c’est l’élite qui doit gouverner. Il faut mettre un terme au progrès car il représente le socialisme. La guerre est vue comme l’élément essentiel de rupture et comme l’élément essentiel pour se débarrasser du peuple qui n’est pas l’élite, de la gangrène du progrès. Le futurisme donne une

de la nature du nationalisme durant la première moitié du 19e siècle. Pour Talmon, le nationalisme de cette époque est avant tout une idéologie rationaliste et universaliste qui partage les mêmes caractéristiques que le socialisme. Le nationalisme romantique ne rime pas avec rivalité, réalisme politique et impérialisme. II vise la régénération nationale (passant par une révolution nationale) et se veut un message universel de rédemption. Il est

goût des Occidentaux pour la musique nègre, l’art nègre, et plus généralement pour le primitif, pour tout ce qui suscite, dans notre inconscient, des réminiscences lointaines, remontant peut-être aux premiers âges de l’humanité. CIVILISATION OU BARBARIE ? Depuis 1900, découvertes et inventions se succèdent à une allure prodigieusement accélérée : il en résulte un progrès matériel étonnant, mais aussi un contraste brutal, car la majeure partie de la population du globe reste sous-développée, sinon

1990, sa réflexion s'élargit à l'esthétique dans les deux volumes de L'Œuvre de l'art, qui reprend et discute en ce domaine les propositions de l'esthétique analytique de Nelson Goodman et Arthur Danto. Gérard Genette a été membre du groupe Socialisme ou barbarie. Il est marié à Raymonde Debray Genette, elle aussi enseignante et chercheuse littéraire. Concepts inventés ou développés par Gérard Genette [modifier] Transtextualité [modifier] La transtextualité est un concept que Genette a développé

soi-même pour se donner l'apparence de la bonté morale et se persuader de sa supériorité ; mais sous ces valeurs illusoires fermente une haine impuissante qui se cherche un moyen de vengeance et de domination. Le christianisme, l'anarchisme, le socialisme, etc. sont des exemples de morales du ressentiment. « La révolte des esclaves dans la morale commence lorsque le ressentiment lui-même devient créateur et enfante des valeurs : le ressentiment de ces êtres, à qui la vraie réaction, celle de l'action

1 Lettre à Murer 1878, in Correspondance t 1 1865-1885, éditée par Janine Bailly-Herzberg, Paris, PUF, Centre des correspondances du XIXe siècle, 1980, p. 123. 4 De l’opposition républicaine au socialisme Bien sûr entre cette rupture initiale et ses engagements politiques futurs il reste encore bien des étapes à franchir. La voie n’est ni droite, ni immédiate entre vocation artistique non conforme et engagement radical ou révolutionnaire ultérieur

l’anarchie parce que le gouvernement devient incapable de gouverner le pouvoir. Il préconise donc un régime très autoritaire ou l’Etat serait très puissant pour le bien de tous b. Anti- communisme Le fascisme se déclare ennemie du communisme et du socialisme. L’ un et l’ autre veulent accroitre l’ égalité entre les hommes, ce qui est impossible selon les fascismes car l’ inégalité est une loi naturelle qui est vain de vouloir supprimer. c. Ultranationalisme Les fascismes recherchent le prestige,

toujours fait le choix de la comédie contre la tragédie. 9 Ibid. 8 7 5 valeur, répétons-le, qu’en tant qu’elle nous permet de passer de la conscience analytique à la conscience dialectique – c’est-à-dire, en termes politiques, du libéralisme au socialisme. Voilà un schéma bien séduisant, mais qui sonne étrangement à nos oreilles. Car nous ne sommes évidemment plus en 1959. A cette époque, la conscience dialectique du monde et de la société informait effectivement toutes les formes de la pensée progressiste

la thèse ou l’idéologie qu’il défend ; quelques auteurs sont même à l’antithèse de l’anarchisme, se présentant comme des conservateurs nostalgiques, des opposants réactionnaires au changement, autant contre les valeurs des Lumières que contre le socialisme, fût-il libertaire… Alain PESSIN (parmi d’autres) va dans le même sens que moi en liant les contre-utopistes aux partisans d’une nouvelle utopie libertaire12. Il les a cependant trop sommairement analysés, même si pour certains d’entre eux (ARISTOPHANE