Socialisme ou barbarie

relèvement moral des classes populaires. Gide (1890) repère 4 courants "d'économie sociale" : l'orientation Chrétienne sociale et l'orientation libérale, les deux qui s'opposent à l'intervention de l'Etat ; les deux autres sont le solidarisme et le socialisme, qui ont selon Castel, une tout autre conception du social. Les classes dominantes proposent ds le cadre de cette économie sociale, une moralisation qui joue sur trois niveaux : 1. L'assistance aux indigents. 2. Les institutions d'épargne et

trouvent dans ce fait divers l’illustration de leur préjugé anti paysan et anti ruraux. On en apprend beaucoup sur la représentation républicaine des campagnes. Pour les républicains la cruauté des paysans de Hautefaye illustre trois choses : la barbarie du Second Empire, régime qui se serait appuyé sur la « primitivité des campagnes », le retard mental des campagnes et la nécessité d’une diffusion de l’instruction publique, d’un « processus de civilisation » des campagnes (notion du sociologue Norbert

rapidement engloutis par des considérations politiques. Hitchcock est à cette époque très connu, cet artiste commence à travailler sur ces rush mais son film n’a jamais était aboutis. Dès le mois de juin 45 l’urgence n’était plus de montrer la barbarie mais la réconciliation avec l’Allemagne et l’installation d’une zone d’influence. Le film n’a jamais était montré, il n’a jamais était achevé, il manque de grands bouts de commentaire et il n’en reste que le montage avec une bande son enregistré

« Mobilisation des esprits » passe par intense propagande appelé bourrage de crâne. Infos dans la Presse contrôlé par censure. Dans toute la société se diffuse «  une culture de guerre ». La propagande entretien l'idée de lutte de civilisation contre barbarie. Des rumeurs d'atrocités sont propagé comme mains coupés. Enfants concerné par culture de G dans écoles. Résultat : Banalisation de la violence, de la destruction de masse. On parle de Brutalisation des sociétés. II/ La Seconde Guerre Mondial :

catholicisme) C’est seulement en 1888 qu’il reconnaît la déclaration des droits de l’homme et du citoyen 1864 : le pape publie l’encyclique Quanta Cura qui condamne les 4 ‘erreurs modernes’ : - le rationalisme qui nie la divinité du Christ - Le socialisme qui soumet la famille à l’état (pour l’église catholique l’individu ne devient homme que s’il est en contact avec les corps intermédiaires que sont la famille, le métier et la région) - Indifférentisme (fait d’attribuer la même valeur à chaque

in- 12. Paris, : Dentu, 1884. KERVYN de Lettenhove Les Huguenots et les Gueux. Étude historique sur vingt cinq années du VIe siècle. 6 vol. X — Bruges, Beyaert-Storie, éd., 1885. Eugène Mahon de Monaghan la philosophie et le socialisme, moderne. — 1 vol. in- 12. L'Église, la Réforme, au point de vue de la civilisation Pélagaud, Paris et Lyon, 1865. : — MlGNET, de l'Académie Française: Mémoires 3 e historiques. édition, 1 vol. (collection :

les autres qui disent que la république est le symbole la justice, la vérité, seul régime vrai. ==> Menaces de nationalistes • La question sociale : développement mouvement social années 1890, mais ne met pas d’accord tout le monde C’est le socialisme qui intègre le communisme, idée d’une « république sociale » Ce mouvement se manifeste électoralement, manifestations, la grève, avec émeutes présentes, de nouvelles revendications remettent en cause la république, avec beaucoup de morts, l’armée

des milliers d’ouvriers qui avaient été victimes de la crise économique de 1929. Hitler peut désormais appliquer les idées, les objectifs qu’il avait exposés dans son livre « Mein Kampf » et par la même occasion développer l’idéologie du national-socialisme fortement teinté d’antisémitisme. Au début des années vingt, le parti national-socialiste n’est qu’un regroupement de soldats mobilisés. Adolf Hitler va en faire son arme politique. Il exclut très vite les fondateurs afin d’en devenir le chef. Il

détraqué, ballotté et plongeant » Préambule Chapitre I: Retours de la guerre Chapitre II : La marche au fascisme Chapitre III : La Charte du Travail et le corporatisme italien Chapitre IV : Du spartakisme au national-socialisme Chapitre V : La Suède, paradoxe historique. Contraste entre deux destins Deuxième partie : Les libertés en péril Chapitre I: Staline et la Russie Chapitre II : Franklin Roosevelt et le peuple américain Chapitre III :

La démocratie libérale est précieuse mais fragile. Le discours de préservation est nécessaire. Mais la fragilité est extrême. Ex : Italie dans les année 20, l'Allemagne. Deux pays humanistes avec une culture... qui ont pourtant glissé vers la barbarie. Ex : Union soviétique, l'occupation de la France. L'invocation des droits de l'homme remplit une fonction nécessaire. Mais ce sont des valeurs qui ne sont pas normatives. Il n'y a pas de liberté sans conscience. Les droits de l'homme sont une