Société coopérative et participative

tous, je leur sais gré de ce qu’ils ont ainsi contribué à ce travail. |RESUME  | Le Programme de Gestion Durable et Participative des Energies Traditionnelles et de Substitution (PROGEDE) est né de la volonté de l’Etat du Sénégal d’inverser l’évolution régressive de ses formations forestières et de maîtriser la consommation des combustibles domestiques toujours grandissante

particulièrement la paysanerie dans son ensemble (production vivrière, matières premières, artisanat). Les créateurs : Le commerce équitable est né dans l'est d'Oaxaca et dans celui de Chicago. Il a été crée dans une organisation indépendante: l'Union des coopératives indigènes de la région de l'isthme(UCIRI) dans plus de 20 pays. Les fondateurs sont Francisco Der Hoff et Nico ROOZEN aui ont également crée le Label Max Havelaar (1988-1999). Les aides : Une panoplie de groupes et d'associations nationales

des parents. Même si certains groupes au Québec soutiennent plutôt le projet d’étatiser complètement les services de garde, la majorité des parents et des employé-es semblent toujours privilégier les formes juridiques actuelles, soit celles des coopératives et organismes à but non lucratif contrôlés par les parents. Or, cela a toujours été le point de vue défendu par la CSN. Si beaucoup de chemin a été parcouru depuis la mise sur pied des premières garderies populaires au début des années 1970, plusieurs

suggérons de : – développer, au niveau macroéconomique, de nouveaux outils et indicateurs de richesse permettant de mieux apprécier l’évolution du bien-être individuel et collectif et d’associer à leur définition les différentes composantes de la société et les citoyens afin de les mettre en débat le plus largement possible. L’enjeu n’est pas ici d’évaluer spécifiquement « l’apport de l’ESS », mais d’apprécier dans quelle mesure le système économique et social satisfait ou non les objectifs d’utilité

les valeurs de ce type d’entreprise sont la solidarité, la primauté de la personne sur le capital ainsi que la gouvernance démocratique et participative. Il se trouve beaucoup d’entreprises sociales en Europe comme par exemple des entreprises solidaires, des sociétés coopératives ou les coopératives sociales à responsabilité limitée, les sociétés coopératives d’intérêt collectif et ainsi de suite. L’éventail d’activité de ces entreprises est très varié : des services sociaux, l’enseignement, le logement

qui va désormais agir comme facteur d’unité et d’homogénéité. Le prince, loin d’être un délégué ou un exécutant, résume en lui tous les corps intermédiaires. Souverain et représentant ne font qu’un, parce que l’Etat incarne tous les membres de la société. Au pluralisme médiéval, caractérisé par l’entrelacs des allégeances et la dispersion de la souveraineté, succède alors un bloc monolithique qui se résume dans la personne et dans le corps du roi. Dès lors, les groupes sociaux ne sont plus que des

perte de sens inhérente aux processus de rationalisation des sociétés modernes avancées et à l’omniprésence de la rhétorique économique de l’efficacité. Pourtant, le discours éthique doit être analysé en rapport avec les diverses formes de la régulation des rapports sociaux qu’il accompagne (Beauchemin, 1997, p. 68). La montée de l’éthique peut donc s’interpréter dans le cadre de la réorganisation des pôles de régulation, portée par une société civile qui réinvente l’action collective, au point de donner

les domaines suivants : droit des personnes, Droit d’affaires ( droit privé) droit pénal, droit immobilier, droit rural droit de l'environnement, droit public, droit de la propriété intellectuelle, droit commercial, droit des sociétés, droit fiscal, droit social, droit économique, droit des mesures d'exécution, droit communautaire, droit des relations internationales Droit privé Droit du travail Droit judicaire Droit civil Droit de l’homme 1-

entreprises à finalité sociale, sociétale ou environnementale et à lucrativité limitée. Elles cherchent à associer leurs parties prenantes à leur gouvernance. », Qu’elle soit constituée en empruntant un statut de l’économie sociale (association, coopérative, mutuelle) ou d’une entreprise classique (SAS, SARL…), une entreprise sociale crée du changement social au travers d’un modèle économique viable. Elle repose sur trois piliers : *La finalité d’une entreprise sociale est de répondre à un besoin social

programmes et infrastructures, selon des procédures codifiées, transparentes et acceptées par tous, de manière à garantir une bonne gouvernance du développement local à l'égard de tous les acteurs du processus : collectivités locales, administrations, société civile, secteur privé et, bien entendu, les citoyens concernés. Gestion du Développement local Module 1 7 La clé du succès du développement local réside dans l'édification d'un partenariat synergique et coopératif entre l'ensemble des